Le jock strap : toujours lui... Un des sous vêtements les plus sexes, sans conteste. D'abord à cause de sa référence sportive, mais aussi parce qu'il dévoile et dénude totalement les fesses et en souligne le galbe par sa ceinture large sous les reins et ses élastiques de part et d'autre du galbe de la croupe... Les deux lanières se rejoignent ensuite au bas de la raie, pile à l'endroit d'où partent le scrotum et la naissance des couilles...
Autre aspect bandant : sur le devant le petit sac de tissu est là pour soutenir les génitoires. Mais des génitoires au repos : hop, une érection et le chibre déborde, les couilles s'échappent et on découvre un mâle à la fois salope et en rut ! C'est pas bandant ça : l'anus à peine visible et l'énorme bite raide en dessous ?
La posture parfaite pour mettre en valeur un jock strap, c'est sans doute ça : à 4 pattes, le cul offert et en dessous les couilles pendantes et la queue raide sortie de leur protection... Le jock strap n'est plus une bande de tissu qui isole et mets en valeur la zone de la salle de jeu... Et dans le cas de cette sublime belle bête à dispo, c'est sûr qu'il y a de quoi s'amuser ! Entre la cul large et musclé, le trou du cul serré et à peine visible et le braquemart de cheval, ont ne sait plus où donner de la tête, de la langue... et de la queue...
Explication par l'image ? Mais vous aviez compris, je pense... Les boules sorties en chapelet de l'anus, le slip du beau gars tatoué de gauche et le jock strap du petit mec prosterné cachant son sexe : une harmonie de noir qui rend ces deux belles bêtes encore plus excitantes. En supposant qu'on en ait eu besoin d'ailleurs, car le spectacle de ce trou forcé par les boules et l'attitude des deux complices, l'un froid, macho et méprisant, l'autre cambré et offert sont du genre particulièrement bandant !
Encore plus chaud ? Si si, on peut y arriver... Car ce mec défoncé en force par un machin impressionnant et bien plus gros qu'un gode hurle et se tord : c'est sa faute aussi. Un jock strap n'a pas de fond de culotte et en se baladant cul à l'air avec son sous-vêtement de sportif, il prenait forcément des risques... Celà dit, la dilatation brutale de ses sphincters ne l'empêche pas de bander, au point qu'on se demande même s'il ne va pas éjaculer direct dans sa gueule ouverte par ses cris et sur sa (belle) gueule grimaçante... Vous voyez qu'on peut trouver encore plus chaud...