C'est très excitant de regarder la bite d'un mec, de la contempler et de la voir grossir pendant qu'on le suce et la lèche. Et d'ailleurs on se demande parfois si le reste de la bête qui se fait tailler une pipe est vraiment importante... C'est la raison pour laquelle le glory hole est si fantasmatique, d'un coté ou de l'autre de la cloison. Enfoncer son chibre par un trou et sentir une bouche chaude, des lèvres et une langue invisibles s'en emparer : sensuel et excitant. Et aussi de l'autre coté, voir apparaître une bite en gloire ou encore endormie, livrée ainsi en libre service... Celà dit, si le suceur est une belle bête virile bardée de cuir comme sur la photo, c'est un peu dommage de ne pas la contempler faire son boulot de trou à pines. Et en même temps si ça l'aide à se lâcher et couiner comme une bonne pute...
Joli spectacle non ? Et surprise ! C'est une bite noire qui vient d'apparaître, déjà raide comme si c'était un porte manteau fixé au mur...
Hum : ça vous fait saliver ?
Element qui ajoute aussi à l'excitation, les glory holes sont souvent ouverts dans des chiottes publiques. Et vient ainsi s'ajouter l'anonymat du propriétaire de l'engin à fourbir avec ses lèvres... Un hétéro ? Un mâle en manque ? Une bête sublime... Confortablement assis sur la cuvette, dans une posture qui ajoute un peu d'humiliation comme s'il était en train de chier, le fumeur est isolé physiquement, mais aussi dans sa tête. Et donc dans son fantasme...
Cela dit, se vider les couilles est AUSSI un besoin naturel. Et viril : ce qui explique que les chiottes publiques soient le lieu parfait. Et c'est excitant de regarder ce petit mec dans sa cabine avec le pantalon sur les chevilles en train de teter le sexe prêt à décharger d'un mâle qu'il ne verra jamais.. Et qui restera donc pour toujours un pur fantasme... Tsss : la salope !