Vous vous souvenez de ce film de Wenders ? Les Ailes du Désir (je ne sais pas le dire en Allemand). Mélancolique et lent, montrant Berlin en noir et blanc peuplé d'anges silencieux. C'est manifestement le sujet d'inspiration des photos d'aujourd'hui. Mais en plus sexe, et ce d'embée... Car ce beau gosse ailé et musclé portant des cuissardes et des hauts gants de cuir noir a certes un côté underground berlinois. Mais c'est aussi clairement un mâle...

Et un mâle bien réveillé même... Avec aussi un petit côté Super Héros avec son masque de maquillage blanc et son corps glâbre passé au blanc de céruse. Et il est même équipé au niveau du bas ventre d'une véritable ogive...

Nucléaire ? En tout cas une fusée bien lourde et luisante équipée d'une tête chercheuse. Et qui a trouvé. Bandant ça, de voir l'ange enfoncer son chibre raide dans la bouche d'un beau mec totalement nu et enchaîné pattes en l'air. Le visage écarlate la victime virile se débat et se tortille de la tête aux orteils...

Ben forcément : c'est plus du tout le scénario romantique du film de Wenders. L'emplumé poudré de blanc lui frappe la gueule avec son chibre et essuie son gland poisseux de foutre sur les lèvres grimaçantes.

On s'y attendait un peu : après avoir utiliséà sa guise, l'ange pervers s'interesse au second trou de sa proie, bien mis en évidence par la posture humiliante... Et pour calmer et faire taire le mâle enchaîné, il lui claque les fesses avec ses paluches gantées de latex luisant...

La charité chrétienne n'est plus ce qu'elle était, moi je dis. Un ange gardien qui sodomise son protégé de force après avoir laissé de belles marques écarlates et chaudes sur sa belle croupe de bourrin, c'est pas marqué dans les Ecritures...

Le beau gars suspendu par les pieds et les mains se balance dans les airs en offrant le spectacle obscène de ses zones les plus intimes. Et l'ange pervers frappe, puis laisse sa main courir en direction du trou dilaté : c'est pas très gentil ça...

Ou alors, il cherche a découvrir sa beauté intérieure? A la pogne et en enfonçant ses doigts gantés dans l'anus déjà ouvert de force par sa bite... Une pogne entière et le pauvre captif hurle a pleine voix... Après on s'étonne qu'on s'interroge sur le sexe des anges. Bref : un ange passe...

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Un mec comme un objet sexuel : c'est top. Mais comme je l'ai déjà indiqué, on peut aller plus loin et rendre son esclavage visible et permanent... Comme pour ce petit brun en laisse, portant tatoué un code barre sur le torse...

L'endroit du tatouage peut d'ailleurs varier. Et haut dessus du sexe emprisonné dans une cage de chasteté, à la place de la toison pubienne rasée à blanc, c'est sans doute l'endroit le plus explicite. Et le plus dégradant.

L'inscription tatoué peut aussi être moins subtile et plus clairement rabaissante : ce superbe bâtard est nu, mains sur la tête. Il a été intégralement rasé, sauf sa tête. Et son torse musclé est décoré d'un tatouage très décoratif entourant la mention toute simple : "pig". Un porc...

Le deal est très clair : le master utilise son bâtard à sa guise. Et ainsi ce jeune gars prosterné exhibe la marque de son propriétaire, tatoué de manière définitive sur le haut de son dos. Avec non seulement le nom de son maître, mais même son numéro d'esclave et la date de la perte de sa liberté. On atteint les limites là...

Un dernier petit tatouage pour terminer ? Toujours très clair et vraiment très inventif, c'est à dire pervers. Le O de Dog (chien) est remplacé par le trou du cul du mâle exhibéà 4 pattes dans le cachot sombre et puant où il attend dans des fers que son master l'arrose de pisse. Je me demande vraiment si on peut faire plus dégradant et humiliant ?

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Ahh une situation assise... Et un bon gros fauteuil bien jouflu à la fois décoratif et confortable. Vous installez dessus un sublime bête musclée et totalement nue, un peu en train de se tortiller pour cacher son bas ventre et le siège devient tout de suite beaucoup plus intéressant à admirer. Trouvez pas ? Ou alors l'attention se focaliserait plutôt sur l'occupant du fauteuil ? D'autant plus nu et excitant qu'il contraste avec le décor de Palace...

Le contraste entre un fauteuil cossu dans un décor sophistiqué et un mec totalement nu est très bandant, je trouve. Alors si en plus l'occupant du siège se montre avec son slibard descendu sur les chevilles, c'est encore plus sexe. Surtout si le regard peut ensuite glisser vers d'énormes burnes bien lourdes et un sexe (bien) raide

Le fauteuil où se vautre une belle bête en petite tenue peut aussi être moderne, du reste. Cuir et métal chromé pour se mâle raffiné sirotant un cocktail et fumant un gros cigare. Pas de slip ce coup ci, mais des chaussettes noires un peu hautes comme seul vêtement. Et les cuisses écartées, le sexe bien offert sur l'assise de cuir tiède et odorant, il attend tranquillement le service d'étage qui viendra s'installer entre ses jambes pour s'occuper de son paquet (voire en dessous) et de ses panards gantés de noir ?

Bin sur on peut donner dans le plus banal au niveau décor et fauteui : un joli petit blond musclé et glabre posé tout nu sur une serviette. Et très en forme...

Dans le même genre la photo suivante ? Avec un gros fauteuil douillet drapé d'un drap blanc. Pour mieux faire ressortir la nudité du joli petit biquet à poil dans une posture confortable et animale de chien de compagnie. Car le mignon gamin ne porte comme seul vêtement que des menottes de cuir aux chevilles et aux poignets. Accompagnées d'un collier de clebs et d'une laisse de métal, histoire de ne laisser aucun doute sur son statut d'esclave sexuel. Pour l'instant il astique sa grosse bite luisante : mais libre ensuite au spectateur de l'utiliser à sa guise...

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Et oui, le statut angélique peut être très discret... Un simple dessin dans le dos et le tour est joué. Et avouez que cette sublime bête montrée de dos dans un clair obscur savant est carrément... à se damner ? La nuque virile en peine lumière, les bras et le dos musclés et en dessous une croupe crispée, bien pleine et bien ferme mise en valeur par des larges cuisses de culturiste : on en oublierait presque les ailes tatouées du sublime balaise...

Toujours de dos, forcément, ce deuxième ange déchu est montré intégralement, totalement nu et   genoux sur une table ancienne qui est le socle de cette scupture vivante. Et le tatouage sur son dos mi-plumes mi-flammes accentue l'équivoque de sa posture : ange ou démon ?

Les ailes ne sont pas forcément angéliques ? Car avouez que ce beau mec viril tendant son cul en arrière souligné par les lanières de son jock strap et exhibant sa rondelle dilatée en poussant dessus est clairement un hells angels ou un biker. Le tatouage décoré de flammes infernales ornant son dos fait de lui une créature bien trop torride pour ne pas fleurer le soufre...

Les ailes de plumes ? Ou des ailes de chauve souris... Et ce joli brun de dos est clairement un démon, n'est ce pas. Avec même une queue pointue et acérée  roulant sur ses reins pour venir se perdre sur une de ses jolie fesse délicatement velue en reprenant les volutes de ses veines...

Justin Monroe pour terminer : une atmosphère beaucoup plus baroque, c'est clair. Et plus d'ailes pour ce martyr sur fond de vitraux, griffé et torturé par des croix et des mains griffues surgissant d'un tronc pour venir ouvrir et exhiber son cul bien offert...

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Un mâle à dispo, c'est bien. Mais deux, c'est pas mieux encore ? J'aime beaucoup cette première photo déjà : un beau gars nu, solidement enchaîné par les chevilles et les poignets, immobilisé jambe en l'air dans une structure de métal l'obligeant de force à exhiber son cul et son sexe, prêt pour la saillie. Et en dessous on découvre un second captif tout aussi à poil, prosterné sur le sol dans la posture inverse de son camarade... Prêt à asister au viol et aussi à lécher les bottes ou les panards du dominateur qui viendra les utiliser... Et enculer le beau gars en position pile à la bonne hauteur...

Le duo c'est aussi le must pour un dominateur assis : ainsi ce balaise velu et barbu a deux jouets sexuels menottés pieds et poings à sa disposition : un pour lui rouler des pelles et un second pour lui sucer le chibre. Pour commencer, bien entendu... Et en alternant aussi... Torride.

On peut bien entendu imaginer plus hard et plus simple à la fois. Comme ces deux jolis jeunes mecs en chaussettes, ligotés et bâillonnés cote à cote sur une table basse. Pour l'instant on s'est contenté de leur virer leurs pompes et de leur baisser leur short pour les abandonner cul à l'air... Mais le viol ne fait que commencer, bien entendu. Une simple première étape très excitante à regarder...

Ben après une mise à poil totale, voilà une seconde étape possible : solidement ligotés et toujours yeux bandés, les deux captifs tête bêche doivent se sucer mutuellement. C'est pas un joli spectacle, ça ?

Et bien entendu, il est temps ensuite d'offrir les deux mâles bien dressés à la saillie. En attente dans un grand local et solidement attachés dans une posture humiliante qui ne leur permet aucune résistance, ils sont ainsi épaules contre épaule à la disposition des mecs qui pourront venir se soulager en alternance dans l'un ou l'autre cul... Top.

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Miam miam... Teter une bite ou bouffer un cul ? C'est comme on veut, mais sur cette première photo, la table est mise... Un joli petit mec attachéécartelé tout nu, bâillonné et la bite raide est en attente sur une belle table d'acajo. Au centre d'une grande salle... Aux convives de l'utiliser ensuite à leur guise, en lui léchant les orteils ou la bite, en s'empalant sur son chibre etc. C'est plutôt un libre service comme menu...

Le menu suivant est tout aussi appétissant, trouvez pas ? Si ce n'est qu'on fait cuire le plat du jour avec des bougies chauffe plat... Chaud.

 Bon, on passe à table... Trois belles croupes viriles offertes sur canapé : une dégustation à l'aveugle ? Avec un beau choix à la carte : un cul poilu ou glâbre...

Après une savoureuse exploration de la pointe de la langue, genre gourmet, la photo suivante montre plutôt deux gloutons se goinfrant et se roulant une pelle dans un fondement ! Cela dit, quand il y en a pour un, il y en a pour deux...

L'appétit vient en mangeant ? Retournons donc à une certaine sensualité, vous voulez bien... Et cette fraise charnue et luisante venant à peine effleurer une peau frissonnante avant de se perdre dans une raie encore serrée, avouez que c'est de la véritable gastronomie, non ? Ca fait envie ? C'est le but...

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Ben oui : des démons ! Et si c'est moins sensuel que les enplumés, c'est franchement plus torride. Normal. Un mâle musclé, tatoué, luisant de sueur et sanglé dans un harnais assorti à son aile de chauve souris en cuir noir. Avec un filet pour attraper la belle bête ? Mais blanc et ne cachant même pas le sexe lourd et encore endormi...

Ben oui, les démons dégagent, c'est normal... Et ils fument : normal aussi. Belle gueule pour ce suppot de Satan au visage caché par un masque affreux et soufflant le soufre...

Plus obscène? Ben ce diable musclé aux allures de satyre est ruisselant de stupre, accroupi totalement nu dans une posture animale, prêt à bondir... Son sexe est caché, mais c'est justement pour rendre le regard perçant de ce démon encore plus vicieux...

Plus explicites plus décadents, ces deux diablotins surpris dans les latrines. Avec des murs couverts de sang (ou d'exréments ?) montrant des graffitis obscènes en guise de signes cabalistiques. Et tandis que l'un fixe le spectateur d'un air affamé, son petit camarade prosterné devant la cuvette des chiottes se pogne en léchant avidemment son chibre raide. Ou son pieu ?

Les petites cornes et les dents acérées sont finalement suffisantes pour rendre cette scène dans un lieu banal (quoique paticulièrement underground) torrides comme une vision de sabbat... Pas de pieu dans le coeur pour ces envoyés de l'enfer surpris dans les chiottes : mais une grosse bite défonçant l'anus poilu d'un joli petit diable empalé...

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Ah l'humiliation d'être nu au centre de femmes habillées et examiné en public comme un esclave antique ou même un simple animal... Cette superbe bête musclée baisse la tête de honte et grimace pendant que des excitées emperlouzées jaugent sa queue en toute impudeur et surtout tirent sur la toison de son pubis comme s'il n'était qu'un étalon, voire pire, un vison ou un lapin prêt à se faire tondre... Humiliant non ?

Le mec suivant est lui aussi traité en objet sexuel : tout nu devant des filles hilares, menotté et les pieds entravés par une corde, il porte un collier de chien et fait le service, une bouteille de champagne à la main...

L'exhibition dans une nudité totale est encore plus humiliante (et donc excitante) dans un lieu public comme ici dans un bar. Une belle bête glabre et tatouée est ligotée en croix sur un comptoir, totalement nue et yeux bandés de manière à ne même pas savoir qui vient l'examiner des pieds à la tête et même branler de force son gros chibre exposé en libre service...

Joli spectacle que ce beau gars se tortillant au dessus de la foule des clients, nu comme un ver, avec son sexe raide qui darde et mouille comme un objet de décor...

Et bien entendu dans le genre exhib publique, la tournante est un must, comme pour ce mâle vintage solidement ligoté sur un tronc d'arbre et donc maintenu de force à 4 pattes. Le bas du corps a été mis nu et le barbu ne porte plus que sa chemise de bûcheron en jean. La cire d'une bougie vient arroser ses fesses poilues et son dos, mais ce n'est à mon avis qu'un tout petit début : les trois blacks qui l'entourent vont certainement se succéder les uns après les autres dans son cul bien en évidence... Et quand l'un aura terminé, ses camarades seront à nouveau en rut... Chaud ça...

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Ah les mystères des cuisines... Et la vengeance d'un convive ? En tout cas sur cette première photo, on découve un mignon petit cuisinier soigneusement ligoté sur une chaise... On lui a seulement laissé son tablier et ses chaussettes (le carrelage, c'est froid) et bâillonné avec du ruban adhésif, le cuistot a l'air assez inquiet de savoir ce qu'on est en train de lui mijoter...

Même scénario pour le marmiton suivant : un jeunot qui va passer à la casserole ? Pieds nus sur le sol, saucisonné sur une chaise, le mignon gamin se fait tripoter l'entre jambe : manifestement un simple hors d'oeuvre...

Le beau mec de la troisième photo est lui aussi en fâcheuse posture : tout nu cette fois et bâillonné lui aussi, il est en train de se faire torturer la saucisse et les marrons... Avec tout ce que contient une cuisine comme instruments de supplice, on admire son érection...

Et on termine par un petit goûter entre filles. Très bandant car deux mâles nus campés dans un coin, humiliés par leur nudité et traités comme deux simples bestiaux à traire sont en train de fournir de la crème toute fraiche... Un nuage de lait dans votre thé ?

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Ah ben oui, la fin du monde, c'est forcément de la grosse orgie... Et on commence donc avec ce musclé lançant des éclairs... par la bite ?

La Mort se pointe ensuite, avec son capuchon, sa faux et sa faux traditionnels. Sauf que moi je la trouve drôlement bien gaulée, la camarde... Nue sous sa cape, musclée et drôlement bien montée en plus. Des burnes bien lourdes sous un chibre de belle taille...

La fin de monde et tout le monde irait s'envoyer en l'air ? C'est enthousiasmant, trouvez pas de découvrir ces mecs nus flottant dans les airs et se tortillant dans tout les sens...

Et je ne sais pas si c'est la résurection qui fait ça, mais ce sont des sacrées belles bêtes... Blanches ou noires, musclées à la perfection et ne cachant même pas leurs génitoires au format sympathique...

Pour conclure : c'est chouette le Jugement Dernier si c'est ça... Avec orgasme sur commande, d'un simple claquement de doigts. Vivement la fin du monde.

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Vous allez me demander : pourquoi des fauteuils bleus ? Et le fait est que c'est en effet une bonne question. La réponse est très simple : des fauteuils bleus parce que je fais un peu de collectionnite et que j'ai trouvé des photos avec des mecs nus sur des fauteuils bleus. C'est tout. Commençons donc : avouez que si on a pas grand chose à faire du siège (bleu) le mâle tatoué installé tout nu dessus est du genre drôlement mignon. Le tatouage est assorti à la couleur du fauteuil, mais surtout il est bandant ce jeune gars avec sa tronche mal rasée et son pubis tondu...

Je suis le bon gars en plus : après vous l'avoir montré assis sur le dossier du siège, histoire de vous laisser imaginer ce qu'on peut faire à genoux sur l'assise, hop, je vous le retourne... Beau cul aussi, hein ? Et prêt à l'emploi, si vous voyez ce que je veux dire...

Le modèle suivant n'est pas moche non plus : en plus il y en a deux pour le prix d'un. Bien bâtis, bien membrés, bien excités et mal assis. Et en attente de votre signal...

Et top départ ! Slurps, les petits cochons...

Un feu d'artifice pour terminer ? Et je le reconnais : si le confort du siège et sa stabilité sont importants, la couleur du fauteuil on s'en fout plutôt pas mal... Hum, j'adore cette photo : une indécence totale !

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Le diable aurait la queue fourchue ? Avouez que ce type de cauchemar peut faire rêver... Cela dit ce démon sur fond de bottes de paille est plutôt du genre vampire si on en juge par son regard, sa dentition et la grande cape noire doublée d'écarlate qui est son seul vêtement avec un jock strap rouge prêt à déballer sa marchandise...

Le joli mec de cette deuxième photo n'est pas allé faire un tour dans la grange, mais a été conduit yeux bandés dans un salon aux airs de donjon... Et 4 balaises torse nu et portant des masques de démons commencent par le foutre à genoux et commencent à le deshabiller en le caressant... Torride ?

Une orgie ou un sabbat ? En tout cas le mortel aux yeux bandés se retrouve bien vite empalé sur un gros pieu et la bouche plaquée sur une bite raide prête à larguer...

C'est une partouze classique ? Ou on s'empale, se suce, se branle, s'encule... Oui en fait, mais le décor baigné de rouge et les masques cornus des 4 démons ajoutent beaucoup au... "charme" de cette orgie diabolique... Trouvez pas ? Et la présence du barbu aux yeux bandés et au sexe recourbé comme une corne (forcément) titille fort agréablement la zone fantasme du cortex cérébral...

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Et oui, un mec tout nu, c'est un mec tout nu. Et s'il porte un petit quelque chose, il est tout de suite plus sexy : oh pas une grosse doudoune ou une armure médiévale. Non, mais un slip par exemple, un peu moulant... Et du reste dans la famille des sous vêtements torrides, je crois bien que le jock strap est un de ceux qui ont la palme de l'indécence. Et pas seulement parce qu'il s'agit d'un accessoire de sport destinéà soutenir les couilles tout en laissant les muscles fessiers libres de leurs mouvements : c'est bien entendu car alors le cul d'un mâle est plus qu'à poil...  Cette photo est assez claire, non ? Belle bête... Ce boule bronzé et de profil est trop beau, ainsi encadré par la ceinture et les lanières blanches faisant ressortir les larges cuisses velues...

Bon, bien entendu en gros plan et bien en face, c'est pas mal non plus... Un modèle blond, foutu comme une statue, avec regard appuyé et ombre portée sur la raie...

On peut aussi aimer un jock strap plus porté, un peu humide, odorant et sale sur un fond d'escalier moisi. Avec un athlète muscléà la peau trempée de sueur.

Le principe du sous vêtement est de rendre la nudité encore plus désirable et aussi de mettre en valeur les fessiers mâles totalement mis à nus... Le blanc fait plus sportif, mais le noir, ainsi accompagné par un harnais est aussi tout à fait torride : ce balaise à la nuque rasée et accrochéà une chaîne est comment dire... offert ?

Comme est tout aussi offert ce gars à plat ventre, reins cambrés, le haut du corps encore vêtu d'un banal woody gris à capuche : son jock strap moule ses testicules invisibles et ainsi étendu, le sous vêtement ne cache rien et même accentue l'indécence de ce cul de mec, bien rond et tentant. En plus, vous avez remarqué ? Le point de réunion des lanières élastiques est en général situé pile au niveau de l'anus. Slurps...

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Ben oui, un captif totalement nu dans sa cellule en attente de son châtiment, c'est déjà sexe. Mais le découvrir en plus ligoté solidement à l'horizontale aux barreaux de sa prison par des sangles de cuir, c'est encore plus chaud, trouvez pas ? Etrange spectacle à première vue, mais attendez la suite...

Le beau mâle peut à la rigueur gémir et bouger les orteils, mais c'est là sa seule liberté : torride... Et ensuite, me direz vous ? Et c'est là que cette petite série de photo devient vraiment top : car le prisonnier saucissonné doit encore servir. Un maton seulement vêtu de ses bottes vient lui fourrer de force son chibre puant devant la gueule...

Devant la bouche et dans la bouche, bien entendu : il a été attaché pile à la bonne hauteur. Le prisonnier gémit, supplie, grogne : certes. Mais il n'a pas d'autre choix que sucer le sexe forçant ses lèvres...

Joli spectacle que de contempler le superbe cul rond du gardien roulant et tanguant et d'entendre les bruits de déglutitions et les râles du prisonnier violé par la gueule...

Par la gueule pour commencer, bien entendu... Car ligoté comme il est, il présente aussi ses fesses en accès libre. Et après s'être fait du bien entre ses lèvres, pourquoi ne pas aller aussi utiliser un autre trou encore plus serré ? Le mâle ligoté peut crisper les fesses tant qu'il veut, ça rentrera quand même...

Violé par tous les trous, impuissant et offert en spectacle aux autres détenus, le beau blond est a dispo : et sans doute le maton ne sera-t-il pas le seul à l'utiliser comme vidange publique ? Fantasme, fantasme...

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Ben oui : le principe de dresser un beau mâle à sa botte, c'est carrément de le retourner. Et donc s'il se retourne tête en bas, c'est tout à fait normal... Dans un vestiaire par exemple et avouez que ce superbe mec à poil et suspendu par les pieds avec son trou du cul et son sexe pile au niveau de la bouche des spectateurs, c'est du lourd...

Le retournement de la situation passe donc par le retournement du bonhomme ? Ben pour commencer et ensuite, il faut un peu le dresser... Au fouet par exemple ? Pendant qu'il supplie et hurle comme un cochon qu'on égorge : normal, c'est exactement la posture...

La punition, les hurlements... Le local de la punition fait aussi beaucoup : après un sportif malmennéà poil dans un vestiaires, on continue avec ce joli mâle suspendu par les pieds et les mains attachées aux cuisss dans une sorte de sous sol crade : un joli spectacle, trouvez pas ? Et le cul nu crispé par la posture est particulièrement tentant, je trouve...

Après des jolis petits bruns, un superbe rouquin, pour changer ? Sinon, même type de décor sombre et sonore, mêmes chevillères de cuir fixées à des chaînes... Et le visage écarlate et grimaçant est maintenant de la même couleur que la (grosse) bite pointant vers le bas... Et ensuite ?

Ben ensuite, une correction ? Avec les lanières de cuir qui cinglent les fesses, les cuisses et le dos, le corps nu et luisant de sueur qui se balance en faisant grincer les chaînes, les gémissements... Je raconte bien, hein ?

Et maintenant que le captif a été maté, on peut s'amuser... En lui ouvrant le cul, en tripotant sa queue et ses testicules. Et surtout en l'obligeant à pomper : et oui, le bas ventre de son bourreau est pile à la bonne hauteur...  Bon, ok le jeu est forcément limité : mais bon.

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Ah ben voui : un gros chibre turgescent et dégoulinant de mouille se dressant sous votre nez, ça peut intimider et on peut ne pas avoir envie de le prendre dans sa bouche. On peut comprendre... Et c'est donc un plaisir supplémentaire d'obliger un mâle vous sucer, à 4 pattes ou à genoux dans une posture de parfaite soumission. Et avec un collier de clébard autour du cou comme seul vêtement et solidement tenu en laisse ?

Le contraste entre le mec debout et son esclave à plaisir ventousé sur son membre viril est bandant. La supériorité est bien exprimée et si en plus on découvre cette scène de domination sur fond de piscine, avec une belle bête accroupie et solidement ligotée, yeux bandés pour sucer à l'aveugle sans savoir qui lui défonce la gueule et aussi se concentrer sur les sensations, le goût, l'odeur et la texture, on va pas s'en plaindre, hein ? D'un coté comme de l'autre...

On peut bien entendu une contrainte plus physique encore et moins sensuelle : un gars attaché bras en l'air et étranglé par sa laisse, obligé de tailler une pipe de force... Rien ne dit, d'ailleurs qu'il ne va pas également se prendre de copieuses giclées de pisse..

Sinon, extaire de sa cage un petit prisonnier tout nu et menotté pour l'obliger à se mettre au service de mâles en rut, c'est également tout à fait fantasmatique...

Et le top, voire la palme revient peut-être à cette dernière photo où un esclave à 4 pattes et nu, tenu en laisse par une chaîne dans la foule pompe à la chaîne les inconnus qui l'entourent, en exhibant en plus sa face dégoulinante de nombreuses giclées de foutre...

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A poil avec des chaussettes et un slibard, c'est un peu un quitte ou double. Une catastrophe tue l'amour si le mec est un affreux poux volant ou au contraire un effet absoluement torride. Car d'abord bien entendu, il faut un beau mâle pour commencer. Et alors le slip modèle kangourou si ringard et les grosses chaussettes blanches démodées depuis Michael Jackson et les années 80 deviennent du coup très bandants...

L'association des chaussettes et du slip suggèrent un mâle en sous vêtement : en partie déshabillé, mais juste ce qu'il faut...

D'autant qu'on peut aussi varier les accessoires : chaussettes de sport et slip un peu transarent gansé de couleur comme un sous vêtement aux allures de short de sport... Et alors porté par une belle bête musclée et bronzée, ça devient tout de suite... renversant ?

Le modèle coloré est aussi très excitant : des pieds moulés de couleur, un slip viril assez banal et ce rouquin en extérieur est bien plus torride et troublant que s'il était simplement en tongs et short. Car clairement, il n'est pas nu, mais en sous vêtements : une nuance qui fait toute la différence...

Ah un slip immaculé et des chaussettes blanches bien sages, bientôt marquées de gris au niveau de la plante des pieds. Comme la braguette du slip moulant et un peu transparent sera bien vite humide et tachée de sombre. Les fêtichistes me comprendront...

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C'est bien joli, une cage, mais on peut aussi aimer les modèles plus grands, genre cellules... Et y découvrir  travers les barreaux un beau gars collé contre un mur, fers aux poignets, bras écartés avec le torse nu bien musclé et bien luisant, ca a son charme. C'est classique, mais de bon ton...

Autre exemple, ce joli jeunot nu comme un ver avec ses lourdes chaînes, son énorme collier d'acier et ses bracelets de métal. A peine aperçu à travers la grille jouxtant une lourde porte de cellule, toute de métal et de gros bois. Et tout de suite le cortex a fantasme se trouve titillé. Non ?

Bien entendu, on peut préférer le genre cage étroite et le captif ligoté dedans... Bâillonné, immobile tout debout et mains attachées dans le dos, il exhibe une superbe érection dans sa prison d'acier...

Ben oui, c'est flatteur une pareille érection, mais obliger justement le prisonnier a ne pas pouvoir se soulager et enfermer son sexe dans une seconde cage de métal, c'est aussi très tentant. Regardez à travers les barreaux : ce viril jeune mec mains dans le dos, collé contre un mur est clairement en attente et il ne porte comme seuls vêtements qu'une cage de chasteté bien brutale et un haut collier d'acier l'obligeant à garder la tête haute...

Ben voila : encore plus définitif. Nu (forcément), mains enchaînées au dessus de la tête, incarcéré dans un espace tout réduit et en plus les génitoires (j'aime beaucoup ce mot, me demandez pas pourquoi) emprisonnées dans une cage et la tête entièrement enfermée dans un casque d'acier. Une version SM et sexe du masque de fer quoi... En plus les tétons sont en accès libre, même si le mâle ainsi immobilisé est plutôt rangé en attente...

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Et ben non : pas le rateau du fermier, ni celui qu'on se prend dans la gueule... Mon sujet, c'est le beau gars rustique, bien viril et bien animal. Torse nu, le corps tatoué et luisant, avec le pantalon de travail remonté pile à la lisière de la toison pubienne. Et comme sur cette première photo, avec son manche dans la main. Ici plutôt le manche d'un rateau ou d'une pelle à charbon, ce qui est finalement plutôt dommage...

Plus bandant encore, un mâle totalement nu avec seulement ses grosses pompes et très vintage à en juger par sa coupe de cheveux vraiment ringarde. Et vautré dans le foin d'une grange du far west, sa fourche à la main... Un faux air du père de la famille Ingalls dans La Petite maison dans la prairie, mais c'est sa toison et sa coupe années 70 qui fait ça...

Le paysan n'est pas toujours très soucieux de son hygiène, mais il a aussi le sens pratique : pour ne pas saloper sa salopette, il est finalement bien plus simple de ratisser les feuilles mortes totalement nu, avec des grosses bottes de caoutchouc comme seul vêtement et son joli petit cul rond à l'air...

Ah vous êtes gâtés : après le recto, le verso maintenant... Un trop joli blondinet au corps musclé et huilé de sueur avec la marque du bronzage sur les bras, pieds nus dans la boue et arborant une érection évidente au dessus de sa salopette crade en partie descendue. Ratisser filerait donc la gaule ? Avouez que c'est intéressant et que ça donne envie d'essayer...

Les gars des champs puent le sexe... Enfin selon moi, bien entendu. Et franchement, vous ne trouvez pas qu'il est torride, ce beau brun mal rasé, avec ses gros gants de travail sur fond de nature. Nu, totalement nu. Il nous fixe appuyé sur le manche... de son rateau, en se foutant pas mal qu'on salive devant le spectacle de son sexe au repos...

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Ah c'est certain : attaché et pendu par les pieds, c'est pas vraiment la posture la plus confortable... Mais le principe d'un mâle abusé contre sa volonté et utiliséà la limite du viol, c'est pas de donner dans le gentil et le câlin, n'est ce pas ? Mais il faut avouer par contre que le spectacle de ce joli mec totalement nu, ligoté avec art par des cordes rouges (au dessus d'un tapis violet) dans un grand local lumineux et exhibant son sexe et ses grosses burnes, c'est du très bandant. Et ensuite, me direz-vous ?

Ben attendez la suite justement : branler de force et même attraper le gars par sa bite pour accentuez le balancement dans les airs du prisonnier gémissant, c'est du chaud. Pas du confortable non, plus, on est bien d'accord.

On peut du reste faire encore pire : comme pour ce balaise à poil dans une sorte de gigantesque sous sol sombre et seulement suspendu par un seul pied botté... Son autre pied et sa jambe ouvrent ses fesses et le malheureux se tortille en hurlant sous le regard glacial d'un bourreau sanglé dans une combinaison de latex luisant d'où seuls émergent sa tête et son sexe... Joli contraste. Chaud hein ?

Les hurlement, les suppliques ou les injures, voire les simples gémissements sont un peu obligatoires : et donc hop, un bâillon de simple ruban adhésif. Et ainsi ce joli petit mec attaché tout nu tête en bas ne pourra rien faire pour se soustraire aux délires pervers de son (magnifique) master...

Une des jambes est libérée par le bourreau maintenant pieds nus (pour être plus confortable, sans doute). Et comme la posture offre l'anus pile au bon endroit et écarte les fesses, c'est l'occasion parfaite pour ouvrir les sphincters avec un gode ou un plug... Ben oui, je sais : c'est pas conforable pour le captif. C'est le (dur) métier de bâtard qui entre. En même temps que le gode...

(A SUIVRE...)