L'été semble bien loin désormais et s'éloigne même de plus en plus... Et pourtant, souvenez vous... Comme sur cette première photo, la caresse du soleil et de la brise venue de la mer sur le visage.... Sur le visage et aussi sur le torse, le ventre et venant jouer autour de la verge et dans les poils du pubis. Et la chemise qui claque dans le vent en effleurant les petites fesses viriles. Souvenez vous du spectacle d'un beau corps ainsi offert à l'océan. Et offert aussi aux regards des estivants couchés sur leurs serviettes de plage...

Encore plus sensuel (et torride?) et fantasmatique : un mâle découvert dans les rochers face à la mer... De dos, totalement nu avec la zone sombre entre les fesses toutes blanches, avec la nuque large et les épaules musclées... Un mâle. Beau, non ?

Bon, après ce spectacle, on peut retourner sur sa serviette... Et là, couché sur le ventre, mater des culs de mecs encore en partie protégés par leurs maillots de bains colorés... Jolis,hein, ces deux gars au dos couvert de sable et aux sexes pudiquement cachés, mais dont on se demande a les voir tortiller des fesses s'ils ne sont pas enfoncés en douce dans le sable humide. Plus que nus en fait ?

Celà dit, vraiment mis à l'air et caressés par l'écume des vagues venant mouiller les raies poilues, c'est bien aussi, des culs de mâles, non ? Avec la zone plus sombre entre les cuisses bronzées où se cachent les burnes...

Verso : et ensuite recto. Hop, on se retourne, quitte à devoir exhiber une érection involontaire. Comme pour ce beau mec sur le dos et encore trempé d'eau de mer, surpris en douce pendant qu'il laisse le vent du large caresser sa grosse bite et faire frissonner la toison animale de ses poils pubiens...

Car c'est toujours joli et excitant de mater des spectacles improvisés. Le top étant de découvrir au détour d'un rocher un joli gars endormi sous le soleil tapant fort, totalement nu et offert, avec le sexe sombre au centre d'une zone blanche et le corps luisant de sueur. Ou luisant de crème solaire ? On se calme et on se rassure : l'été reviendra...

(A SUIVRE...)

Très fantasmatique la cage. Toute petite comme une boîte ouverte par les barreaux dans lequel le corps nu est contraint et exhibé. Ou au contraire, comme dans une prison ou plus encore une ménagerie, plus grande avec un beau mâle enferméà l'intérieur, dans l'attente de ce qui va suivre... Et alors, il est beaucoup plus excitant le captif soit encore un peu habillé. Comme sur cette première photo : un débardeur, un jean et bien entendu pieds nus...

On s'approche un peu de la cage après avoir découvert une vue d'ensemble. Le prisonnier est prostré et on remarque alors ses poignets menottés... On peut voir sa belle gueule virile : belle bête non ? Le fait qu'il soit pieds nus et qu'on lui ai retiré pompes et chaussettes est l'élément déterminant, je trouve.

Après les deux premières photos, contempler maintenant le grand gars totalement nu et pris en main par un (petit) bourreau sanglé de cuir et cagoulé de latex est beaucoup plus excitant... Car on peut imaginer les étapes précédentes : le débardeur arraché, le jean baissé sur les chevilles, le slibard découpé. Et imaginer aussi la colère et la révolte du mâle... Les mains enchaînées en l'air, son sexe au repos tout petit et caressé comme un animal ou un esclave à la vente, on ne sait pas ce qui va suivre : on peut l'imaginer et c'est beaucoup plus fort, non ?

C'est aussi très chaud d'imaginer que pendant qu'un premier gars kidnappé est examiné devant sa cage éclairée de rouge, un second prisonnier lui aussi totalement foutu à poil et extrait de sa prison à la lumière verte, subit le même sort, encore rétif,  ligoté avec art et attaché aux barreaux de sa cage, yeux bandés et se tortillant sous le contact de la main le tripotant. Dans un examen de plus en plus poussé qui va se terminer de façon très sexuelle si on en juge par l'érection visible du "dresseur". Ou de l'acheteur ou du bourreau, à votre guise. Vous visualisez la scène ?

Voilà : premier dressage terminé. Un troisième'objet sexuel est enfermé dans sa cage. Il dormira, se soulagera comme une bête à même le sol. Il ne porte plus aucun vêtement et assis par terre, il est également contraint par une grosse chaîne cadenassée autour de son cou : une bête. Et au moindre mouvement, la chaîne bruisse et cliquette... Sensuel, ça...

(A SUIVRE...)

Je sais : la hache, c'est un peu l'attribut absolu du bûcheron. Mais c'est aussi un outil indispensable des campagnes pour débiter les arbres en rondins à brûler. Et dans débiter, il y a ... bite ? Très virile la hache maniée par un macho, mais aussi un peu violente et castratrice... On commence par une photo très sage. Un beau gars encore tout habillé. Sexe, non ? Ah, faut dire que c'est la totale : le débardeur moulant le ventre plat et les abdos, soulignant la forme superbe des épaules et dévoilant une toute petite zone de peau à la jointure de la ceinture, la belle gueule mal rasée, les gros gants graisseux... Et bien entendu le pantalon sale dont la braguette ne demande qu'à s'ouvrir...

Déjà un peu plus dévêtu, ce beau brun torse nu qui tient son manche (de hache) à pleine main, en le caressant un peu et pile à l'endroit de l'entre-jambe : un hasard, c'est certain... Muscles, sueur et jean usé avec grosse ceinture, caleçon blanc et chemise à carreaux dans la poche arrière. Le coupeur de rondins est montréà l'arrêt sur un fond de forêt : un fermier ou un bûcheron donc... Il est beau, hein ? Et puis viril, ça y'a pas à dire.

La virilité et la hache semblent du reste aller de paire : ce beau mâle dans la pénombre de la fin du jour se tient de bout en exterieur devant des instruments agricoles rouillés. Il est torse nu, lui aussi et comme le précédent porte un jean un peu sale et déchiré. Notons qu'il est aussi "habillé" de muscles et de sueur... Par contre, pas de sous vêtements manifestement. Et la courbe de son ventre plat conduit le regard vers le pubis tondu à peine visible, nous faisant réaliser du coup que le pantalon est porté très bas (de l'autre coté, il est forcément à mi-fesses). Et ne demande qu'à tomber sur les chevilles ?

J'aime beaucoup la photo suivante : totalement irréaliste selon moi, pourtant. Couper du bois intégralement à poil, c'est risquer de se trancher les parties génitales, de se fracasser les orteils avec un rondin ou de se déchirer les pieds nus sur les copeaux. Mais bon, avouez que la photo est terriblement sexe... Même si on aimerait bien savoir pourquoi ce beau gars musclé en train de couper du bois pour l'hiver derrière sa ferme est ainsi totalement nu. Et aussi savoir ce qui le fait ainsi bander en coupant des buches en deux...

Le dernier bûcheron du jour est lui au moins au repos après l'effort. Pas plus habillé et pas moins bandant, du reste. La lumière le caresse, titillant même un de ses tétons et sa posture est franchement provocatrice. Il se tient assis devant le tas de bois, cul nu sur le billot et le fer de sa hache lui sert de cache sexe. Le salopard ! Ses pieds nus jouent dans l'herbe fraîche, ses cuisses sont grandes ouvertes et il nous fixe d'un air insolent. Et ça marche  : moi, je le trouve à crever...

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(Suite...)

Ca aussi, c'est chaud, l'humiliation et la fouille intégrale... Un fantasme à cause de l'uniforme, mais pas seulement... Car ce jeune mec foutu de force tout nu se tient mains sur la nuque dans une pièce de douane ou un poste de police. Et il assiste à la fouille de sa valise. Pour commencer ?

Et oui, l'étape suivante est beaucoup plus hard. Rien trouvé dans les bagages et dans les vêtements. On va donc s'attaquer au corps du prévenu. Et il commence par devoir se mettre totalement nu devant les policiers en uniforme. Très sexe de le voir ainsi perdre sa dignitéétape après étape. Torse nu et en caleçon, ça va. Mais l'abandon des chaussettes et du caleçon sont plus durs...

La première étape ressemble à l'examen d'un esclave ou même d'un animal : on vérifie les aisselles, puis on soupèse le sexe, en palpant les testicules, voire même en décalottant sans ménagement la verge. Un doigt ganté encore poisseux de sueur et de fluides corporels est ensuite enfoncé dans la bouche, vérifiant la langue et la dentition. En simulant aussi une pipe forcée...

Encore plus dégradant : l'examen approfondi du second trou... Le captif entièrement nu au milieu des flics en uniforme se retrouve penché en avant, dans la position de la sodomie. Et il doit offrir le spectacle de son cul nu... S'il n'obéis pas assez vite, se montre récalcitrant ou proteste, les insultes ou mêmes les claques sonores sur ses fesses exposées vont vite le réduire à l'obéissance et le mater...

Ensuite ? La honte et même la douleur. Des mains gantées écartent brutalement ses fesses pour exhiber son anus.

Sans lubrification ni préparation, un doigt ganté force sur le trou crispé. L'index pousse à fond et au final, il viole l'anus avant de s'enfoncer à sec dans le rectum. Le mâle humilié beugle et se cabre, faisant ballotter ses couilles entre ses cuisses maintenues écartées. Et à la douleur vient s'ajouter la rage d'entendre les specateurs l'insulter et se marrer de son humiliation absolue...

Un doigt, puis un autre et aussi ceux du deuxième policier : la rondelle écartée de force doit laisser l'intrusion se faire. Et si bien entendu, le but de la fouille intime est de vérifier que rien n'est dissimulé dans les entrailles du prisonnier, le désir de l'humilier, de lui faire perdre toute pudeur et le dresser à la soumission font partie du jeu... On en pense quoi chez mes visiteurs ?

(A SUIVRE...)

Si la posture debout bras en l'air ou à plat ventre sur le sol et écartelé, jambes en l'air sur le dos ou à 4 pattes etc. sont terriblement sexes, la position absolue de la soumission est à mon sens à genoux. D'abord cette position est confortable, et ensuite elle est à la fois pratique (à hauteur de braguette : vous voyez ce que j'ai en tête ?) et surtout place l'esclave directement en situation d'infériorité. Dans le cas d'un mâle à utiliser sous la contrainte, il est bien entendu que cette position est adoptée de force. Sinon c'est pas du jeu. Au moyen de liens, cordes et autres menottes. Il est pas beau, ce blond à cheveux long ainsi tout nu dans l'obscurité, les bras attachés en l'air, le visage baissé, assis sur ses pieds et cuisses écartées exhibant son sexe au repos et tondu à blanc ? La lumière venue d'en haut éclaire son corps glabre et accentue la théâtralité de son attente : c'est artisitique quoi...

La photo suivante est clairement moins de l'art. Mais elle n'en est pas moins excitante sur un autre registre. Déjà, il y a le fait que le captif porte encore un élément de vêtement : une fringue de sport en plus ! Pour la couleur et le fun en fait puisque son cul et son sexe ne sont pas du tout cachés. Et puis, le joli gars est attachéà genoux, réduit au silence par un bâillon boule, incapable de faire un seul mouvement dans ce réseau de cordages colorés. Son cul est en accès libre grâce au très sexy slip ouvert en cercle au niveau des fesses, mais surtout son érection maintenue au maximum par le bondage de son sexe le transforme en un obscène gode vivant... Au passage, vous avez remarqué l'anneau posé devant lui sur le tapis de gymnastique ? Ah ça c'est de l'humiliation ludique et lubrique ! Le beau mec est transformé en un jeu de massacre où il faut lancer un anneau pour l'accrocher sur sa bite raide... J'adore !

J'aime aussi énormément la photo suivante : forcément... Ce balaise body buildé agenouillé sur le macadam devant un garage, mains dans le dos et seulement vêtu d'un marcel qui mets son incroyable musculature en valeur et d'un petit slip moulant des burnes imposantes est carrément torride... Il a le crâne rasé comme un prisonnier militaire, une gueule de brute, des cuisses larges et velues : un mâle. Mais ce n'est pas son sexe dans son cas qui a été titillé et chauffé. Vous avez vu ses tétines ?

Le coté balaise ou hercule ligotéà genoux est un must dans le genre : la position est celle du guerrier vaincu depuis la plus haute antiquité... Associéà une barre sur les épaules, c'est la posture de l'esclave ou de la prise de guerre. Et ça c'est chaud...

La dernière photo du jour est ma préférée absolue. D'abord ce décor est très excitant : on imagine un très grand local démesuré, très haut de plafond avec d'immenses tentures très théatrale, mais pourtant meublé d'un cabriolet Louis XVI et d'un bureau cossu. A l'arrière plan, le mec en cuir affichant une érection impressionnante a des airs de garde armé (armé de sa bite). Il est totalement nu a l'exception de la traditionnelle casquette de master, de ses tatouages et d'un harnais de cuir clouté. Et bien entendu, au premier plan, il y a ce magnifique mâle agenouillé sur la table, comme un élément de décor, le cul bien offert souligné par un jock strap noir,, les reins creusés, le torse harnaché d'un petit harnais du modèle harnais pour chien en laisse. Son cul sublime est posé sur ses pieds nus et une paire de menottes de cuir entrave ses chevilles avec sans doute une autre pour ses poignets. Et ce viril objet sexuel est installé ainsi immobile avec une cravache à ses cotés... Car c'est bien gentil d'avoir dressé un mâle à se tenir à genoux près de son master. Mais on fait quoi ensuite ? Le mater ? Le branler ou lui torturer les tétons ? Le fouetter et le cravacher ? Et sinon ? Ça vous le verrez la prochaine fois...

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Ha... Le pilori : un joli meuble souvent, témoignant d'un savoir faire traditionnel. Tenons, mortaises, chevilles à l'ancienne, bois brut, mais bien travaillé... J'admire sur cette photo la qualité de l'oeuvre de l'artisan : le pilori bas où se trouve enfermés le cou et les poignets de l'esclave ainsi exposé est superbe. En fait, je plaisante : c'est du travail d'amateur, mais assez réussi. Je suis un peu moins convaincu par la tronche de la petite chiotte prosterné et en attente. Mais ça, c'est vraiment personnel...

Car l'un des éléments excitant du pilori, c'est de contempler le visage du condamné. Sinon, c'est pas rigolo, n'est ce pas... Il faut le voir passer de la honte, à la colère et de la rage à la souffrance ou au plaisir. Le beau visage de ce jeune beau gosse encore coiffé de ses lunettes de soleil est à ce titre très sexe : il exprime... la surprise ? On imagine donc que la suite va être très intéressante...

Certes cette la série de photo suivante n'est pas de bonne qualité, mais peu importe. Le balaise barbu prisonnier du pilori et exposé aux insultes ou au rires des spectateur est d'abord en train de beugler de colère... Mieux : il gueule, injurie et provoque. Un peu le genre "même pas mal".

Mais il se débat ensuite et pique une colère froide en soufflant. Sa rage est telle qu'on le voit même baver. A moins, bien entendu que le long filet de salive qui coule de ses lèves soit les crachats des spectateurs... Les crachats ou quelque chose de plus strictement masculin : genre foutre ?

En tout cas, il a un visage expressif... Car sur la dernière photo, il manifeste un nouveau sentiment. Mais lequel : souffrance, colère, humiliation ou plaisir ? A vous maintenant d'imaginer pourquoi. Son corps totalement nu et dont les mains sont enfermées entre les deux planches de bois est exposé : dos, torse, cul et sexe. Alors on lui fait quoi ? C'est pas mal, hein quand on se lance à imaginer...

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Un trou du cul de mâle pile a la bonne hauteur et exhibé par force, a totale discrétion et en libre service, c'est fantasmatique... Mais on peut aussi imaginer le captif obligéà bander et àêtre utilisé comme un gode vivant... Ou comme un objet de décor obscène. Ce beau mec totalement rasé de la tête au pubis et aux couilles est attaché solidement, accroupi sur un poteau de bois brut et des impulsions électriques maintiennent son érection, le transformant ainsi de force en impudique sculpture vivante... Et il offre son sexe raide à sucer, pile à la bonne hauteur...

Même chose pour le beau gars suivant, ligoté tout nu sur une sorte de billot de boucher, yeux bandés. Abandonné au centre d'un grand local, il exhibe de force sa verge raide, dressée à la verticale, prête à l'emploi pour l'usage que l'on veut... Et la moquette rouge donne à la scène un coté sacrificiel particulièrement excitant, je trouve...

Le décor fait aussi beaucoup : c'est un ensemble... Mais le mâle ainsi ravalé au statut de simple bite à pattes est aussi très important, bien entendu. Un mec au crâne rasé couvert de tatouages et enfermé dans un réseau de cordes au bondage savant et esthétique c'est excitant, trouvez pas ?

La bite dressée rend le "viol" d'autant plus obscène du reste, et les yeux bandés du mâle aussi... C'est pas torride de découvrir ainsi cette énorme sexe turgescent ainsi exposé par ce beau gars hurlant de rage ?

Du matos de concours... Et en gros plan c'est bien aussi, trouvez pas ? Gros, veineux et humide...

Allez, une dernière vue d'ensemble, histoire de nourrir vos rêves et faire travailler votre imagination... Vous entendez les beuglements du beau jeune taureau se tordant dans ses liens, les pieds crisés par la colère et l'ankylose ? Des beuglements, des insutles et des grognements qui résonnent dans l'immense espace de cette salle en pleine lumière... Maintenant à vous de l'utiliser à votre guise... Vous êtes trop gâtés...

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Ah le rapport entre le zizi et l'arme à feu : un vaste sujet... Ainsi ce beau mec aux allures d'Indiana Jones brandit son arme et semble prêt à se vider le chargeur. Ou les couilles ? Belle arme en tout cas...

Voila de la photo explicite au moins pour continuer sur le sujet... Avec éclate assurée...

Cela dit, soyons cohérent et précis : c'est bien ce qu'on appelle le trou de balle non ? Et il y a donc une raison àça... Mais je pense également que c'est le genre de gode qui doit rendre très coopératif et particulièrement sage...

Pour se faire défoncer, on peut aussi imaginer plein d'accessoires moins expéditifs. Et là, on ne sait plus quoi choisir. Du vrai ? Du énorme ? Ou même un gode en forme de botte... Cela dit ce beau mec en tenue de boucher transparente a un petit coté angoissant, trouvez pas ?

Mais on garde le meilleur pour la fin : clairement il y a eu une super éclate... Sexy et rigolo ? Hum pas certain, ça... Même si le grand sourire béat du beau gars totalement nu et ruisselant de sang est trop caricatural pour être autre chose que provocateur...

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Et oui hein : c'est souvent sexe à mort un mec arborant des pectoraux recouverts d'une toison virile... Il y a même des inconditionnels de la moquette masculine. Dans le genre, il faut admettre que c'est de la très belle bête sur cette photo... Ce torse !

Même modèle, mais avec blouson de cuir : peau sur peau. Le système pileux un peu bestial qui couvre sa poitrine fait presque oublier qu'on ne voit pas son sexe, seulement signalé par la bosse de son slip blanc et les poils sur son ventre...

Et même caché par un grand peignoir de soie rouge, il est quand même : à poils. Hum, cette toison subtile sur la peau moité de sueur. On salive ?

Bon, je ne voudrais pas voir mes visiteurs frustrés : donc changeons de modèle. Hein ? C'est du poilu, ça non ? De la vraie fourrure de mec, pas limite gorille, mais plus sensuel... Oui, c'est pas gentil de cacher le sexe. Mais c 'est pour mieux se concentrer sur les muscles parfaits et le reseau de fourrure odorante... Et puis aussi sur les deux tétons pointus ?

Et en apothéose : ça ! Vous voyez que Gotikus est le bon gars. On a toute la bête. Barbu, musclé, orné de cuir juste comme il faut : bottes et gilet. Orné aussi de son pelage et de sa sueur. Et c'est un mâle !

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Petite erreur de programation manifestement... Et donc des super héros pour rattraper la chose ? Un batman moulé de latex ? Ou Robin, son petit copain... Musclé, avec une gueule sublime et c'est un mâle manifestement...

Le suivant est plus que nu : moulé de lycra faisant ressortir ses muscles et la bosse sympathique de son sexe d'homme araignée en forme de croc. La petite bête qui monte ?

Plus rigolo, ce Batman tout nu, non ? Avec le masque de caoutchouc et la main bien placée pour cacher le sexe sans dissimuler la touffe du pubis... A poil sur un fauteuil de bureau, il est à la fois ridicule et bandant...

Une belle bête non ?

(A SUIVRE...)

La dernière fois, je montrais des beaux mâles velus. Et donc dans ce message, penchons-nous sur des belles bêtes glabres, et musclées... Totaement nu et juste tatoué comme il faut. De dos, avec son cul rebondi frottant sur une colonne en forme de chibre sombre...

La gueule est pas mal aussi, trouvez pas : une tronche de salope virile ? A califourchon sur une sorte de gros sexe...

Et faut bien dire: la musculature est sublime, mais perso, c'est son fion somptueux qui me fait tirer la langue et saliver... Saliver dans le slip aussi, pourquoi le nier ?

Le modèle suivant est plus blond et plus massif. Et le spectace de son sexe large au repos et toiletté (couilles rasées et pubis tondu) au milieu des muscles noueux de son bas-ventre est d'autant plus obscène. Une impression renforcée par son slip bleu tenu dans une main.

Tadam : je n'allais pas mes visiteurs se triturer l'imagination pour tenter de se représenter cette bite en érection. Et ça c'est du beau matos, trouvez-pas ? Veineux, large, turgescent, agressif... Rien à jeter... Vous préférez le brun ou le blond ?

(A SUIVRE...)

Un Super Héros moulé de latex ou de lycra, c'est bandant : clair. Et dans le genre fantasmatique, il y a aussi le chevalier médiéval pour faire rêver dans les chaumières... Médiéval ou futuriste : de chair et de métal... Hum Robocop chez le roi Arthur ?

Plus riche : le modèle toujours peint en trompe l'oeil et trompe couillon, mais version doré.

Un beau chevalier mieux qu'à poil dans un décor féerique de forêt enchantée... Un bout d'armure brillante, une grosse épée magique et sinon totalement nu et sublime de l'orteil à la gueule : de quoi réveiller le coté Princesse qui sommeille dans tout homo qui se respecte ?

De la Princesse à la Folle, il y a souvent un tout petit pas à franchir ... Et donc voilà un Bayard wagnérien façon queen... Les lunettes de star font beaucoup et le cache-sexe à chaînettes aussi...

On termine avec un chevalier moins sophistiqué ou plus en armure. Et on se rend compte que c'est kitsch de le voir exhiber son "glaive" au milieu de son déguisement de métal. Mais excitant ? En tout cas, il faut se dépécher de l'aider à s'astiquer avant qu'il ne rouille, croyez pas ?..

(A SUIVRE...)

Un peu plus de hard après les rigolades des derniers jours... Et c'est tout de suite chaud, trouvez pas ? Une belle bête totalement nue, au crâne rasé, solidement ligotée et dans une posture de soumission totalement explicite... Une posture consentie ou obligée, c'est à vous de voir...

Le corps immobilisé et à genoux, prosterné par force dans les fers fixés au sol et par les bracelets de cuir réunissant ses chevilles et ses poignets... Et dans un décor de cachot crade et humide aux murs ornés de chaînes. Le captif attend, totalement nu et il a manifestement déjà pas mal dérouillé. La plante des pieds est boueuse, la croupe sale est écarlate après le fouet et le corps ruisselant de sueur et/ou de pisse... Ou autre ?

Et on termine avec un dernier bâtard prêt à l'emploi dans un cachot, le cul bien exhibé, les couilles pendantes, mais attaché sur un lit matelassé qui rendra la saillie plus confortabe pour le mâle venu l'utiliser. Le mâle ou les mâles, bien entendu...

(A SUIVRE...)

Ben comment ça, c'est pas un fantasme d'Artagnan ? Présenté comme ça, ben non... Mais regardez la photo et tout de suite, c'est beaucoup plus parlant, trouvez pas ? Bien armés les mousquetaires de Sa Majesté ! Et donc on imagine le cul (ou la bouche) d'un méchant garde du Cardinal en attente et la phrase célèbre devient franchement torride : "un pour tous, et tous pour un". Vous visualisez la tournante ? Reste  à savoir qui est d'Artagnan, gascon et velu, Athos, plus âgé et aristocratique, Aramis blond, fin et forcément glâbre. Et Porthos...un géant balaise et poilu...

(A SUIVRE...)

Ben oui, les vrais cigares c'est pas bon pour le souffle. Alors que ce modèle tient en haleine et oblige à contrôler la respiration, pas vrai ? Clair qu'à fond de gueule, il arrive dans la gorge...

Aussi long, mais plus Large ? Et luisant de bave...

Plus large encore ?

Et maintenant encore plus impressionnant ? Surtout si on considère que la bête est encore endormie...

Vous voyez pourquoi je parle de cigares et pas de cigarettes...

Le plus énorme et le plus large pour la fin, bien entendu... Seulement réservé aux Grandes Gueules. Ou aux Salopes de concours ? Vous préférez lequel ?

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Bon : le mâle a été dessapé, dressé, contraint et maintenant qu'il est solidement attaché, il convient de voir ce qu'on en fait... Excitant de découvrir ce mec sur le sol totalement à poil, avec ses couilles attachées solidement aux barres de bambou qui l'obligent à conserver cette posture humiliante pendant qu'un dominateur tatoué et sanglé de cuir flatte son dos comme s'il était un animal... Non ?

La photo suivante montrant un cachot sombre est aussi très sexe : car le slave totalement nu a la tête et les mains enfermées dans un carcan situé en hauteur. Pile au bon niveau pour se faire rougir le cul et lécher le trou selon le bon plaisir de son dresseur... Ou des autres visiteurs...

Le jeu peut d'ailleurs se faire avec plusieurs lopes : le captif au centre a les yeux bandés et à 4 pattes sur une estrade doit lécher le trou d'un autre bâtard tout en se faisant bouffer le cul par un beau gars en cuir... Moi, perso, je trouve ça chaud...

Bien entendu, le dressage peut commencer de façon progressive. Avec de simples menottes dans le dos et un mâle encore hâbillé. On lui a retiré juste ce qu'il faut : ses pompes et ses chaussettes. Et baissé son slip et son froc. Pieds nus, les fesses à l'air, il beugle et se tord pendant que ses superbes fesses viriles prennent sous les claques une belle teinte écarlate. Encore un peu de se traîtement et il sera à la fois plus calme et plus docile.

La dernière photo est à ce titre édifiante et terriblement excitante. Plus de fringues pour ce beau mec à 4 pattes sur un fauteuil de cuir dans un décor cossu qui accentue par contraste sa nudité. Le crâne rasé, les mains et les chevilles ligotées, il ne porte plus qu'un collier de clebs en cuir clouté et une cage de chasteté chromée comme seuls vêtements. Les stries gonflées sur ses fesses témoignent qu'il a reçu une vraie raclée et il sanglote pitoyablement... En attendant une suite qui risque de ne pas être très consolante à mon avis... Vous avez une idée ?

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Le sexe brutal, c'est bien, mais a moins d'être un inconditionnel de l'amour vache, un certain confort n'est pas toujours un élément à rejeter d'emblée... Et dans le genre, les gros fauteuils recouverts de cuir capitonné, c'est assez top. Le crissement de la peau sur la peau, la chaleur animale, le coté viril du siège pâtiné... Il est pas beau, ce mâle nu sur fond de cuir capitonné reprenant les formes pleines de son cul sublime ? Avec le bruit de son pied nu enfoncé dans l'assise tiède...

Plus artistique, j'aime aussi beaucoup cette série de photo de Justin Monroe : le trône est déjà hyper créatif. Et donc cette belle bête musclée et toute en rondeurs fermes, nue et luisante vautrée sur ce siège incroyable, ça donne un résultat à la fois beau et torride...

Le corps muscléépouse la courbe du dossier... Et tout en léchant son biceps et en simulant l'effort d'ouvrir la coque de cuir blanc, le beau gars laisse sa grosse tige raide reprendre la forme générale...

Ben oui : après son sexe tondu et lisse, son cul, forcément... On parle de courbes et maintenant c'est le fauteuil lui-même qui a l'air d'un gigantesque phallus...

La photo finale clos la série en beauté : de l'art, de la sensualité, du cuir crissant et tiède comme la peau de l'athlète en rut... Et un appel a utiliser ce cul de rêve sans équivoque ?

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Un mec tout nu devant une muraille brutale, c'est bandant. Mieux ? Ben deux mecs, forcément... Pour commencer, des jumeaux. Et habillés, c'est encore plus sexy. Pieds nus sur le sol brut, les torses musclés entrevus et luisants : j'aime.

Plus artistique vous préférez ? En dégradé,forcément... Et tout en subtilité. Genre scène de chasse...

Et des gars vintage dans une arrière-cours de béton, ça vous parle ? Un biker en cuir cul nu sur sa moto et à coté de lui, un latinos totalemenent à poil...

Un peu plus d'action maintenant : et dans un décor d'acier et de béton franchement bandant... Un dominateur poilu totalement nu et grognant de plaisir. Et a genoux devant lui sur ce lit de métal, un gars glabre et rasé au corps seulement "hâbillé" de tatouages : beau et sexy.

Moins confortable pour terminer, mais pas moins fantasmatique? Ben oui, une saillie brutale dans un recoin d'immeuble au béton sale et souillé de coulures : deux mâles à poil et luisants de sueur se laissant aller à leur rut animal au milieu des relents de pisse. Et comme c'est inscit sur le panneau : "keep open"...

(A SUIVRE...)

Pour ne pas changer, on va continuer à parler cul. Mais vraiment cul : en montrant des fessiers de mâles. Pas en gloire cette fois, exhibés sans pudeur, mais à peine vus, entrevus, aperçus. Comme dérobés. Et d'abord par une porte entre ouverte : c'est chaud ça, non ? Vous vous imaginez ? Caché dans l'ombre et contemplant un mec nu couché sur son lit en admirant en silence la raie velue et les fesses viriles tanguant doucement... Slurps hein ?

Tout aussi excitant, le postérieur suivant... Ou plutôt LES postérieurs ! Deux pour le prix d'un... Deux beaux mecs nus et à 4 pattes, installés côte à côte comme pour une vente aux esclaves ou un marché aux bestiaux. Et on découvre leurs pieds nus arqués, leurs couilles pendantes et leurs fessiers ronds dans le reflet d'un miroir. Slurps (bis). Voire bise...

Le cul est certainement la zone la plus intime d'un mec. Plus que la bite en gloire ou le torse fièrement viril. Et justement, sur cette photo, on découve en pleine lumière un joli gars au visage invisible baissant son slip et montrant son cul rond et blanc sans le savoir. Surpris dans son intimité au moment où il change de sous vêtement. Bien plus que nu : foutu à poil par le photographe. Et donc le spectateur...

Plus viril et plus mâle ? Cette croupe velue offerte au saut du lit par un balaise poilu et tatoué, dormant nu et regardant par la fenêtre... Une photo en noir et blanc jouant sur les lignes et les contrastes. On imagine un fumet animal dans la chaleur de l'été et ce spectacle volé en douce d'un voyeur n'en est que plus torride.

 Et d'ailleurs, c'est ça aussi la sensualité... Ne pas tout montrer, suggérer, jouer sur les effleurements... Un mec découvert dans un miroir et dont le pied nu et la croupe somptueuse, tendue, pleine et lisse sont exposés au premier plan dans la lumière... Et oui : on se prend à tirer la langue en cherchant du nez et des lèvres un petit bouton rose à peine visible...

(A SUIVRE...)