C'est clair : un beau mec ligoté tout nu à 4 pattes et contraint de donner son fondement, c'est motivant. Une posture humiliante d'animal qui a en plus l'intérêt d'être très pratique... Mais on peut aussi varier les plaisirs et donc les positions. Sur le dos, jambes écartées et pattes en l'air, c'est bien aussi : avec le sexe et les couilles en libre service et le visage bien visible... Comme pour ce jeune mec prisonnier dans une cave : la gueule écarlate bâillonnée par son short et les jambes tendues offrant son anus poilu...

Le mec suivant n'est pas dans une posture moins indécente et expicite. Lui aussi est mis à dispo de force dans un souterrain de briques, mais il estligoté solidement de manière à permettre l'accès à sa bouche : une bite est finalement un bâillon tout aussi efficace... Surtout si les grosses bottes d'un master en rut frottent sur son sexe et menacent de lui écraser les burnes s'il ne mets pas assez d'enthousiasme à lécher ce qu'on lui donne à lécher : ça motive.

L'interet premier de cette posture est quand même d'offrir un accès facile à la raie et au cul. Exctant de découvrir le beau gars totalement rasé ainsi accroché  un mur de bois, avec la plante de ses pieds sales, ses tétons, son paquet tondu et surtout sa rondelle totalement à dispo. Pas forcément confortable comme position, mais bon : l'essentiel est qu'elle le soit pour les mecs qui vont venir le sauter...

Un autre captif dans la même posture de marionnette : c'est chaud trouvez pas ? Et humiliant de voir ce joli jeune gars ainsi mis à dispo pendant qu'un master en cuir vient tranquillement examiner son anus avant de s'y enfoncer et s'y vider les couilles. C'est décoratif et bandant tout ça, non ?

Au cas (improbable) où vous ne visualiseriez pas le final et ce qui attendait les beaux mecs ainsi livrés en pâtures, cette dernière photo va vous éclairer... Un superbe black au corps musclé et luisant se fait du bien entre les jambes ouvertes de force de sa proie en lui ouvrant l'anus à grands coups de boutoir. Après l'avoir sauvagement fouetté si on en juge par les traces écarlates qui décorent les fesses de sa victime... Ca c'est de la saillie, non ? Vous aimez ?

(A SUIVRE...)

Ben oui : c'est comme ça. Un cul d'homme, c'est aussi tout simplement... beau. Deux sphères rondes et pleines qui terminent le triangle du torse et des hanches étroites. Dans l'idéal, bien entendu... Et sur cette photo, avouez que ce cul rose à la raie ombrée et mis en valeur par le haut sombre est d'une rare perfection... Accentuée par l'abscence de bronzage, bien entendu : un cul mis à l'air...

Le fessier d'un mec, ça peut être tout doux et tendre, mais aussi plus agressif et musclé, les fessiers crispés en harmonie avec une musculature huilée...

On peut aussi préférer les croupes plus charnues. Comme celle de ce blond baraqué, bien cambré et nous offrant ainsi le spectacle d'un postérieur rond comme une pêche...

La position peut aussi faire varier le plaisir et le point de vue : en nous permettant par exemple de découvrir deux beaux testicules moites, pendants et plus sombres sous la raie sombre et le galbe tout doux d'un cul de jeune mec...

Et dans l'autre sens ? En partant de la ligne du dos musclé pour laisser le regard, la main ou la langue courir sur deux jolies fossettes avant de se perdre sur une belle paire de fesses délicatement poilues...

Allez : on termine avec une photo d'art de pure sensualité. En jouant sur les ombres et les lumières pour faire ressortir seulement les volumes : la forme triangulaire du torse, les muscles des bras, la cambrure des pieds et la forme ronde de la croupe mise en valeur par les couilles... C'est de l'art, certes et c'est très beau : mais cette posture à 4 pattes est aussi assez... cochonne ? Ben oui...

(A SUIVRE...)

Simple, efficace et de bon gôut : un mec ligoté par terre, bâillonné et maintenu les jambes écartelées. Après avoir été déshabillé de force, bien entendu, en ne lui laissant (pour l'instant) que ses sous-vetements : caleçon et tee shirt blancs . Le décor ajoute du reste beaucoup au coté bandant de la photo : un sous sol d'usine ou de vieil immeuble dans lequel résonnent les gémissements de la victime ligotée et en attente...

Pas si longue l'attente car la suite est hard aussi bien qu'humiliante. Tout nu maintenant et le sexe cruellement attaché, le prisonnier hurle à nouveau : mais de douleur sans doute ?

Le sexe ainsi attaché et tiré au maximum, c'est sur que ça calme et rend docile le mec le plus récalcitrant... Faute de se retrouver avec la verge et les couilles arrachées ?

Sans se livrer a des tortures aussi définitives, le simple spectacle d'un beau gars nu sur un sol de ciment crade, exhibant ses aisselles et son paquet totalement rasé et ainsi attaché en croix est bandant. Avec à gauche par contraste une simple basket blanche et un bout de jean pour montrer la présence d'un inconnu habillé contemplant le prisonnier totalement livréà son bourreau. Voire à ses bourreaux, si on a envie de fantasmer àça...

Le décor peut aussi être très fantasmatique en exterieur. Et ce jeune mec nu attaché en croix et suppliant en se tordant dans ses liens est d'autant plus bandant qu'un mec torse nu, mais en jean s'approche de lui en brandissant un fouet de cuir : on imagine très facilement la suite non ? Et donc c'est encore plus excitant, d'imaginer... Les hurlements, le bruit des lanières sur la peau, le lieu désertiquie et les insultes du bourreau : vous y êtes ? Ou vous en êtes ?

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Béton, béton... Mais il peut aussi être peint en blanc le béton... Histoire de faire ressortir les couleurs des mâles installés devant un fond immaculé... Comme pour ce beau musclé brun au dos taillé en V, au cul rond comme un fruit qui ne demande qu'à s'ouvrir et collé contre la paroi blanche façon prisonnier, avec sa peau luisante aux teintes roses rendant encore plus visible le sexe sombre dans l'ombre, entre les cuisses écartées... de force ?

La photo suivante est plus sage? Pas si certain : car ce superbe mec à la fossette craquante sur son menton mal rasé est assis dans une pose académique destinée à cacher ses attributs virils. Et justement, le coquin de photographe en profite pour tout montrer. Et si c'est encore au repos, c'est du beau matos. Il n'y a pas que le modèle qui doit prendre son pied...

Moins naturel, le "client" suivant. Avec ce contraste entre la gamine au traits fins, voire féminins et le corps travaillé et musclé parfaitement : trop parfait, selon moi. Mais une belle photo là encore, à cause aussi du contraste entre la peau huilée et le fond immaculé et mat. J'explique bien, trouvez pas ?

Je préfère du reste le mec suivant : moins body buildé, moins musclé, moins baraqué... Mais pas moins bandant avec ce corps poilu et ce sexe au repos avec son long prépuce et ses belles couilles pendantes sous la toison naturelle. Un mâle...

On termine avec une photo en noir et blanc ? Et pour le coup le fond blanc et lisse s'impose pour faire ressortir la beauté de la peau halée et la ligne noire du système pileux. Et surtout ce truc qui me rend dingue : la marque du maillot sur le bronzage. Trop sexe, je trouve ! Un mec déshabillé et pas simplement nu : une grosse différence, je trouve...

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Ben oui : dans la série du mobilier fantasmatique la croix de Saint André est un peu un must. Avec cette grave question : le bâtard attaché dos à son bourreau ou de face, offrant son ventre et son sexe à la torture. Le premier est cas est déjà très chaud en fait : c'est pas un beau spectacle que ce mâle viril et tatoué au corps luisant de sueur offrant ainsi son dos et son cul blanc dépourvu de bronzage ? Pour un châtiment au fouêt ? Ou une saillie directe ?

On peut aussi prendre son temps : il s'agit avant tout de mater l'esclave récalcitrant... C'est bandant de voir ce balaise en tenue de lutteur ainsi agrippé aux bras de la croix pendant qu'un master cul nu et bardé de cuir lui dévore le fondement goulûment... Un master barbu aussi, ce qui doit accentuer les sensations sur la raie du cul, si vous voyez ce que je veux dire...

La photo suivante montre une utilisation de la croix de Saint André plus... conventionnelle ? Car ce meuble est conçu au départ pour ça : pour le fouêt... Bon, c'est vrai, ce joli mâle seulement vêtu de ses poils et d'un jock strap n'est pas attaché sur la croix. Mais justement, c'est bien le signe qu'il est déjà"dressé"?

 En tout cas, il a pris une sacrée correction... Et maintenant, prosterné au pied de la croix noire, il courbe la tête et l'échine... Il hurle de rage ou il supplie et sanglote ? Pour le coup, c'est une affaire entre vos instincts sadiques et vous même...

Et a cr propos, on termine par du plus hard encore. Le mâle nu est écartelé sur la croix, un collier de chien en cuir comme seul vêtement et on constate à la couleur écarlate de son dos et de son cul zébrés que le fouêt a sacrément chauffé. Le captif définitivement maté peut maintenant servir au plaisir de son maître Jason Branch. Et le beau Jason étant bien pourvu par la nature l'empale donc sur un énorme gode. Histoire d'ouvrir sa rondelle de force... Chaud, ça.

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Ah ben oui : l'art et l'esthétique c'est chouette. Mais le cul c'est bien aussi. Le cul, c'est à dire plus seulement une affaire de galbes, de courbes et d'arrondis virils, mais aussi de trou de balle, de rondelle, d'anus pour être direct... Et sur cette première photo, avouez que la posture est claire et la demande de ce jeune mec installé sur son lit tout à fait explicite... Un trou du cul : mais aussi un trèèèès joli trou du cul...

Le modèle suivant n'est pas moins chaud, du reste. A 4 pattes, lui aussi comme un animal en attente de saillie... Plus barbu, plus poilu et dans un décor de chambre d'étudiant qui rend sa posture et sa nudité d'autant plus bandante... Ce fier gailard se branle en se cambrant et en offrant clairement son fion... La plante des pieds un peu sale, la croupe velue et moite bien exposée, il affiche un air fier avec son petit bouc. Mais c'est quand même une salope, non ?

Le décor et cetains éléments de costume peuvent rendre le spectacle encore plus torride. Sur cette photo en noir et blanc, il est pas mignon, ce petit jeunot à l'allure coincée avec seulement ses lunettes d'écaille et ses chaussettes noires comme seuls vêtements qui exhib en douce et sans pudeur sa petite rondelle ? Un contraste excitant...

Très bandante aussi la photo suivante : mais là on est plus dans le dérobé et l'entrevu. C'est du fion servi sur canapé et du trou de balle clairement offert... Un joli petit bouton rose et moite a contempler puis dévorer de près. Et finalement, c'est bien aussi...

On termine donc avec de la pure salope virile : un gars musclé, tatoué, très mec... Et ourtant,installé tout nu sur un podium, les pieds sales aux orteils frémissant et le cul tendu en arrière, il caresse du pouce son chibre raide et montre en gémissant son trou du cul luisant, dilaté et poussé en arrière pour faire saillir son anus ouvert... Un appel à la saillie, non ? Ou a de nouvelles saillies, car c'est clairement un trou déjà... heu... creusé ?

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On ne s'en lasse pas... Voire on ne s'en laisse pas (par référence à la laisse du clébard, mais c'est très approximatif comme humour, voire même totalement mauvais...). Passons... Un beau gars, ici le beau et sexy Jessie Colter, est totalement mis à nu et installé solidemant attaché sur le dos pattes en l'air pour se faire saillir de force par une sorte de gladiateur bardé de cuir...

Et suspendu par les pieds et les mains pour garder la position et offrir ainsi (de force) son sexe et son anus ? Sans parler du fait que cette posture humiliante de bestiau à l'abattage offre l'accès au second trou des mâles : la bouche bien limée pour faire durcir le chibre qui va terminer sa course dans un orrifice en général moins ouvert et moins humide...

Le bouche violée, le cul défloré : la tournante peut alors continuer ainsi toute la nuit. Et le mec ainsi attache jambes en l'air a même la possibilité de branler deux chibres avec ses mains, tout en suçant un troisième et pendant que sa rondelle a force bien ouverte laisse se succèder une foule de mecs en rut. Fantasmatique non ?

La photo suivante se situe dans un cadre moins rustique et plus froid. Mais ce beau blond enchaîné dans cette position et au corps mis en valeur par un harnais, un jock strap et des bracelets de cuir est pas mal non plus. Et le voir (presque l'entendre) se faire saillir en force par un master moulé de latex, c'est du lourd aussi...

Vous êtes gâtés, mes visiteurs... Je vous montre même ce que ça donne en gros plan, après que le violeur en combinaison moulante soit revenu un peu plus tard utiliser le bâtard l'attendant dans la même position obscène... Enjoy...

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Dans une époque de féminisme et de partage des tâches, un mâle faisant la vaisselle peut être vecteur de pas mal d'excitation... Si si, je vous assure. Et j'en veux pour preuve cette première photo d'un homme-objet en costume strict et cravate mais trempé et arborant une chemise blanche mouillée, assis le cul dans l'évier au milieu de la vaisselle... Sexy ? Et sexiste aussi.

Bon, bien entendu, on peut préférer un autre type de délire, comme celui d'un esclave sexuel seulement vêtu d'un jock strap rose assorti à ses gants de caoutchouc, laissant son cul nu à découvert. Un collier de clebs autour du cou et la laisse sur l'épaule il s'active aux tâches ménagères... Un rêve, non ?

J'aime beaucoup aussi cette série de photos montrant deux superbes garçon de cuisine aux gueules viriles et aux muscles huilés de sueur. Eux aussi ne portant que leurs slips dans la touffeur moite venue du lave vaisselle. Et d'ailleurs, il est clair que ce dernier vêtement ne va pas rester longtemps en place... Reste à savoir et/ou deviner ce que va faire le barbu de droite avec son presse-purée...

Ben voilà. C'est pas mieux comme ça ? Cul a l'air à côté de la vaisselle du restaurant, un pied sur un sac de patates, avec seulement son tablier. Premier avantage : pas de risque de se salir. Et ensuite avouez que ces petites fesses rondes dorées comme des brioches, ça met drôlement en appétit... En plus, je vois très bien à quoi on peut jouer avec la grande écumoire. Mais c'est aussi que je suis d'une nature créative...

Un mec en train de faire la cuisine : c'est déjà sexe. Mais avec seulement un slip et des baskets comme tout vêtement, c'est encore plus sexe, non ? Bon : ok il se gratte les fesses et c'est pas top dans une cuisine ? Pfff : vous n'êtes jamais contents...

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Grimper au plafond ? S'envoyer en l'air ? Ben le message d'aujourd'hui est consacréà ce grave sujet et ce d'une manière franchement renversante : un mâle suspendu dans les airs et se balançant comme un lustre... Graaaaa mieux : deux mâles pendus par un pied, attachés nus l'un à l'autre... Avec des godes (plus ou moins clean) fixés à des manches à balais coulissant de force dans leur gueule et un master bardé de cuir installé entre eux, qui vient les sodomiser l'un après l'autre ! C'est pas un truc à grimper au plafond ça ?

On peut d'ailleurs varier les positions : attachés l'un au dessus de l'autre. Pour que les deux bouches et les deux langues ainsi réunies viennent faire du bien au chibre baveux d'un dresseur qui entre nous (et entre les deux bâtards surtout) a drôlement de la chance...

Celà dit, avec un seul captif, c'est bien aussi... Pour se faire sucer, lécher les couilles... Et aussi longtemps qu'on a envie, en regardant le corps nu et luisant de sueur de son bâtard se tordre dans ses cordes, ravaléà n'être qu'un simple objet de plaisir. La bouche d'abord...

Et bien entendu, l'autre trou ensuite... Avec en plus la jambe tendue et attachée pour s'accrocher et bourrer le mec ainsi livré totalement aussi longtemps qu'on a envie...

C'est bandant comme final : non ? Car le prisonnier enfin décroché et vautré sur le sol peut maintenant se branler, tout en se faisant arroser du foutre chaud de son baiseur...

On termine du reste en beauté avec cette dernière photo : torride ? Le mâle botté suspendu dans les airs est sublime de virilité et de muscles. Et le découvrir ainsi solidement attaché par un pied pendant qu'un second balaise pas moins bandant le tronche brutalement, ben c'est du chaud... Avec l'hiver qui commence à mordre, on ne va pas s'en plaindre, n'est-ce-pas ? Je sais : c'est franchement nul comme conclusion. Mais c'est justement, histoire de calmer un peu mes visiteurs...

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C'est vrai quoi : les trônes dorés, imposants, lourds, sculptés et tout capitonnés ou les gros sièges en cuir bien joufflus, les élégantes chaises de style "Louis", les méridiennes à la ligne design ou les fauteuils clubs aux assises bien profondes, c'est très joli pour installer dessus un beau mâle plus ou moins dévêtu... Mais en ce moment, j'ai le blog causeur et plutôt hardos... Et donc, je ne résiste pas à la tentation d'aborder la question du fauteuil moins meublant, moins décoratif et confortable : mais plus fantasmatique. Le siège de torture : graaaaaaa. Le siège n'est d'ailleurs pas l'élément le plus marquant sur cette photo, mais plutôt le gars tout nu assis dessus et solidement ligoté et baîllonné de cuir. Et aussi le décor inquiétant, moitié cabinet de dentiste, moitié salle d'opération... Avec tables de métal, bocaux flippants, sol en terre battue, gros projecteurs aux allures de cyclopes et lumière froide. Et pour un toubib fou (et homo), bien entendu...

La série suivante reprend un peu le même cadre de local abandonné angoissant, avec cette fois un vrai fauteuil de dentiste sur lequel est saucisonné avec des cordes rouges (très joli, très élégant) un sublime jeune mec poilu entièrement nu lui aussi. Et manifestement en train de sortir des vaps...

Le bourreau est du genre para-militaire (voire para tout court), ce qui est toujours une bonne idée et torse nu comme il se doit, il ricane tout en faisant des trucs entre les cuisses du pauvre jeune mâle maintenant bien réveillé et hurlant et dont les pieds nus frétillent. De rage, de colère ou de douleur ? Mais pour ça, c'est vous qui voyez...

Le fauteuil on ne le voit pas ? Ben c'est vrai, mais par contre le supplicié on le découvre bien et non seulement c'est un mâle, mais il est aussi superbement bien gaulé. Et ce qui le fait beugler à pleine voix ? Chatouille ou torture sur un de ses panards, manifestement...

Le final est plus classique, je vous le concède. Mais pas moins bandant en fait. Car le beau prisonnier maintenant détaché et totalement maté subit les derniers outrages en se faisant défoncer le fion par le militaire en rut (dont le statut de soldat n'est plus indiqué que par ses pompes). On ne lui laisse pas le choix, du reste. Et pour ça le pauvre jeune gars est plaqué de force sur le fauteuil noir : vous voyez bien que mon message du jour est hyper cohérent...

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Comment ça fumer, c'est pas bon pour la santé ? Tout dépend de ce qu'on se mets dans la bouche, non ? Et dans le genre, il y a des vrais gourmands... Et même des goinfres. Voire même des grandes gueules si on en juge pas le nombre de bites de bonne taille et bien luisantes qui entourent le visage en extase du jeune mec prosterné autour de cette couronne de chibre raides... Pour l'instant il se laisse caresser par cette récolte de glands humides et chauds. Mais mon avis est qu'il ne va pas tarder à l'ouvrir, sa grande gueule. Un collectionneur de gros cigares ?

Fumer a toujours été un acte social. Et donc fumer des mecs en groupe, c'est aussi très très bon pour le relationnel. Ce beau gars mal rasé prosterné sur le sol a des yeux magnifiques. Mais je pense aussi qu'il a un certain don des langues : en tout cas on dirait bien qu'il a su se faire plein de nouveaux copains : des gâtés...

C'est à plus ne savoir donner de la tête. Et surtout de la queue ! Notre joli jeune mec est maintenant à 4 pattes sur une estrade circulaire et sans doute fixée sur un axe : et en position de pure salope, il a 5 mâles (et donc 5 bites, facile à compter) à sucer à tour de rôle. On sent d'ailleurs que son travail de la bouche et de la langue est efficace : ses virils clients bandent et mouillent bien comme il faut. Et ils commencent même à se demander s'il ne serait pas possible de changer de trou ?

Ah c'est un peu le principe du super marché : une réelle abondance et un mec, voire une gueule en self service ? On le jalouse ? J'aurais donc des visiteurs chiennasses ? Bon assez causé : la pipe n'autorise pas de parler. C'est très mal élevé de s'exprimer la bouche pleine...

J'aime beaucoup cette dernière photo : le cadre, un sous sol un peu glauque genre parking et aussi le contraste entre ce beau mec totalement nu et accroui avec le sexe et les couilles pendants au milieu d'une foule de jeunes étalons en rut. Tous sont hâbillés et ont seulement la braguette ouverte. Ils attendent en l'insultant que leur proie foutue à poil les sucent les uns après les autres. Voirent même les vidange et il semble que le beau gars semble avoir du mal à déglutir devant cette abondance de foutre... Il va devoir pourtant recommencer à avaler de la bite. Et pour ça, les jeunes lascars sont bien obligés... de faire la queue ? Aouarf, y'a pas à dire : il y a des moments où je suis trop drôle, trouvez pas...

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Ben oui, c'est pas tout d'avoir abusé d'un mec, de l'avoir foutu à poil, attaché et utilisé. Faut aussi vérifier s'il est désormais bien docile et bien dressé. Et dans ce cas, rien ne vaut une petite séance d'humiliation. Dans le genre, le bâtard de cette photo en noir et blanc est vraiment "à la botte". Tout nu avec seulement un jock strap de cuir qui cache son sexe, mais surtout le nie et mets en pleine lumière son anus, il est prosterné sur une terrasse en pleine lumière, le visage collé au sol crade. Et deux masters en cuir se roulent des pelles au dessus de lui tout en l'obligeant à lécher leurs bottes et même à servir de paillasson à une grosse semelle boueuse qui vient s'essuyer sur ses fesses nues... C'est pas humiliant, ça ? Dites-moi ce que vous en pensez...

Encore plus fort ? Ben oui quand même : car la gueule du slave au crâne rasé porte l'empreinte d'un botte crade et merdeuse. Et c'est déjà assez violent. Mais en plus un filet de foutre déborde de ses lèvres, qu'il vient lécher sur la semelle de son master. Un dressage assez définitif et avilissant, non ?

On peut aussi faire dans le plus rigolo, du reste : dans un vaste local où une rangée de slaves attachés et nus, seulement vêtu des cages de chasteté qui leur interdisent de bander sont rangés sur une estrade de merché aux esclaves, un master hilare utilise un des bâtard comme un siège. Et non seulement il le ravale au rang d'un simple élément de mobilier en l'obligeant aussi à exhiber son cul, mais il l'humilie ainsi devant les autres soumis... Jolie scène...

Bon c'est pas tout ça, mais l'animal bien dressé doit aussi servir son maître... Et donc un autre bâtard pris dans le groupe est jeté au sol (sur un joli tapis d'orient du reste : le décorum, c'est important) et sailli en force devant les autres... Prosterné pattes écatées, le cul tendu et les fesses tatouées de son numéro déjà bien rougies... Jolie scène à nouveau...

L'humiliation devant un public, c'est bien entendu le must, mais ça demande une véritable organisation... On peut donc imaginer plus simple et alors les moyens ne manquent pas. Allez hop, un exemple au hasard... Avouez qu'être ainsi obligé de tirer la langue et de lécher de force un cuvette de chiotte crade, c'est assez rabaissant. Mais si en plus elle est poisseuse de foutre, c'est du très chaud... 

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Un diction populaire prétend que sur le plus beau trône du monde, on est jamais assis que sur son cul... Ben en fait c'est pas toujours vrai : démonstration aujourd'hui. Car une simple chaise ou un banal fauteuil peuvent donner l'occasion de découvrir l'anatomie masculine dans des tas de posture intéressantes... Nu, déjà le mâle et dans un décor cossu d'appartement citadin. Installé dans un gros siège capitonné, tendu et perché sur la pointe d'un orteil ? 

Ou dans le même décor, mais dans une posture qui découvre davantage encore certaines parties du corps, comme la plante des pieds, le dos et bien entendu ce sublime cul musclé, offert sans vergogne sur canapé. Ou plutôt, sur fauteuil, soyons précis...

Envie d'en voir plus ? C'est pas le deal. Mais on se la pète plutôt eshtétique today, artistique et athétque : un corps nu dans une posture jolie avec contrastes sépias et chaise de bois...

Encore plus fort : tête en bas, bien cambré et pattes en l'air. Superbe, même si c'est quand même un truc à se casser la gueule...

Ben,je suis comme vous : moi aussi, c'est la dernière ma préférée... Et pourtant, c'est la même chaise, avec le même fond sépia et un mec tout nu. Et pour le coup, la posture est confortable et pas franchement acrobatique. Banale même... Ce serait le modèle et son corps musclé et poilu à la croupe offerte qui rendrait cette photographie si torride ? Terrible constatation... Très tata.

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Entendons nous :dresser un mec à devenir un clebard obéissant aux ordres de son maitre, c'est pas de la zoophilie... Enfin, selon moi et du reste je ne suis pas très fan des cagoules en forme de tête de chiens et autres ouaf ouaf canins. Le seul accessoire vraiment indispensable selon moi, c'est un collier de cuir plus ou moins clouté. Et une laisse, bien entendu... Comme sur cette photo : le beau mec encore hâbillé et menotté commence son éducation. A genoux aux pieds d'un master en uniforme de cuir, il porte un épais collier de cuir et une laisse de métal le relie à son dresseur. Et l'humilie ?

Etape suivante ? Ben tout nu : avec à la rigueur des tatouages. Et bien entendu un collier de clébard autour du cou et une laisse. C'est du joli toutou, non ? A poil et genoux et dans l'attente des ordres de son maître...

Ils sont pas bandants ces deux jeunes mecs debout côte à cote ? Totalement nus et avec leur laisses et leurs colliers de bâtards se détachant sur leur peau rose. Comme dans un marché aux esclaves, ils attendent sur fond de rideau rouge : hop, on prend leur laisse et on les traîne derrière soi pour s'en amuser à sa guise...

Bien entendu, la photo suivant montre la posture animale du bon clebs : à 4 pattes (avec des genouillères). Le harnais, les bracelets de cuir, les moufles, le plug queue et l'étui à couilles en caoutchouc ne s'imposent pas. Et surtout les grosses pompes ne sont pas nécessaires : un bâtard doit être pieds nus selon moi. En tout cas ce beau bestiau en promenade par sa laisse est déjà bien dressé et il vient renifler la braguette d'un militaire : brave bête. Il aura droit à sa récomense : une bite bien moite et odorante à lécher ?

Du reste la laisse et le collier de cuir ne sont pas seulement des accessoires bandants destinés à marquer la soumission du bâtard et l'humilier. Comme on peut en juger sur cette dernière photo, c'est aussi très utile pour bien l'obliger à se cambrer quand il marche à 4 pattes et à donner ensuite son cul quand on le couvre. Et dans le genre se beau mec totalement nu et couvert de crasse ainsi tenu en laisse, ben moi je trouve ça très excitant : une chienne à la chaîne quoi...

(A SUIVRE...)

Noël commence à poindre son nez rouge. Et avec lui tout le cortège des bouffes, réveillons, dindes et autres boudins farcis... Un petit avant goût gastronomique histoire de se mettre en bouche ? Un peu de sucré et le genre banana... splotch !

Et ça peut faire tirer la langue... C'est très clair. Certes, devant ce joli brun hilare, tout nu et dégoulinant de crème, de chantilly et de fraises, on hésite : lécher ou faire beurk. En plus c'est très vilain de jouer avec la nourriture...

Orgie, orgie, nous voulons des orgies ! Après la crème chantilly, les fraises toujours, sucées comme un gros gland. Et avec du chocolat tiède comme accompagnement... Certes ces pectoraux glabres maculés et ces coulures de chocolat servant de fond à un gros éclair bien raide, c'est sensuel. Mais gare si on oublie que c'est du chocolat, car la couleur marron peut aussi évoquer des matières tout aussi tièdes, mais beaucoup moins appétissantes et ce à tous les niveaux...

Sur la photo suivante au moins, il y a beaucoup moins de risque de se tromper. La crème est beaucoup plus salée et si elle gicle abondamment d'une grosse bite en forme de quenelle, c'est de la production 100 % naturelle. Et 100 % masculine : pas de doute à avoir. Ferme les yeux, avale... et déguste, espèce de cochon...

Suivre un mâle à la trace? Et dans le genre de trace, cette coulure de semence sur un plateau de bois, ben c'est de la production d'étalon, non ? Alors vous préférez quoi, quitte à tirer la langue : crème chantilly sur un corps nu, chocolat chaud ou... "lait" de mec directement pompé au robinet ? Un seul mot : "à table !"

(A SUIVRE...)

Ah la loi des contrastes... Vecteur de tant d'excitation.. Un mec tout nu en face d'un mâle tout hâbillé ? Ou un décor lourd et orné, avec grand lustre de cistal, des boiseries dorées et des draperies cossues. Et on découvre un mec cagoulé et botté, mais sinon à poil et pattes en l'air comme une chienne lubrique, installésur un fauteuil rococo bien rembourré, occupéà se faire troncher sans ménagement par un dominateur botté et sanglé seulement d'un harnais clouté...

Le contraste est bandant, je trouve... Et le mec cagoulé a posé sa grosse pompe boueuse sur la soie du fauteuil de style Louis XV pour mieux se faire saillir par l'étalon tatoué en rut... Ca va gicler sur les tissus précieux à mon avis...

Le galop final est encore plus débridé : empalé sur le gros chibre dans ce décor de palais ou de palace... Et le tapis d'orient risque de garder des souvenirs humides et poisseux du passage des deux visieurs incongrus... Le décallage : y a que ça de vrai !

On change de décor ? Mais on reste dans le même style... Enfin : pas tout fait. Louis XVI après Louis XV. Sinon, même indécence d'un bâtard botté et sanglé dans un chaps de cuir, un collier de clébard autour du cou et empalé sur un sexe et donnant son rectum au sceptre d'un gaillard mieux que nu.

Le décor est tout aussi chargé, aussi doré, aussi riche. Aussi kitsch ? Et d'ailleurs ce décor va morfler...

Dernière photo : ben oui. Un cadre tout aussi lourd, mais dans les rouges. Et un fauteuil club de cuir rouge pour servir de trône à un dominateur en cuir (noir) se faisant astiquer le jonc par le trou serré d'une pute en tenue... Et en érection. Pas mal, le service d'étage de ce Palace bling bling. Le costume des grooms est du genre explicite et sexy...

(A SUIVRE...)

Et oui : un mâle dressé dans la pénombre d'un sous sol ou dans le confort d'une chambre, c'est top. Mais exhiber la bête et montrer son humiliation au milieu d'une foule en délire, c'est pas mal non plus. Vous imaginez ? Une rue grouillante de monde, des insultes, des rires, le crépitement des photos... Et là, tenu en laisse avec une grosse corde par un master en chaps et blouson de cuir sans manches, cul et torse nu, on découvre un beau gars totalement à poil sur le macadam, ligoté et à genoux, les fesses rougies par les fessées et la tête basse pendant qu'une botte cirée vient jouer avec son sexe... Excitant, non ?

Le coté bâtard ou chien dans la foule... Et couché sur le dos à même le sol crade de la rue au centre d'un cercle bruyant, yeux bandés cette fois et tout nu, les parties génitales exposées, sentir une semelle sale se frotter sur son visage. Le must en matière d'humiliation, trouvez pas ?

Le dressage peut être plus hard encore : sur cette 3e photo, on découvre un beau rouquin pendu par les pieds, les tétons torturés par des pinces. Et le jock strap transparent dévoilant le sexe est aussi assez sexy, je trouve...

Bien entendu, si la contrainte physique est très bandante, le dressage au milieu de la foule anonyme, dans la rue et avec une laisse comme seul symbole de captivité est peut être encore plus hard. Ce beau mâle tout nu et entouré de masters en cuir est confronté ainsi à la honte absolue devant public...

Encore plus fort ? Ben ok. Sur cette dernière photo, un mec à 4 pattes dans une impasse boueuse est  à poil. Et il se fait couvrir comme un animal et pendant ce temps lèche les bottes d'un de ses agresseurs. Et à en juger par l'attitude et l'"émoi" des autres spectateurs en attente, son taff est manifestement bien loin d'être terminé... Ca vous chauffe ? Tsss : pervers !

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Ah les plaisirs de la bouche, comme on disait sous l'Ancien Régime... Et d'ailleurs en parlant de régime... Il y a d'abord le régime de bananes... Jolie métaphore sur cette photo, non ? Belle gueule, regard qui tue, lèvres gourmandes... Même la banane est bandante...

La banane... ou la glace ? Plutôt chaude, cueillie délicatement de la pointe de la langue au dessus de deux boules rondes qui viennent ici de larguer leur crème... C'est déjà plus explicite.

Bon, on peut aussi être moins gourmet. Et plus gourmand. La langue tirée au maximum, les yeux fermés et le menton et le torse dégoulinant de foutre... Ca vous mets en appétit ?

Et là encore : pas vraiment de la cuisine. Mais de la gâterie quand même. Et un plat servi chaud très énergétique et hypo calorique... Crème et chocolat réunis sur un menton barbu... Chaud, j'ai dit...

Retournons aux métaphores. Et aux bananes ? Je pense que c'est très clair ? Jolie photo, non ? 

Je pense que vous ne considérerez plus l'épluchage d'une banane de la même manière désormais...

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Un mur lisse ou pâtiné comme fond : on a déja bien vu la chose, je crois. Mais on a pas encore exploré cet accessoire qu'est le cube de béton. Comme un socle où poser de belles anatomies masculines... Et les photographes s'en donnent à coeur joie alors. Avec un barbu tout nu pour commencer. Assis jambes écartées en parfaite symétrie, pour mieux attirer l'attention sur un cache sexe très provocateur : une grosse bible noire ouverte elle aussi et dissimulant à peine entre ses pages les parties génitales...

Le modèle se retourne ensuite sur son bloc brut : histoire de nous montrer son cul en noir et blanc avec la touche sombre de son sexe comme axe central et toujours la bible ouverte entre ses mains. Et deux autres grandes mains divines et crispées surgissent du ciel... Joli, non ?

Le bloc de béton peut servir de siège ou d'assise. Il peut aussi remplir la fonction de piedestal. Et sur cette troisième photo, elle aussi très créative dans sa simplicité, le superbe barbu se tient dans une posture que la position de ses pieds rend douloureuse et qui est à la fois très esthétique et complétement obscène. Car le modèle nous offre ainsi clairement son cul, non ? Comme un appel direct à la sodomie...

Le cube de béton a cet intérêt de permettre des postures très savantes et en même temps par sa simplicité et son volume blanc souligne le luisant du corps en offrant des contrastes très sensuels.

Et il autorise même des postures athlétiques et acrobatiques qui offrent comme point focal et axe de la composition photographique en pafaite symétrie des zones cachées du corps masculin... C'est à dire : le trou du cul et en dessous les testicules et la verge. Comme quoi on peut mélanger sensualité, beauté formelle d'un dos musclé et d'une paire de fesses bien rondes et érotisme torride.

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Nous avons admiré la dernière fois des beaux gars exhibés, attachés et nus dans la rue... Mais soyons pragmatique, c'est pas la chose la plus facile à réaliser... Dans une cave d'immeuble, c'est déjà plus praticable. Et pas moins fantasmatique non? Regardez ce jeune mec à poil dans ce long tunnel, totalement rasé, enchaîné pattes en l'air sur un sling : a dispo totale du mâle - ou des mâles - qui auront envie de l'enculer direct. On peut le baiser, le violer, par contre il ne faut pas fumer comme l'indique le petit panneau...

Le bâtard suivant n'est pas moins bandant, n'est ce pas ? Et là, le confort est total : une douillette chambre à coucher ou un salon avec moquette épaisse. Enfin, c'est confortable pour le master et ses visiteurs. Car l'objet sexuel ligoté entre deux poteaux est certes dans une posture qui offre ses deux trous de mec à loisir, mais ce grand écart doit être un peu contraignant. Les traces de fouet sur son dos témoignent qu'on l'a aidéà tenir son rôle d'objet sexuel... Voire d'élément du décor ?

Revenons donc à des choses plus simples. Comme ce joli gars au regard haineux au dessus de son bâillon, bras et jambes en l'air de force pendant qu'on le branle et le doigte sans lui demander son avis. On le doigte pour commencer, bien entendu...

Encore plus chaud et humiliant ? Le bâtard tout nu est attachéà une grosse poutre verticale, la tête coincée vers le bas et son cul est ainsi totalement en libre service... Suivant ?

Et on termine le message du jour avec ce joli petit brun ligoté comme un poulet sur le dos, ses grosses couilles bien visibles, la plante de ses superbes pieds nus encadrant sa jolie gueule : à dispo. Et on a ainsi tout le temps de profiter de son anus à sa guise pour bien le faire gémir, couiner, protester, insulter, hurler... Comme on a envie. Cool non ?

(A SUIVRE...)