Tout nu, c'est pas mal, mais on peut aussi ajouter le tout petit détail qui va transformer une belle bête virile en esclave sexuel. Et voilà : une simple et grosse chaîne autour du cou... Les lunettes et le blouson de cuir, les tatouages : ce sublime beau gars tatoué et bite à l'air est plus que simplement nu. Et le détail de cette chaîne de métal, pas en or, pas un bijou, accentue le sentiment de violence, la violence d'un biker ou d'un esclave prisonnier...

Il faut dire qu'un grosse chaîne d'acier, c'est le genre d'accessoire qui va très bien avec un corps nu et musclé de mâle... Cet Hercule au corps gonflé est a genoux avec une chaine autour de la taille comme un pagne ou un cache sexe brutal. Et d'un coup on retrouve des épisodes de la Bible, de la Mythologie ou des spectacles de foire. Ou de marchés aux esclaves ?

Une grosse chaîne comme ceinture : c'est à la fois musical (les anneaux bruissent), sensuel et violent. Et ainsi le corps magnifique de ce sportif ou de cet accrobate suspendu dans les airs à son trapèze est magnifié en portant notre attention vers son cul nu... Nu et magnifique. Et son sexe pendant et invisible est symbolisé par la chaîne qui le maintient enchaîné au sol...

Toujours suspendu dans les airs ? Dans une position semblable à celle de la photo précédente, mais dans un contexte plus résoluement de captif torturé... Un corps tout aussi musclé, mais avec la trace de son sous vêtement sur la zone sans bronzage. Plus un sportif ou un artiste de cirque : un prisonnier enchaîné. Et la longue chaîne passant derrière son dos frotte contre la raie de ses fesses en expliquant ainsi son début d'érection : sensuel non ?

Et on termine par ce mâle super musclé et luisant de crasse comme de sueur. Torse nu, mais habillé : c'est l'énorme chaîne qu'il porte et charge ses épaules qui en fait notre esclave... Slurps.

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Le jock strap : toujours lui... Un des sous vêtements les plus sexes, sans conteste. D'abord à cause de sa référence sportive, mais aussi parce qu'il dévoile et dénude totalement les fesses et en souligne le galbe par sa ceinture large sous les reins et ses élastiques de part et d'autre du galbe de la croupe... Les deux lanières se rejoignent ensuite au bas de la raie, pile à l'endroit d'où partent le scrotum et la naissance des couilles...

Autre aspect bandant : sur le devant le petit sac de tissu est là pour soutenir les génitoires. Mais des génitoires au repos : hop, une érection et le chibre déborde, les couilles s'échappent et on découvre un mâle à la fois salope et en rut ! C'est pas bandant ça : l'anus à peine visible et l'énorme bite raide en dessous ?

La posture parfaite pour mettre en valeur un jock strap, c'est sans doute ça : à 4 pattes, le cul offert et en dessous les couilles pendantes et la queue raide sortie de leur protection... Le jock strap n'est plus une bande de tissu qui isole et mets en valeur la zone de la salle de jeu... Et dans le cas de cette sublime belle bête à dispo, c'est sûr qu'il y a de quoi s'amuser ! Entre la cul large et musclé, le trou du cul serré et à peine visible et le braquemart de cheval, ont ne sait plus où donner de la tête, de la langue... et de la queue...

Explication par l'image ? Mais vous aviez compris, je pense... Les boules sorties en chapelet de l'anus, le slip du beau gars tatoué de gauche et le jock strap du petit mec prosterné cachant son sexe : une harmonie de noir qui rend ces deux belles bêtes encore plus excitantes. En supposant qu'on en ait eu besoin d'ailleurs, car le spectacle de ce trou forcé par les boules et l'attitude des deux complices, l'un froid, macho et méprisant, l'autre cambré et offert sont du genre particulièrement bandant !

Encore plus chaud ? Si si, on peut y arriver... Car ce mec défoncé en force par un machin impressionnant et bien plus gros qu'un gode hurle et se tord : c'est sa faute aussi. Un jock strap n'a pas de fond de culotte et en se baladant cul à l'air avec son sous-vêtement de sportif, il prenait forcément des risques... Celà dit, la dilatation brutale de ses sphincters ne l'empêche pas de bander, au point qu'on se demande même s'il ne va pas éjaculer direct dans sa gueule ouverte par ses cris et sur sa (belle) gueule grimaçante... Vous voyez qu'on peut trouver encore plus chaud...

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Un mâle babu ou mâle rasé, c'est viril : par définition (ben oui, les femmes à barbes restent du spectacle de foire). Et donc si on associe un menton en broussaille et une grosse moustache à un fessier mâle cambré et offert on obtient un bouffage de la rondelle sensuel et particulièrement chaud... Surtout si le fessier en question est bien rond, bien musclé et lui-même velu... Ca fait vraiment tirer la langue de découvrir cette fleur moite et luisante.

La langue tirée pour titiller la rondelle moite et odorante. Puis de la vraie gamelle et du roulage de pelle bestial, baveux et animal. Avec le muffle enfoncé au centre de la croupe du bon bourrin et le nez qui hume les odeurs de sueur sur la raie poilue. Je sais pas vous, mais moi ça me titille drôlement le cortex cérébral !

On regarde ce que ça donne par en dessous ? Histoire de contempler une raie trempée de sueur, de bave et de crachats, un mandrin bien raide et des burnes poilues luisantes de sueur...

Changement de posture : hop, sur le dos le teddy bear... Encore plus obscène et indécent avec les pattes en l'air à regarder le beau barbu à genoux en train de humer la toison intime de son pote pendant que les grosses couilles velues roulent, puis de titiller de la pointe de la langue la pastille enfouie dans les poils collés...

Encore plus indécent? Avec deux autres bears bien cochons eux aussi. Comme s'il allait chier, le poilu s'accroupi en offrant son anus et en l'ouvrant aussi par la même occasion... Et le mâle grisonnant couché sous lui dans l'herbe, avec ses tétons raides et dardés comme des petites bites tire la langue et lèche en bavant. Et les poils de sa barbe frottent eux-aussi : vous voyez le truc ? Je raconte bien, hein ?

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Ben le problème dans le fantasme d'utiliser un mâle contre sa volonté, c'est qu'il n'est pas senséêtre d'accord. Sinon, c'est pas du jeu. Il faut donc l'immobiliser et en même temps pouvoir jouer avec. L'une des positions les plus pratiques (tout autant que très jolie) est de lui attacher les bras en l'air. Avec des relents de tortures médiévales... Et puis des relents de sueur mâle puisque ses aisselles sont offertes. Joli spectacle de regarder ce mignon petit jeunot dans un coin de sa chambre, tout nu et bâillonné en train de se tordre et de trépigner sur la pointe des pieds... Et ensuite me direz-vous ? Si, si vous allez me le dire.

Ben comme sur cette deuxième photo, plus cuir et chaînes, le joli captif se fait titiller (ou torturer c'est vous qui voyez) les tétons. Et en même temps son master barbu lui roule une pelle, bien tendre et bien baveuse. De force ? Pour ça c'est vous qui voyez, là encore...

Dans cette position qui permet de jouer aussi bien avec les tétons qu'avec la bite, on peut obtenir des résultats très agréables. Si le slave est à genoux (ou si on a un escabeau) on peut même l'obliger à avaler et téter votre bite. Pas très enthousiaste ce barbu ligoté contre un arbre ou un poteau. Et paradoxalement, c'est ça le bandant de la chose...

J'aime beaucoup aussi cette 4e photo : les bras en l'air et foutu à poil dans une sorte de cave crade, un jeune mec accroupi et enchaîné se fait lui aussi rouler une pelle (de force, mais là c'est plus manifeste) par un de ses agresseurs pendant qu'un second tortionnaire le tripote. J'aime bien le décor, la posture et même ce détail très réaliste des pieds nus sales et boueux...

On termine avec une séance de dressage moins médiévale. Mais plus SM ? Livréà deux bourreaux qui n'ont pas être du genre à lui faire des bisoux de force sur la bouche ou lui peloter la bite, le jeune mec hurle et se tord. Et non seulement son torse et son ventre striés de traces de fouet témoignent qu'il a déjà pas mal morflé, mais on est en train de le torturer à l'électricité : du courant dans le sexe ou dans l'anus ? Là, c'est vous qui voyez...

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Allez donc savoir pourquoi : c'est excitant de voir un mec pisser et de regarder le jet d'urine sortir de sa bite. Enfin, moi je trouve. Et pourtant c'est un des trucs les plus banals qu'on peut trouver si on réfléchi bien. C'est excitant parce que c'est intime et viril à la fois ? Parce que c'est animal ? Ou parce que c'est une sorte d'éjaculation en plus abondant ? Faut pas trop se creuser la tête : ce joli mec tout nu dans un ruisseau, les pieds dans l'eau fraîche et en train de se vider la vessie devant le photographe est excitant, un point c'est tout. On est voyeur d'une scène banale et pas sexuelle, comme en témoigne le pubis non toiletté de l'inconnu.

Ce petit mâle était bandant dans sa rivière et c'est aussi un cochon puisqu'il barbote dans sa pisse et pollue la flotte claire. Alors quoi dire alors de ces deux petits minets eux aussi en pleine nature, collés l'un à l'autre pour mieux s'asperger de pisse et tirant une langue avide (deux langues en fait) pour venir boire leur urine et celle de leur camarade directement à la source... Puissant le jet, d'ailleurs : ah la jeunesse...

On va quitter la nature et ses plaisirs simples et animaux. Et on découvre ensuite un univers beaucoup plus sombre, fait de sensualité et d'humiliations mélangées... Un militaire est à 4 pattes, offrant sans pudeur son cul mis à nu et sa raie velue. Et si on ne voit pas sa tête, on distingue un énorme jet de pisse, parti comme une lance de pompier en faisant une gacieuse courbe pour venir s'écraser sur le dos et donc le tee shirt kaki du bidasse... Il va continuer sa course sur les fesses et mouiller l'anus encore invisible. Pisser sur un militaire et lui arroser le cul, c'est déjà plus hard, voire un acte politique ?

Le mâle ainsi trempé et marqué d'urine se redresse, puis retourne. Et c'est son autre trou de mec qu'il offre cette fois, en ouvrant grand a gueule... Et en avalant le flot... Toujours aussi abondant, le jet : le pisseur est au moins un buveur de bière ?

C'est clair que c'est plus hardos que sur la première photo, où un gentil promeneur faisait simplement pipi dans la nature... Un slave menotté de cuir, immobilisé de force sur un matelas noir se masturbe et ouvre grand la bouche, couché sous un master sanglé dans un tablier de boucher en cuir odorant. Et un geyser d'urine explose sur le sexe, le corps et le visage du soumis douchéà la pisse et transformé en chiottes vivantes... Sensuel si on imagine la chaleur et le bruit... Mais plus hardos, comme j'ai précisé.

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Ben c'est un peu un fantasme ça aussi, car chevaucher une moto sans casque et sans protections, c'est pas totalement sécure on dira... Et donc tant qu'à faire, autant aller au bout : totalement nu ? Avec les pieds nus sur le métal des pédales, le cul et les burnes chauffés par la selle et la machine, les muscles noueux assortis au pistons et autres rouages : sensuel, non ?

Le contraste est excitant, trouvez pas ? Entre le corps nu de ce mignon barbu bien viril (et bien monté), luisant de sueur, avec son engin et sa combinaison de cuir à l'arrière plan...

Forcément, qui dit selle de moto, dit cul de mâle posé dessus... Et il est pas mignon, ce petit boule tout rond, tout musclé et ombré d'une toison moite dans la raie ? Avouez...

C'est un vrai centaure d'ailleurs : les pieds nus accrochés au guidon et à une barre de métal, allongé sur la bécane et le chibre raide comme un vrai piston, en attente de trouver un pote pour s'empaler dessus...

Au cas (toujours possible) où vous ne verriez pas ce que je veux dire, cette dernière photo est très explicite, non ? On est pas obligé de chevaucher seulement la moto... Tout est une affaire de pistons ?

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Dans le genre paquet cadeau, le jock strap en cuir est sans doute un des plus bandants et des plus "efficace". Le cuir luisant et odorant forme un triangle sur le devant, noir bien entendu, moulant le sexe encore caché... En dégageant les cuisses, en soulignant la forme en V du torse et accompagné de bottes hautes, d'un long fouet, d'une barbe naissante et d'une chevelure sombre, on pose la question : cette sublime bête campée devant la porte métallique d'un bunker a-t-elle besoin d'autre chose ? Ah si : d'une lope peut-être ?

Alors on peut bien entendu ajouter des petits détails : des tatouages, un harnais, des menottes et même des longs gants de latex. Même le héros reste quand même ce triangle échancré sur le devant avec sa fermeture éclair toute prêt à libérer... la bête ?

Si : il y a un accessoire supplémentaire très bandant. La coque de cuir cachant le sexe : clic clac, elle est otée et elle fait d'un coup apparaître les couilles et la bite sur fond noir... Il est pas torride ce beau gars botté debout sur un fond sombre, se titillant une tétine d'une main et de l'autre sniffant le parfum mâle de sa sueur et de son excitation dans la coque de cuir de son jock strap ? Avouez, franchement : top !

Une casquette, des lunettes, des gros muscles et un air de bon bourrin : et une grosse tige humide se balançant sur le cuir noir du jock strap ouvert pile comme il faut. C'est pô un pédé, c'est clair...

Ah ben oui : les quatre mecs précédents attendaient un peu ça, c'est sur... Si on montre sa grosse sucette dans un aussi joli emballage, c'est pour la foutre dans une bouche...

Ou dans un cul, c'est vrai... Les mecs ont deux trous.

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Et ben oui, c'est un des plaisirs de la belle saison, ça... Le gazon tout vert, une nappe à carreaux et hop en petite tenue... Avouez que ce beau morceau tout nu et bien doré, offert direct à la consommation, ça ouvre l'appêtit...

Une sieste à poil dans la nature, avec le vent frais qui effleure les couilles ou la raie du cul (selon sa position), c'est un vrai bonheur. Et en plus comme on est à l'exterieur avec tout le matos déballé, on peut faire des rencontres. Genre celle-ci ?

J'aime aussi beaucoup cette troisième photo : étrange avec ce beau gars tout nu avec une pastèque sous le bras dans un pré. Car il porte une cage de chasteté. Bandant ça et très triste pour cette belle bête totalement rasée et taillée en V.

Après l'effort, reste la sieste dehors... Et avec les montées de sève et les poussées de testostérones, on ne s'étonne pas si la sieste dégénère. Une sorte de pique-nique avec bouffage de cul impromptu au menu et... pique...nique ?

Et hop, pourquoi se gêner : une partouze dans le grand air et en extérieur. Au menu : brochettes de jolis mecs... Histoire de chauffer les voisins ?

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Ahh regarder un joli petit lot qu'on vient de dessaper intégralement et qui se débat et se tord dans tous les sens... Lui mettre un bâillon, forcément. Et le contempler ainsi couché sur le ventre, les mains réunies aux chevilles par une simple cordelette, les panards réunis exposant la plante des pieds... Tout simplement, comme un poulet prêt à se faire... fourrer?

La position couché sur le ventre est très excitante : d'abord par ce qu'elle a d'humiliant pour le bâtard. Et on peut bien entendu se défouler pour du vrai bondage : haut en cuir, harnais emprisonnant la tête en maintenant le bâillon en place et aussi cordes autour des orteils immobilisant ainsi le captif totalement qui se torture lui-même au moindre mouvement...

Certes : c'est pas forcément très confortable. Mais la position peut être très agréable à contempler...

La suite ? Ah ben si les cordes ne sufisent pas à calmer, il y a un moyen très simple, agreable et efficace pour faire taire le prisonnier et lui donner l'occasion de racheter sa libération... Pas de besoin de vous faire un dessin, puisqu'il y a une photo très excplicite...

Sploutch ! Et au suivant...C'est pas bandant, ça ? Ce beau mec tout nu et saucissonné sur le ventre, les pieds en l'air, les yeux rougis et la gueule ruisselante de foutre... Beaucoup de foutre, du reste et trop pour un seul homme. Et donc on peut supposer que ses lèvres et sa bouche ont été utilisées par plusieurs visiteurs. Et ce n'est d'ailleurs pas terminé, selon moi...

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Le fantasme et la sensualité tiennent souvent à très peu d'accessoires... Et ainsi, il suffit de peu de choses pour transformer un mâle simplement tout nu en esclave et en bâtard... Une grosse chaîne bien lourde et bien brutale autour du cou et ce superbe mec au corps luisant devient un prisonnier antique ou médiéval. Une lumière subtile, d'ombre et de lumière et hop, on voyage...

Bon, on peut aussi préférer une domination moins esthétique et plus moderne : il est pas bandant ce beau brun ainsi debout dans l'obscurité, avec sa chaîne autour du cou accrochée dans les airs et son bâilon-boule lui sciant la commissure des lèvres ? Prêt àêtre utilisé...

Plus médiéval et surtout plus mobile, un lourd collier de métal autour du cou est associéà d'autres chaînes emprisonnant les poignets et les pieds. Très"dark ages". Et aussi il faut imaginer le poids des chaînes de métal, leur contact froid sur le torse musclé, leur bruit... Ainsi ce mignon petit blond tout nu et au corps glabre devient un esclave antique...

Car on est en fait dans la sensualité avec les chaînes... Ce joli mâle totalement nu est à 4 pattes. On découvre la plante de ses pieds sales et surtout la longue chaîne qui part de son cou et vient glisser sur son dos pour ensuite venir se frotter sur sa raie du cul. On ne voit pas grand chose : tout est dans les effets d'ombre et de lumière et dans les contrastes. Mais c'est hyper sexe pourtant...

La chaîne autour du cou n'est du reste pas seulement un accessoire de fantasme et un symbole de captivité. Ainsi sur cette dernière photo, on découvre le superbe Jessie Colter sur une estrade, maintenu à genoux par 4 grosses chaînes tendus cadenassées au lourd collier d'acier emprisonnant son cou. Et si le beau gars nu bande et beugle, c'est parce qu'il est ainsi immobilisé, assis de force et empalé sur un gode électrique qui vibre et fouaille son rectum... Et dans gode électrique, il y a...trique...

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Ben oui : y'a pas de justice. Et pas davantage d'égalité : y'a des mecs moches, mal foutus et mal montés. Et puis des veinards au corps parfaitement proportionné, au cul rond, à la belle gueule et avec un chibre énorme. C'est la nature. Et il y aussi des jolis trous du cul. Comme celui-ci : une petite fente, rond au milieu d'un raie glabre ou rasée, tout petit et tout rose, comme une mignonne fleur qui ne demande qu'à se faire butiner pour mieux s'épanouir. Je sais : le printemps me rend poète...

Ce petit blond au cul fessé de frais (ben oui, regardez les deux marques rouges sur sa peau claire, j'invente pas) est encore plus obscène. Et il exhibe son anus rose en poussant dessus, faisant ainsi sortir son trou vraiment en forme de rondelle... Salope !

Le trou d'un mec peut-être moins visible du reste, plus caché... Comme pour ce petit jeunot au chibre raide et dressé comme une pine d'âne, écartant ses fesses pour montrer son anus écarlate, serré et luisant au centre d'une raie brune dont on se demande si elle est propre... Il se serait pas torché ? Ben oui : c'est pas une découverte, mais le trou du cul a pour première fonction de permettre de chier. Je vous choque ? J'adore...

Bon, calmons le jeu : car c'est aussi un réel plaisir de voir une petit gars foutu à poil et ne gardant que ses chaussettes obligé de se tenir pattes en l'air pour exhiber son cul et son joli petit trou de balle entouré d'une mignonne couronne de poils... Indécent car on découvre ainsi la zone la plus intime d'un mec...

Vous préférez des anus plus ouverts et plus dilatés ? Comme pour ce joli brun maintenu jambes relevées sur le genoux de son étalon. Là encore j'invente pas : car vous ne me direz pas que l'énorme bite raide et tugescente qui frotte sur ses fesses ne sort pas de la vulve béante et humide que le jeunot nous offre en spectacle par force. Je pense d'ailleurs que ce chibre va y retourner : un joli trou du cul empaléà nouveau ?

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Ah ben oui, forcer un bâtard en cours de dressage à se prosterner au sol pour sucer les orteils de son maître et s'humilier, c'est un peu un parcours obligé. Et ainsi ce joli petit mec tout nu sur la moquette, avec un collier de clebs en cuir comme seul vêtement embrasse et lèche le pied nu de son dresseur, le tout en affichant une gaule impressionnante... Bandant, non ?

Bon, il est certain que l'objet sexuel ainsi humilié est presque plus excitant s'il est forcé. Comme ce beau brun au corps torturé par des pinces... Sous la menace d'une décharge électrique, il est clair qu'il ne va pas résister longtemps à nettoyer avec sa langue le pied luisant frottant contre son menton...

Et le résultat ne se fait pas attendre, bien entendu... Le nez plaqué sur les orteils, il hume et embrasse docilement la plante du pied de son dresseur... Une première étape, bien entendu.

J'aime beaucoup aussi cette photo montrant une salope dans la cabine d'un sex shop : il se fait sodomiser sauvagment et en même temps par un glory hole, léche le panard d'un mâle inconnu, la gueule bien enfoncée sur les orteils. Une chienne quoi... Et un peu le top de l'humiliation ?

D'ailleurs, tant qu'à faire, autant utiliser la bonne pute à plusieurs, non ? Avec la langue léchant les doigts de pieds et d'autres panards bien humides de salive plaqués sur la gueule...

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Ils ont la réputation d'être chauds les motards. Ce serait à cause de leur combinaison de cuir ? De leur position à cheval, le sexe contre le réservoir et le cul cambré en arrière ? En tout cas ces deux bears sont clairement en rut, casi nus (bottes, tatouages et jock strap : mieux que nus), vautrés sur une Harley, sur fond de local sombre et sonore...

La bécane sert de piedestal à leurs ébats virils : car une moto, c'est clairement pas un truc de gonzesses... Et s'ils se bouffent les lèvres, c'est comme deux mâles.

Bandant ça : couché sur la machine, un des deux barbus se fait mollarder et ouvre grand la gueule pour avaler des crachats bien gluants...

Le rapport de force enfin établi, le mâle maté et soumis se couche sur la grosse moto et jambes écartées, beuglant à pleine voix, se fait saillir bien comme il faut, dans un parfum de cuir, de sueur et de cambouis...

En plus, chez les bikers, on a le sens du partage. Et pas seulement partager des bières, si vous voyez ce que je veux dire...

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Ah ben oui, c'est sur : c'est du hardos... Pas des jeux de Bizounours... Déjà se retrouver à poil et suspendu par les pieds, écartelé comme ça dans le vide, tête en bas, c'est pas du banal et encore moins du gentil. Et si en plus le pauvre mec ainsi enchaîné sert de sac de sable et se prend des coups de tatanes dans le ventre et dans la poitrine, ben on est vraiment dans du dressage pas gentil... Ah la la la : dans quel monde de brutes vivons nous...

Car en plus ce n'est pas terminé, bien entendu... La peau marbrée de coups, le malheureux est dans les vaps : et on le réveille en fixant des pinces à ses tétons et à son prépuce...  Rooooo

Ben oui, je sais : c'est franchement cruel tout ça...

Mais c'est excitant aussi : le visage écarlate, le corps nu et le sexe rasé tremblotant... Prêt à pisser... Ben oui : une vraie raclée. J'avais prévenu : du hardos...

Ben de toute façon attacher un mec à poil par les pieds : c'est forcément qu'on a des intentions un brin sadiques, croyez pas ? Et du reste c'est assez émoustillant de contempler ce mec en costard en train de fouetter le corps nu d'un beau gars pendu tête en bas. Serais-je aussi un brin sadique ? Me demande...

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Car, si on vient s'assoire en couinant de plaisir sur un pal, c'est plus du jeu, non ? Ou plutôt s'est plus vraiment le principe premier de l'empalement, qui est quand même un horible supplice barbare, il faut le rappeler... Et donc, c'est assez excitant de découvrir ainsi un beau mec enchaîné et sanglé de cuir, installé tout debout et en attente ; avec un long manche fixé entre ses fesses pour ouvrir son anus de force...

La photo suivant est très excitante, je trouve. Mais on est bien d'accord, ce joli lot ligoté et contraint d'avaler deux bites par chacun de ses trous n'est pas trop à plaindre, finalement... Enfin ça, c'est vous qui voyez, bien entendu...

Le petit mec en chaps suivant est lui aussi empalé de force sur un beau membre bien raide et bien luisant. Sexe comme image, non ? Et comme fantasme aussi...

On va donc terminer par du vrai supplice médiéval, sinon c'est pas du jeu : c'est vrai quoi...

Vous allez me dire que c'est pas possible et qu'il y a un truc. Et c'est vrai qu'il y a un truc : un gros truc enfoncé dans le cul de ce captif...

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C'est assez marrant, si on y pense. Voir un mâle en train de pisser dans les latrines, c'est viril, masculin, bandant même... Mais l'imaginer ensuite en train de déféquer (ce qui est finalement une autre fonction naturelle tout aussi normale et banale) et d'un coup c'est la débandade ! On s'affole, on prend un air horrifié et on crie à la perversion la plus absolue. C'est paradoxal, si on y pense... Et partant de là, découvrir un mâle tout nu et soigneusement ligoté, les burnes torturées entre de plques et surtout en train de se tordre avec le tuyau d'un lavement enfoncé dans l'anus, ben c'est incroyablement hard et humiliant... Non ?

Encore plus dégradant ? Ben un lavement à la bière par exemple :histoire de rappeler que la rondelle n'est pas vraiment une bouche. Ou plutôt qu'elle se situe à l'autre extrémité de la tuyauterie...

D'ailleurs, la bière ayant un effet assez rapide sur la vessie, on peut pousser l'humiliation plus loin et utiliser le rectum d'un bâtard comme un chiotte en lui pissant dans les tripes... A plusieurs, bien entendu, histoire de bien le remplir et de gonfler son bide au maximum...

Après? Ben evidemment, il faut que le lavement ressorte : flotte, bière ou pisse... Et c'est assez excitant de voir l'anus s'ouvrir et pisser par un trou... Et boire langue tirée à cette source chaude? En général 37°... Mais c'est pas là la vraie question...

Encore plus hard ? Ben tant qu' utiliser un bâtard comme chiottes humaines, autant prendre sa gueule et sa bouche. Et sur cette photo assez explicite, je me demande si on atteint pas le paroxisme de l'humiliation et de la bâtardisation... Je cause riche, hein?

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Les trophées, massacres et autres têtes taxidermisées sont à la mode. Et dans le cadre du printemps, elles sont carrément d'actualité : le brame du cerf avec ses bois comme symbole du rut ? Cette première photo montre donc une cloison de bois, genre cabane de chasseurs dans la forêt. Selon la tradition, elle est ornée d'une tête de cerf taxidermisé Mais là où la photo devient torride c'est qu'on découvre un beau mâle (humain celui-là) nu et bras en l'air comme attaché au milieu des bois... Trophée de chasse lui aussi ? Chasseur accrochéà la place de sa victime ? Ou symbole de virilité brutale, avec ses muscles, sa barbe et ses poils ? En tout cas, les bois de l'animal lui servent de sexe et c'est pas une tapette...

Dans le même genre, mais dans la nature, la deuxième photo nous montre un (beau) gars totalement nu, mais le visage barbu caché par un crâne de cerf. Et là encore on hésite entre découvrir un chasseur ou un sorcier des premiers âges ou une bête traquée...

Excitant ce contraste entre la brutalité du cerf et de la tête de mort et le corps nu ainsi exhibé, luisant de sueur et bien cambré... Devenu un cache sexe agressif, le trophée accentue l'animalité du barbu et en fait une sorte de satyre en rut...

L'association du crâne corné et d'un corps musclé d'homme est manifestement plus fréquent qu'on ne pense. Dans cette nouvelle photo, l'association est plus mystique : un dieu égytptien ou un sorcier primitif ? Mais aussi dans l'iconographie chrétienne, on a ici la représentation traditionnelle du Démon... Ce qui explique l'érection agressive du modèle dont le sexe pointe vers le spectateur pour un sabbat esthétique ou un rut animal...

La dernière photo du jour est plus décorative, moins démoniaque... Et encore, c'est pas si certain... Car là encore on associe un crâne de taureau perçé d'une flèche et décoré d'un collier d'Indien, celui d'un bouc monté sur socle et la superbe plastique luisante d'un beau gars bite à l'air, musclé, chevelu et barbu comme un guerrier barbare... Des pulsions primitives ?

(A SUIVRE...)

Ben oui : même tout seul, il est normal qu'un mâle se réveille en érection, le salut matinal du matin si on veut... Et dans le genre, le mec de cette première photo, ben : c'est un mâle... Et j'espère donc que le propriétaire du joli cul allongé sur ces draps tièdes et blancs (pour l'instant) est lui aussi sorti de ses songes. Car sinon ça va être du réveil... en fanfare ?

Se réveiller sur le dos avec la bite raide : le tout recouvert d'un drap, c'est ce qu'on appelle "monter la tente. Et on peut aussi... monter la tante ? Comme sur cette deuxième photo. Où c 'est plutôt le passif bien réveillé qui est le plus actif et vient s'empaler sur son camarade, en le... montant ? Joli spectacle, trouvez pas ? Le genre qui réveille justement...

Les petits cochons ! Car après avoir ouvert son chemin, à la bite, le balaise couché sur le dos vient prendre son petit déjeuner de la pointe de la langue...

Les plaisirs animaux déchaînés... Et même s'ils ont encore les yeux fermés, ont les sent bien réveillés ces deux polissons. Une chevauchée en règle dans le petit matin : gare aux voisins ?

Ben voila ! La douche matinale... Pas forcément le genre qui réveille, d'ailleurs...

(A SUIVRE...)

Ben oui, c'est le mois d'avril et il fait beau. Le temps des balades et des plaisirs en extérieur... Et donc vous imaginez ? Vous vous promenez dans la foret et vous découvrez ce spectacle : un beau mâle torse et pieds nus, seulement encore vêtu de son pantalon de toile, ligoté solidement et pendu par un pied, comme un beau fruit mûr prêt àêtre cueilli... Ça réveille, non ?

La posture tête en bas est jolie, mais c'est pas la plus pratique, soyons honnêtes... Et aussi, c'est encore plus chaud si le joli petit lot est tout nu, tout nu, les pieds dans l'humus, bâillonné et gémissant, saucissonné comme au beau temps des jeux de cowboys et d'Indiens... Il cache son sexe et ce faisant découvre son joli cul rond... Hummmmm, un coup à se faire fouetter, ça.

Hum et ce mâle à genoux et yeux bandés, la bouche ouverte et bavante sur un bâillon-mors animal, à poil dans le sous bois avec sa bite raide et obscène... Prêt l'usage...

La suite ? Ben voilà ce que ça peut donner... Une saillie bestiale dans l'herbe tendre...

Et c'est normal : c'est le printemps et les montées de sève... Et les captifs ainsi offerts dans les bois risquent se faire saillir en force par tous les promeneurs ? Faut dire que ça donne envie...

(A SUIVRE...)

En général les amateurs de motos fantasment aussi sur le cuir, les bottes et les combinaisons intégrales et odorantes... Moi, j'avoue trouver le contraste entre le monstre d'acier vrombissant et un cavalier tout nu dessus presque plus bandant parfois... Et sans la moto alors? Ben il reste... le casque ! Voire les gants et un slibard de cuir luisant...

Et aussi la posture bien entendu... Car s'ils n'ont pas de bécane, ces deux motards casqués imitent la position et semblent bien partis pour une balade en grosse cylindrée... Si vous voyez ce que je veux dire?

Les duos casqués ? Ou les solos ? Avec ce beau muscé totalement nu se caressant le torse et les nibards avec ses gros gants. Clair que c'est pas facile de se pogner comme ça. Et d'ailleurs ce motard au visage caché par son casque intégral est déjà très... ému ?

Dans le genre grosse cylindrée, on peut préférer un modèle moins nerveux, plus poilu, plus massif ?

Ou voir le motard casqué sans sa monture et de dos. Sans vêtement non plus de manière à se faire une (jolie) petite idée de ce que ça donne, un mec assis sur une moto... Et oui : les reins sont creusés, le dos bien cambré et les fesses écartées découvrent le trou du cul ! Avouez que ça donne assez envie de sauter derrière ce biker. Voir de grimper derrière. Et même (plus sobre) de le sauter et le grimper ?

(A SUIVRE...)