Ligoter un mec et le forcer, c'est un fantasme, on est bien d'accord. Mais dans le genre, il y a des tas de possibilités et il faut choisir. Choisir entre la containte et l'utilisation ensuite de la belle bête contrainte. C'est ça le jeu. Dans le genre, il a justement une posture à la fois efficace, bandante, humiliante. Et très pratique pour... disons une saillie directe ? Un fantasme ça aussi... La posture ? Attacher un mec à 4 pattes, face contre terre et le cul nu bien exhibé en l'air. Avec en dessous les burnes et le sexe en libre service... Sur cette photo, les mains sont reliées aux chevilles : impossible de se libérer (et surtout de se défendre contre les intrusions les plus indécentes). Mais surtout avouez que ce cul poilu et ce trou velu (à peine visible dans les poils) ainsi exhibé, c'est du franchement torride...
Ah j'avais dit : c'est humiliant pour le bâtard comme posture, c'est clair. Et c'est ça qui est joli. On peut être créatif du reste :ainsi ce beau mec prosternéà poil et en attente de dressage a les mains et les pieds reliés au sexe. Au moindre mouvement de révolte, il tire lui même sur son sexe et ses testicules. Ce qui ne l'empêche pas de bander comme on constate.
Cette position qui est celle de l'avilissement le plus total, un peu animale et un peu esclavage est contraignante, mais aussi assez confortable. Bon sur cette photo, c'est du saucisonnage artistique : le bonhomme doit pouvoir tout juste bouger les orteils. Et surtout la variante est de lui avoir attaché les bras dans le dos. On peut donc prendre son temps pour jouer avec la belle bête ainsi prisonnière. En lui baissant peu à peu son slip par exemple. Et en l'installant aussi devant un grand miroir, histoire de lui faire partager sa honte. Et surtout après : pendant la sodomie...
On peut bien entendu trouver des éléments de contrainte plus subtils en plus des bras dans le dos : comme les cuisses ligotées aux tibias. Et ainsi pas moyen de lutter. Ce beau mec en attente sur un piedestal comme une sculpture vivante et obscène se tord et se tortille des orteils aux sourcils : les seules choses qu'il peut bouger... Et ses fesses rouges témoignent que son dressage a commencé..
Et voilà : tadam ! Un exemple de dressage réussi. Trop fort. Ce beau blond prosterné devant les bottes luisantes et cirées de son maître ne bronche pas, à peine ligoté : il est prêt à l'emploi...
(A SUIVRE...)