Et oui, c'est un des (nombreux) fantasmes qui vont avec l'évocation du monde antique : les esclaves ! Prisonniers de guerre ou besitaux achetés sur un marché comme on va chercher des fruits et légumes, ces deux beaux mâles attendent à 4 pattes, seulement vêtus d'un pagne minimum, de bracelets de cuir et de leurs sandales à lanières... Blonds, musclés : des soldats romains punis ou des guerriers barbares ?
Et peu importe du reste : car ils sont clairement là pour le plaisirs des deux beaux soldats de Rome bien armés... Le fouet claque et ils doivent se prosterner sur le tapis rouge (un peu festival de Cannes, mais bon)... Et humiliation suprème, exhiber leurs trous du cul : anus, en latin...
C'est bandant, non ? D'aperçevoir à peine leurs rondelles plissées sous la lanière de tissu de leurs pagnes et de voir une main experte en train de les jauger comme on ferait de deux bêtes à couvrir...
Pas d'avis à avoir et pas de réticence possible : ils sont là pour obéir et faire plaisir à leurs maîtres. Et même si les costumes sont peu kitsch (le genre péplum, mais c'est aussi le charme) ils ajoutent beaucoup à l'excitation : surtout maintenant que les deux esclaves sont totalement nus et genoux devant les deux fiers soldats fourbissent les "armes" blanches de leurs proriétaires... avec leurs bouches. Et qui a prétendu que le latin était une langue morte ?
L'un des deux esclaves reçoit l'odre d'engloutir les deux mandrins érigés. Et son compagnon prosterné 4 pattes comme un animal doit serrer les dents pendant qu'un fouet vient déchirer ses flancs et sa croupe... Son sort sera de quel type, à votre avis ? Son trou de mâle devrait lui aussi recevoir la virilité Romaine ?
(A SUIVRE...)