Ah ben oui : la cuisine est l'endroit où l'on prépare les plats plus gouteux non ? Et donc il est tout fait logique, voire normal, qu'on y découvre une belle bête exhibant son gros morceau...
Reste à savoir comment accomoder la chose... La sucer est bien entendu le plat le plus classique. Et c'est très bandant de découvrir deux mâles nus sur le carrelage de la cuisine, coté du frigo et un beau cuistot poilu et tatoué se faisant cuisiner le chibre par des lèvres gourmandes...
Bon, c'est vrai : la sauce peut se répandre ailleurs que dans un plat prévu à cet effet. Mais avouez que la belle gueule de ce joli gars ruisselant de foutre, c'est quand même un truc appétissant, non ? Osez prétendre que ça ne vous fait pas tirer la langue...
Ah le béton brut et la muraille rugueuse... Mais justement : comme contraste, un beau mâle bien viril et subtilement mis en valeur, mais dans un emballage de putasse, c'est très bandant, trouvez pas... Explication par l'image avec cette belle bête de dos sur fond uni, collé au mur. Avec son tee shirt trempé de sueur et ses chaussettes de foot. Mais surtout cul nu : exhibant des cuisses larges et velues et un sublime cul luisant de transpiration, d'autant plus indécent qu'il est tout blanc et sans bronzage. Une salope à béton ?
Encore plus salope ? Ben ce balaise musclé arborant un short de coton rouge tendu par son fessier et totalement obscène avec sa fermeture éclair exhibant la raie... Et si on avait le moindre doute sur son désir de se faire grimper debout, collé contre le mur tout blanc, il suffit de lire l'inscription sur son short...
Le contraste entre masculin et féminin est souvent excitant : comme sur cette photo en clair obscur où un mâle viril et babu se tient debout la bite à la main devant une paroi de béton gris et porte comme seul vêtement une guêpière soulignant la forme élégante de son torse en V... La muraille brute s'oppose à l'élégance féminine du guéridon de style rococo : tout dans les constrastes donc...
J'aime aussi beaucoup cette autre photo, elle aussi très subtile : un mâle somptueux, musclé et très mec se tripotant sa grosse verge humide d'une main et le bras droit relevé pour montrer son aisselles poilue et odorante. Nu contre un mur de béton brutal badigonné de vert et marqué d'un tag insultant couleur sang. Et le beau gars porte un tatouage sur les bras, certes. Mais façon dentelle rouge : comme des gants longs les plus féminins... Troublants, non ?
Le coté salope sur fond clair, c'est pas toujours une histoire d'accessoire, du reste. Prenez ce joli mec mal rasé et posant totalement nu devant l'objectif. Corps huilé de sueur, grosses couilles et énorme bite en érection : c'est un mec. Et un mec se comportant comme une vraie putasse avec son index enfoncé dans son anus et se titillant sans pudeur la rondelle... Je suis convaiquant ? En tout cas, ce mignon modèle, moi je le trouve très explicite...
On s'approche de Noël ? Et on oublie souvent de nos jours que c'est donc bientôt l'heureux temps du père Fouettard... Bien plus salé que ce gros obèse sucré de Père Noël. Car en effet, sans punition : pas de consolation. C cul FD. Et donc pour reprendre ce sujet, commençons par un Père Fouettard en chaps et harnais particulièrement sympathique : gueule sublime, corps musclé et si on en juge par le chibre dressé comme une corne ornant son bas ventre... c'est un mâle ! Cela dit, le mec totalement nu écartelé debout devant lui nous montre un cul rond et un dos luisant et orné d'un duvet doré qui justifient tout à fait une érection aussi totale... Et aussi qui justifient une correction : cherchez pas, c'est comme ça. Et toc.
Car pendant que les lanières de cuir déchirent et cinglent la peau de son dos et de ses fesses, le bâtard corrigé... bande ! Excitant ça d'ailleurs :voir son sexe raide et humide tressauter sous les coups. Pas logique, mais excitant...
Et d'ailleurs, il faut en profiter : après avoir cinglé son dos et son cul, c'est maintenant sur la verge dressée sans pudeur que vient s'abattre le chat à 9 queues. Après avoir avoir bâillonné le supplicié avec un mors, histoire de pas avoir les oreilles trop torturées par ses hurlements déchirants et ses pleurs. On peut être bourreau et délicat, c'est vrai quoi...
Grave question du reste :faut-il fouetter l'avant ou l'arrière ? Le dos c'est classique et de bon goût. Mais le ventre, le torse et le sexe, c'est vraiment de la punition... Au moins ce sportif en érection qui a choppé un grand gaillard dans les vestiaires a tranché : et les lanières sur ses abdos, ses pectoraux et son chibre le font danser sans pitié. Une façon comme une autre de se muscler : aussi bien pour le fouetté que pour le fouetteur...
C'est vrai ça : si le bâtard est consentant, voire enthousiasme, ben on n'a pas l'impression de le prendre contre son gré. Comment ça j'enfonce des portes ouvertes ? C'est vrai, mais aussi pourquoi fouetter, fesser, châtier sa victime si tout ce qu'on va lui faire subir est totalement consenti... C'est pour ça qu'il est tout de suite beaucoup excitant de la ligoter (la victime) et en position debout suspendu par les bras, c'est déjà pas mal... La photo qui illustre mon propos du jour est déjà bandante dans l'absolu : un militaire. C'est un militaire en treillis qui se tord dans ses liens en hurlant de rage. Bon, je sais : il n'a plus que son pantalon de treillis, largement ouvert sur son slip, mais c'est déjà top..
Ensuite, il va falloir le rendre plus docile, forcément. Après l'avoir totalement foutu à poil, forcément aussi. Histoire de contempler ses parties génitales. Et comme il se rebiffe (forcément toujours) on le calme à coup de poings dans le ventre et sur le torse. C'est un must pour un bidasse. Viril, sportif : pas un truc de tapette...
La chose n'est d'ailleurs pas nouvelle si on juge par cette photo vintage : excitant de contemper un pauvre moustachu des années 70, poilu et tout nu en train de se faire malmenner par un biker en cuir tout droit sorti d'un dessin de Tom of Finland...
Le truc, c'est aussi la contrainte : et le bondage doit être sérieux et sévère. Joli spectacle, non ? Un balaise blond totalement à poil dans ce grand local, suspendu et perché sur la pointe des pieds et saucissonné avec art. Son sexe érigé de force est maintenu en érection par la corde qui lui ligote également ses grosses couilles. Et il est même bâillonné avec une corde qu'il mord avec rage tout en suant à grosses gouttes et en dansant sur la pointe des orteils... On croitaît presque entendre souffler la grosse bête et ses grognements résonner...
La position est humiliante et en même temps très pratique en plus... Enfin, pas pour la victime, ainsi totalement à la merci de son rapteur. Et d'ailleurs, si elle (la victime) continue à insulter, à beugler et lutter, quelques coups de ceinturon ou de fouet sur le dos, le cul, le ventre ou le bas ventre devraient bien vite rétablir le calme. Ou pas...
Miam miam ? Bientôt la dinde de Noël ? Et donc forcément on la retrouve dans la cuisine, prête à se faire farcir. Forcément... Prête pas vraiment d'ailleurs et le joli mec ligoté tout nu sur le plan de travail ne semble pas tout à fait d'accord...
On ne lui laisse pas tellement le choix, du reste... Et après une ouverture de force avec un doigt dans le croupion, on passe direct à l'étape suivante... Se le farcir ? Une pomme est enfoncée dans la gueule du petit mâle déplumé, histoire de faire taire ses hurlements. Et un beau mec grimpé pieds, cul et jambes nu sur le comptoir s'occupe activement de lui ouvrir le fondement...
Pauvre dinde... Ouverte à la chaîne et farcie à tour de rôle par des mandrins durs et gonflés comme des boudins blancs... Farci, truffé, avec gros marrons : à table ! C'est de la belle bête et il y en aura pour tout le monde...
Bientôt le réveillon et même LES réveillons. Avouez que ce joli petit lot à la gueule bâillonnée par une pomme, ficelé pattes en l'air et bien luisant, huilé de sueur (ou autre) ouvre sacrément l'appétit... A consommer tant qu'il est bien chaud, bande de canibales...
Un gros fauteuil recouvert de cuir tiède et crissant... Un cuir clouté bien entendu et le complément parfait pour un mâle autoritaire et viril, torse nu et le bas du corps moulé dans un pantalon de moto. Avec bien entendu les aisselles poilues et fumantes, les grosses bottes boueuses, des lunettes de soleil miroir dissimulant le regard et un gros cigare puant fiché au centre de la gueule mal rasée. Un mec quoi...
Dans le même genre, on retrouve un gars en pantalon de cuir et torse nu sous un harnais vautré dans un gros fauteuil de cuir capitonné. Et au cas où vous n'auriez pas compris ce qu'attendais le fumeur de havane de la photo précédente, ce second master a un accessoire à plaisir agenouillé entre ses jambes ouvertes...
Le fauteuil de cuir appelle la domination ? C'est surtout un meuble viril. Et confortable tout autant que sensuel... Grande fourrure, fauteuil recouvert de peau lisse cloutée et dessus, une sublime bête totalement nue en train de se faire titiller le trou du cul par une langue agile. Chaud ça...
Le vieux fauteuil pâtiné par les ans et les fessiers n'est pas le seul àêtre défoncé. Forcément. Et sous les gémissements et les grognements animaux du beau mâle sodomisé en forcé, on croiraît presque entendre les grincements des ressorts et les craquements du cuir odorant... Je raconte bien, hein ?
Les larges fauteuils clubs aux assises profondes et aux accotoirs rembourrés sont parfaits pour certains galops virils... Et ce joli petit mâle poilu et tatoué empalé sur un gros chibre épais se retrouve ainsi les jambes totalement ouvertes, nous offrant ainsi une vue magnifique sur sa raie poilue, sur les grosses burnes de son étalon et sur son propre sexe bien raide prêt à larguer son jus sur le cuir du siège. Certes ça peut le tacher : mais c'est aussi très nourrissant... Et on imagine ensuite le parfum du fauteuil, mélange de cuir, de cire, de bois, de sueur animale... et de foutre ?
Ah ben ouais : revenons à des sujets plus salés. Comme celui d'un beau mec bien foutu et bien viril attaché solidement et ouvert en force... Par deux godes fichés sur des manches à balais. Et par les deux trous : un gode sorti de son rectum coulissant entre ses lèvres et un second est enfoncé dans sa rondelle qu'elle apprend à se dilater. C'est pas chaud comme photo ?
L'intrusion forcée peut se faire manuellement, mais soyons modernes. Et ainsi le sublime Jessie Colter est ligotéà 4 pattes comme la belle bête précédente et pendant qu'on lui dévore le trou du cul, c'est une fucking machine qui défonce sa gueule... Une situation encore plus dégradante, non ?
Bon, ce n'est (littéralement) qu'un amuse-bouche... Mais c'est très excitant de voir le beau mec ainsi contraint de nettoyer avec sa langue un gode mécanique et d'être ainsi montré dans tout son avilissement de salopeur suceur de bites...
Pendant que son anus est utilisé dans son dos, la machine pistonne sa gueule de force, lui apprenant ainsi à faire son taff de pute et à avaler un chibre à fond de gorge...
Bien entendu, c'est une mise en condition. Car le bâtard ensuite attaché sur le dos tout nu et maintenu enchaîné pattes en l'air est ensuite bâillonné par un mors et après avoir été longuement limé par le gode lubrifié par ses soins et fixé au piston infernal de la machine se jute dessus sans se toucher... La salope !
On termine avec le même genre de traitement, la même posture indécente, mais en moins sophistiqué. C'est pas certain en fait, car si le godage se fait à l'ancienne et manuellement, le joli jeune blond aux grosses couilles pendantes a le sexe attaché. Et ainsi tandis qu'il se tord sous la pression du sexe de plastique coulissant dans son rectum, il tire sans le vouloir sur sa bite. Et se torture lui même. Pervers hein ?
Les contrastes : un classique pour rendre la photo d'un mâle tout nu mystérieuse et sensuelle... Et dans le genre, il n'est pas franchement sublime, ce beau métis musclé au visage caché et au corps totalement dévoilé sur un fond dont la teinte sombre et brune fait ressortir en camaëux les couleurs chaudes de sa peau ? Et bien entendu si le centre de la composition est le trou sombre du nombril, c'est pour mieux attirer notre regard vers la zone située en dessous où le gros sexe lourd et luisant se détache sous une zone pubienne totalement rasée...
Les harmonies de couleur ou les effets de clair obscur : un mâle nu lui aussi et de dos, le visage lui aussi dans l'ombre. Et il se tient immobile mains sur la tête pour ainsi former un triangle dans le haut de son corps dont le pointe s'achève par les deux globes charnus et pleins des fesses musclées. C'est pas beau de contempler ainsi les muscles du dos, les lignes, les courbes ?
De dos et maintenant de face : une belle bête hein ? Bon ok : on voit pas son sexe... Mais justement : on l'imagine, posé dans l'ombre au niveau du talon droit qui cache l'endroit où reposent les testicules.
La sensualité, c'est cacher-dévoiler. Comme pour ce somptueux blond tout nu. Son corps rose et luisant contraste avec la paroi grise. Et au centre, dans l'ombre, son sexe au repos se distingue à peine. Juste ce qu'il faut pour montrer qu'il est de belle taille et donner envie...
Vous préférez en voir plus et paf en gros plan ? Gotikus est le bon gars : cet autre blond à belle gueule de brute se détache sur un arrière plan sombre. Et au dessus de ses couilles très pendantes arretées pile au niveau de son anus en forme de fente, on peut contemper un gros chibre non-circoncis, bien large et dont l'érection ne fait que commencer... Slurp non ?
Après le message sensuel et pseudo esthétique d'hier, revenons à des choses plus directes, sauvages et brutales. Le fouet !!! Tchitchaaaaa... Et bien entendu, la punition classique, c'est de fouetter le dos. Ce balaise solidement attaché dans un sous sol aux allures de cachot de l'inquisition se tord sous la morsure des lanières de cuir. Sur son beau cul rond d'abord, puis sur les muscles tétanisés de son dos ensuite. Ah j'avais prévenu : c'est du brutal...
La punition est également sonore. Et le résultat visuel : pas besoin d'un cachot et de choses compliquées. Ce joli gars a genoux sur un lit a les mains ligotées dans le dos et sanglote après la sévère correction qu'il vient de recevoir : ses épaules et ses reins portent les zébrures écarlates du fouet et c'est impressionnant, non ? Ben c'est un trip, c'est clair.
Encore plus fort et terrible ? Allons-y : ouille ouille... Ce beau balaise tatouté attachéécartelé tête basse n'a que le dos a nu. A nu et à sang. Et la souffrance cuisante est d'autant plus terrible que la lanière unique du fouet en cuir tressé a forcément cinglé des zones déjà brûlantes et vif... Nous entrons clairement dans le monde du masochisme et du plaisir par la souffrance.
Le dos bien entendu : pour des souvenirs aussi de châtiments anciens. Et les fesses : ce slave nu dans un donjon a sacrément morflé. Le haut de son dos : une zone douloureuse, mais sans danger. Et son cul dont la peau écarlate est maintenant gonflée et déchirée... Bon, on se rassure : l'effet visuel est aussi une question de texture d'épiderme. Et ce bâtard gagoulé châtié par son master a une peau blanche et fine, donc particulièrement sensible aux irritations...
J'avais prévenu : today, c'est du lourd... Et on atteint même ma propre zone de limite. Ces zébrures sanguinolentes sur le dos et les fesses nus de ce jeune skin ne m'excitent même pas... Je ne serais pas un VRAI sadique ? Mum... Et vous, dites moi l'effet que ça vous fait ?
Une situation assise? Genre un beau mâle au corps pafaitement dessiné, totalement nu sur un gros fauteuil club de cuir dont les rondeurs rappellent la fermeté de ses muscles ? Il est pas beau et bandant ce mec ainsi exhibé, même si ses jambes sagement croisées cachent son sexe ? Moi j'adore...
Le contraste siège/nudité m'excite : c'est comme ça que voulez-vous... Et dans le genre j'aime aussi beaucou ce joli type à poil dans ce large fauteuil carré, jambes écartées et le chibre circoncis sagement endormi sur les couilles. C'est un début, bien entendu et je pense que vous devez (comme moi) avoir une idée très précise de ce qu'on peut faire ensuite ? Comme par exemple foutre son visage entre les jambes ouvertes ?
Le coté pratique des assises larges, c'est justement le confort... Et ainsi on est pas toujours obligé de se tenir assis correctement. Ainsi vautré, ce joli brun laisse ses pieds nus pendre dans le vide et exhibe une bite bien raide prête à se faire engloutir façon pal...
Le fauteuil était toujours le même, mais pas l'occupant... C'est pas à tirer la langue d'avoir ainsi un mâle sur canapé, conforable et offert. Prêt à se faire humer, caresser, lécher des dessous des bras au bas du ventre ? Vous visualisez ?
J'aime bien terminer en beauté : et avouez que ce beau barbu ainsi pattes en l'air et en chaleur sur son large fauteuil ne laisse pas indifférent... Les yeux fermés, feulant et grognant, il exhibe sa bite raide et luisante prête à souiller de foutre le daim (fragile) de son siège et en même temps se travaille la prostate et la rondelle avec un sex toy de nana, le tout librement et sans aucune pudeur... Chaud, ça...
A ben oui, le dressage n'est pas toujours confortable... Mais dans le genre, avoir ainsi un beau mec foutu tout nu, yeux bandés et ainsi ligoté debout bras et jambes écartelés, ben c'est un joli spectacle... Surtout si on découvre ledit spctacle en entrant dans un bar...
Le gros chibre luisant de la photo précédente attirait assez l'attention, non ? Et donc maintenant ligoté solidement pour en maintenir l'érection, il est à la disposition des visiteurs...
Le bandeau a glissé : le beau tatoué ne saura jamais qui est ainsi venu s'amuser longuement avec son sexe. Toujours attachéécartelé, il tire sur ses cordes en attendant...de nouveaux clients du bar ? Ca c'est de l'attraction commerciale...
On peut bien entendu préférer des photos moins réalistes. Comme ce cliché vintage en noir et blanc montrant un mec tout nu enchaîné bras écartelé sur un fond de muraille, avec une torche crépitant suggérant une atmosphère de salle de torture médiévale ou de prison barbare...
La dernière photo est elle aussi encore plus fantasmatique : car dans une chambre cossue installée dans une sorte de repaire souterrain, on découvre un homme nu et cagoulé, jambes et bras tendus par les grosses cordes qui l'obligent à conserver la même posture. Et ses testicules et son sexe écarlates sont maintenus tirés vers l'arrière par un instrument de torture le conraignant à se cambrer et offrir son cul. Un objet de décor et de plaisir en attente... Une attente qui peut durer des heures, jusqu'au moment où l'occupant de la chambre viendra s'amuser avec les couilles, le cul ou le corps entier... A sa guise et avant d'aller se coucher dans son grand lit de maître du monde. J'adore...
Miam ? C'est l'heure du petit déjeuner et on se réveille ? Soyons modernes et si la cuisine traditionnelle est à la mode, les outils technologiques sont toujours d'actualité. Le grille pain, par exemple... Chromé, luisant et éjectant deux beaux toasts dorés et croustillants, il sert de cache sexe à cette bête sublime collée contre un mur et dont la peau huilée est aussi appétissante qu'une brioche... Son frac noir a glissé sur ses muscles comme une sorte de robe de chambre et les cheveux en bataille et l'oeil encore embrumé de sommeil, ce superbe mâle exhibe son érection matinale par procuration...
Il est moins endormi sur la photo suivante : et il vaut mieux du reste, car le somptueux modèle pose façon pub années 50 avec un mixer au look vintage... Reste à savoir ce que contient le bol de son robot de cuisine, fermement empoigné au niveau des parties génirales et rempli d'une matière blanchâtre montée en neige assez évocatrice. Si vous voyez ce que je veux dire ?
Après le mixer violent, on passe au gaufrier électrique carosséà l'ancienne ? Et dans le genre gourmandise à lécher, savourer et tartiner, il n'y a pas que la gaufre tiède qui fait envie. Cette belle bête toute nue au corps luisant, au torse taillé en V et aux larges cuisses exhibe des tablettes de chocolat particulièrement appétissantes... Miel ? Sirop d'étable ? Ou comme ça, nature...
Tout les robots ménagers y passent... Et même l'auto cuiseur électrique... Histoire de faire mijoter un petit plat sexuel ? Avec les petits tétons sombres à triturer comme des boutons de réglage pour faire monter la vapeur ?
Vous préférez du salé et du plus brutal : on termine donc avec cette belle bidoche musclée et moite vautrée nue avec seulement ses pompes sur le plan de travail luisant d'une grande cuisine de restauant. A consommer chaud, de préférence...
Mais pour moi, la palme revient quand même à cette photo de ce sublime mâle, tout nu descendu de la grande cheminée du père Noël, couvert de suie et les cheveux en pétard. Mais avec des chaussettes blanches. Un hétéro en plus...
Et comme idée pratique et fantasmatique de cadeau de Noël, je propose ce mécanisme facile à adapter. Un homme objet modulable, ce serait pas top à trouver sous le sapin ? Faisons un rêve. Then enjoy...
Bientôt le réveillon et tous aux fourneaux. Et pour éviter de se salir, je propose un cuisinier tout nu, mais avec un tablier... De dos, c'est déja particulièrement appétissant, non ?
Et c'est sexy de face aussi en fait... Vous imaginez ? Un joli petit gars tatoué pieds nus sur le carrelage et à peine caché par le carré de tissu coloré...
La cuisine a beaucoup d'intérêts et outre son cotéà la fois décadant et hygiénique, elle offre aussi la surface très pratique de ses plans de travail... Joli spectacle que ce petit brun tout nu et le cul ainsi offert... Ca donne faim, non ?
Cadeau ! Un joli petit gars en attente, sanglé de cuir dans une structure de métal, les burnes serrées entre deux plaques de plexi. Mais il y a mieux : le joli jeunot en équilibre est solidement maintenu en place par les tétons... Les pinces des tétines sont fixées aussi à des engins à vibrations : même s'il ne bouge pas, le captif a les seins sollicités de façon constante... Hummmm
Idée suivante ? Ben un mâle ligoté et la bouche maintenues ouverte de force ? Le sexe est à dispo, mais c'est surtout la gueule qui est en libre service...
La photo suivante est surtout destinée aux méchants dominateurs : pour le plaisir de voir la victime se tordre et l'entendre beugler sous la "caresse" d'une cravache...
Plus simple et plus sensuel ? Ce joli slave au sexe incarcéré dans une cage de chasteté, sniffant la braguette de son dresseur sans pouvoir la lécher ? Le plaisir dans la frustration, quoi...
Et on termine avec du cuir sensuel et des plaisirs odorants... Bandant, je trouve de contempler ce bâtard pieds nus et sanglé dans un harnais se saoulant du parfum mâle des aisselles d'un beau poilu... Un début bien entendu...
Ah, un beau mec foutu à poil et ensuite solidement contraint et attaché avant de subir les derniers outrages... Ben oui : ça m'excite que voulez-vous, je dois avoir un mauvais fond... Et dans le genre, du reste, je dois reconnaître qu'une des postures que j'affectionne le plus est de voir mon prisonnier à genoux devant moi... Comme ce joli brun par exemple, totalement nu et enfermé dans un sous sol et en attente devant la grande cage où il doit dormir comme une bête dans une ménagerie. Le haut du corps est solidément ligoté, de même que son sexe (portant un Prince Albert) et ses couilles. Et en plus il est bâillonné, donc réduit au silence... Maintenant on va pouvoir jouer...
Image may be NSFW. Clik here to view.Cette position à genoux est celle de la soumission et de l'attente... Et de dos aussi, je la trouve excitante : elle découvre le dos (à fouetter ?), les fesses (à fouetter?) et mêmes la plante des pieds (à fouetter?)... Et puis aussi une belle nuque virile et large de mâle, mais pas à fouetter. Faut dire que le modèle prosterné et ligoté sur cette photo d'art en noir et blanc est du beau bestiau, trouvez pas ?
Image may be NSFW. Clik here to view.La photo suivante est aussi très excitante, même si elle est moins artistique... Pas de bâillon cette fois, mais les yeux bandés. Et le joli jeune mec au corps fin se tient tout nu sur une estrade, le cou cadenassé par un lourd collier de fer où sont accrochées quatre énormes chaines. Enchaîné genre gladiateur ou bestiau antique. Ce qui accentue l'excitation est bien entendu de réaliser que l'esclave sexuel ainsi exposé et plongé dans le noir est à la totale dispostion de toute une foule de mecs portant des masques... Un objet sexuel et décoratif enchaîné tout nu dans un grand salon cossu. Et livré de force à toutes les perversions d'invités anonymes : ZE fantasme...
Image may be NSFW. Clik here to view.Ah oui, il faut aussi penser perversions et humiliations : puisque le prisonnier est en attente et ligoté, totalement livré, on peut aussi se lâcher à sa guise. Ce mignon skin head enchaînéà genoux sur un lit ne porte plus que son caleçon. Mais surtout tête basse, il a le nez et la bouche enfoncés dans l'intérieur d'une vieille pompe de sport puante et encore chaude, scotchée solidement autour de son visage... La sienne ou celle de son kidnappeur : ça, c'est à vous de voir. Mais cela devrait plaire à certains fêtichistes des chaussures et des odeurs fortes...
Image may be NSFW. Clik here to view.Dernier délire avec un prisonnier à genoux ? Et on retrouve un escave sexuel au milieu d'une foule d'homme en rut. Totalement nu, mains ligotées dans le dos et tenu en laisse par une grosse corde autour de son cou... Et c'est un mâle ! Pour s'en convaincre, il suffit de jeter un coup d'oeil à la taille impressionnante du chibre raide dressé entre ses cuisses comme une corne. Ah au fait : je n'avais pas précisé : l'un des grands avantages d'avoir ainsi sa lope mains attachées et à genoux, assis sur ses talons et bien docile, c'est que si l'on se tient debout, son visage (et surtout sa bouche) sont pile au niveau de votre braguette. Ou pas de braguette, comme sur la photo. Dois-je me montrer encore plus explicite ?
Bon, on reprend le collier. Et pour bien commencer 2014, on rigole un brin ? Il semblerait que je suis un peu obsédé du sexe. Mais le sexe peut aussi être une chose utile et fonctionnelle, vous savez... La bite comme marque page pour commencer ? C'est hyper pratique si le livre est du genre pénible à lire et occasionne une sieste immédiate...
Attacher un mec, le dresser et l'utiliser pour son plaisir c'est une chose. Mais on peut aussi aller plus loin dans le délire et le fantasme. Le marquer par exemple, de manière à lui faire porter de façon constante la trace visible de son appartenance à son maître. Le rasage de ses zones les plus intimes, le fouet qui strie sa peau nue ou un collier ou une cage de chasteté cadenassés sont des pratiques assez courantes, mais on peut aller beaucoup plus loin ! Et ainsi ce bel esclave ligoté nu et contraint sur un lit a non seulement perdu sa toison pubienne tondue à blanc, mais il porte au dessus de son sexe érigé et sanglé dans des anneaux de métal, un tatouage explicite, pile à l'endroit de la touffe sacrifiée. Explicite et définitif...
On retrouve cet esclave sur cette seconde photo : et c'est pas torride ? Il est torse nu déjà, le cou enfermé dans un collier de chien et sanglé dans un harnais soulignant sa musculature et les anneaux sur ses tétons. Contraint par son propriétaire de baisser son caleçon, il exhibe en public son sexe rasé orné d'un lourd Prince Albert et surtout le tatouage de son bas ventre. Confirmant à tous son statut d'esclave à plaisir...
Le bâtard suivant est marqué de la même manière du reste : a l'emplacement des poils pubiens. Et debout nu devant le photographe, il suce un concombre d'une manière très provocante et en même temps hyper humiliante pour lui. Car après avoir taillé une pipe au concombre, il va passer à un autre type de légume plus masculin ? Voire enfoncer le gode sorti de son frigo dans un autre trou ?
Ben voilà : au cas où on aurait pas compris, ce jeune gars ligoté nu et pattes en l'air sur un canapé porte de part et d'autres de son trou du cul une inscription d'une grande limpidité, non ? Et si le tatouage au crayon est explicite, son anus dilaté bavant du foutre en abondance et recrachant du sperme montre assez que le petit slave installé dans le salon comme un objet à utiliser a largement déjà servi à pas mal de mâles...
Le tatouage n'est pas définitif ? Ben peu importe, car l'instrumentalisation d'un mâle est déja assez bandante comme ça. Comme pour ce bâtard à 4 pattes, crâne et cul rasés, le cou enfermé dans un collier de chien et mis à dispo cul nu et short baissé dans un terrain vague. Et les inscriptions sur son dos et ses fesses sont d'une grande limpidité ! "Pute, baise-là" Reste a savoir quel trou on a envie d'utiliser...
A table ? Ben oui, au premier coup d'oeil, on ne réalise pas très bien où se situe l'action... Et pourtant ce joli mec prosterné tout nu sur une table est bien dans une cuisine... Et le skin pas beaucoup plus habillé qui contemple son croupion exhibé de force a l'être très motivéà l'idée... de le farcir ?
La jolie volaille bien dodue a été plumée : à poils. Et l'ouverture de sa rondelle se fait maintenant par une langue agile et gourmande titillant la raie velue. Miam... Voire Slurps.
C'est pas un joli spectacle ? Un croupion de mâle ainsi dilaté et offert ? Avec en dessous deux belles burnes bien lourdes et gonflées tressautant et se balançant comme deux avocats couleur de brioche bien cuite.
