Ben il y a la levrette, et puis aussi la célèbre Brouette Congolaise. Mais dans une ferme, il y a aussi la brouette normale. Et ce mâle luisant de sueur et aux bras écartés, ben je le trouve déjà très bandant. Cri-cri-cri : le bruit de la roue.

Encore plus fort ? Ben pour ça, il suffit de dénuder le travailleur agricole debout en plein soleil après l'effort... Un slip, des baskets et un corps musclé luisant de sueur...

On peut aussi utiliser la brouette rouillée pour se reposer : et c'est pas hyper bandant de contempler ce barbu poilu ainsi exhibéà poil, offrant son sexe et sa toison ? Avec seulement ses grosses bottes boueuses comme seul vêtement...

Encore plus fort (et donc excitant) ? Dans le genre, ce sublime mec viril et musclé, mal rasé et totalement nu en train de manier sa brouette, ben moi ça me file un sacré coup de chaud... Moi ça me titille le cortex à fantasme. A cause du contraste ?  Du coté incongru de découvrir un mec à poil en plein travail au milieu des clous rouillés ? Du décor ? Du grinçement de l'axe rouillé ? Des morceaux de bois dans la beine de métal suggérant la construction d'un instrument de torture ? De ses pieds nus ? De son sexe au repos au milieu de la toison naturelle de son pubis, tremblottant pendant la marche ? Faut dire aussi qu'il est drôlement beau, le travailleur...

On le voyait de face et on termine par un mâle tout aussi nu dans le sable devant sa brouette, mais de dos. Et on dit pas merci à Gotikus, hein ???

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Je l'ai déjà dit : c'est très bandant d'enfermer un mec dans une cage de chien, mais c'est franchement pas très pratique...Ou alors, il faut une cage vraiment très très grande, genre cellule de prison. Dans ce cas, pas de problème : le captif a genoux et un collier de clebs avec une laisse autour du cou peut même étre utilisé par deux superbes masters moulés de cuir, en chaps ou harnais. Ou plus que deux masters, mais deux c'est déjà pas mal... Surtout ceux-ci : il est clair que ce sont des mâles !

Finalement, le prisonnier peut être extrait de derrière ses barreaux le temps d'un petit plan... Comme sur cette deuxième photo du reste très excitante où l'on découvre même un beau mec totalement nu accroupi sur un gode (la saloooope) et suçant la bite d'un mâle assis encadré de trois autres hommes tout aussi à poil que lui et dont on comprend bien qu'ils ne vont pas tarder à le doucher au foutre. En fait on ne sait pas très bien qui est l'occupant de la grande cellule à l'arrière plan. Peu importe : cette grille d'acier est plutôt là pour le décor et le fantasme...

La grille peut aussi avoir une utilité tout à fait fonctionnelle du reste : pour s'agripper. Et ainsi un captif bâillonné sorti de sa prison et menotté aux barreaux, le sexe emprisonné dans un jock strap de latex va devoir s'empaler de force sur un énorme gode (lui même ventousé sur une petite cage)... Et vu les gants de son geollier prêt à le matraquer s'il n'obéit pas, on suppose que le gode n'est qu'un tout petit avant goût de ce qui va ensuite défoncer son anus et s'enfoncer dans ses tripes... Jeux de mains, jeux de vilains ?

Sur la 4e photo, les prisonniers sont cagoulée de latex. C'est déjà plus hard : plus d'identité et même plus de vue et d'ouie. Ils ne sont que des trous. Et s'ils sont libérés de la petite prison où ils étaient collés l'un à l'autre, c'est pour servir de pissotière... De l'urine tiède pour fêter leur libération ? Peut-être tout simplement du champagne recyclé par leur maître...

Je crois avoir un peu fait le tour du sujet ? Et on termine avec ce mec debout devant sa cage installée dans la rue... Nu devant les passants, les pieds et les mains emprisonnés de cuir, il porte une autre cage... mais de chasteté celle là, lui interdisant de bander et a fortiori, de jouir. Enfin, jouir de la bite, on est d'accord. Le principal organe sexuel et le plus important étant le cerveau.

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A son lit : le lieu du repos, des rêves et des calins sous la couette... En cette fin d'hiver, c'est un bonheur. Mais on peut aussi être moins endormi et plus pervers, non ? Et imaginer un partenaire de jeux plus récalcitrant et plus... attaché ? Ligoté sur le ventre par exemple et en train de se tordre de rage dans les draps froissés... Avouez que ce mignon petit lot encore porteur de son jock strap et offrant à la caresse ses jolis jambes et ses pieds nus, ça donne envie de faire du cocooning encore un peu...

Le fantasme est délicieux, non ? Trouver dans sa chambre un beau mec totalement à votre botte. Par force. Dans sa chambre d'hôtel par exemple... Et c'est bien dommage que les hôtels ne proposent pas ce genre de service d'étage à leur clientèle.

On peut imaginer un décor moins cosy et moins banal du reste. Comme une chambrée de caserne, avec un beau bidasse au cul blanc et nu, bâillonné et ligoté sur son plumard de métal, couilles et bites comprises. On fesse ? On fouette? On caresse ou on sodomise d'emblée à la hussarde ? Là, c'est vous qui voyez...

C'est excitant de toute façon de contempler un joli gars tout nu en train de lutter et de se tordre dans ses cordes... Comme ce mignon petit brun aux muscles secs, bien cambré et ligoté de manière à le voir frotter ses liens sur sa raie du cul...

Et on termine par un véritable cadeau encore emballé :  tout nu, sur le ventre, les mains remontées dans le dos et l'anus bien offert, avec même les pieds nus comme poignées où se tenir. Et prêt à l'emploi ? Si vous voyez ce que je veux dire...

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Nous avons évoqué la dernière fois le spectacle de pauvres gars kidnappés et ensuite ligotés sur des chaises : mais le siège et la position assise sont aussi les apanages des dominants et des Maîiitres... Exemple ? Ce beau barbu vêtu de noir et installé sur un fauteuil de style rococo : il est tout tranquille et ne regarde même pas ce qui se passe sur le tapis, au bas de son siège de bois doré. Deux jeunes mecs nus prosternés au sol. Ils lui ont retiré ses pompes et ses chaussettes et caressent avec dévotion ses pieds nus. Couchés les bâtards : sages...

Le style Louis XV, c'est certes très chic, mais on peut préférer un master moins raffiné. En cuir intégral, avec casquette  visière, lunettes noires et gros cigare. Installé sur un fauteuil clouté de bois brut, perché sur une estrade, il est en train de manifestement essuyer les semelles de ses grosses bottes sur le ventre musclé d'un esclave tenu en laisse et couché sur le petit tabouret qui lui sert d'escalier. Un paillasson très décoratif, je trouve...

Le style cuir et entrepôt de mâââles, vous aimez ? On peut aussi trouver un beau black totalement nu sur son grand fauteuil très excitant, comme dominateur. Surtout si lui aussi utilise son esclave installé au sol sur un coussin, totalement nu et en laisse. Un tabouret sympa, dont le rôle est encore plus sympa. Puisque la tête entre les cuisses de son master, le jeune slave blanc est en train de fourbir son sceptre royal avec sa langue et ses lèvres. Suis-je assez clair ?

Le master peut aussi garder ses bottes, du reste et l'esclave totalement nu être à 4 pattes, exhibant ainsi son trou du cul et sa raie poilue pour être sailli et utilisé par son autre orrifice quand le master en aura envie. Belle photo, non ? Très excitante, je trouve...

Le trône finit par ne plus avoir une réelle importance, en fait. C'est son son confort l'important. Et surtout le contraste avec la position et la nudité totale du bâtard (à la rigueur un collier de clebs et une laisse peuvent convenir) qui rendent la scène excitante. C'est top, avouez de voir ce mignon petit lot tout nu et crâne rasé, assis sur ses pieds prosterné sur un tapis, suçant la bite d'un master en costume cravate, jambes écartées dans un cadre luxieux ? Voilà le type de service d'étage ou de groom dont on rêve, non ?

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Hummm dans la pénombre d'une grenier à foin, d'une grange ou d'une écurie, découvrir et surprendre un joli valet de ferme au corps luisant de sueur totalement nu... Avec la lumière d'une rustique lampe  pétrole... C'est trop excitant de contempler sa jolie gueule mal rasée et son sexe au repos se balançant entre ses cuisses, trempé comme s'il sortait d'un lieu humide ou dégoulinant de pisse ou de semence...

Après la pénombre, la pleine lumière ? Je l'ai déja dit (mais je ne m'en lasse pas) je trouve ça bandant un beau mâle tout nu dans un grenier campagnard... Tout nu, ou avec encore un slip pisseux et moite. Et endormi dans la paille pour sa sieste au plein coeur d'une journée d'été...

Le joli petit lot de la photo suivante est réveillé : tout aussi en sueur, mais tout nu. Et appuyéà une grosse échelle, il se marre sans complexe... Naturel quoi, même si le toilettage de sa toison pubienne suggère qu'il est plutôt un gars des villes.

Ahhh le réveil après la sieste dans le foin : il est pas beau ce mâle vintage tout nu dans la paille ? Encore un peu endormi, mais son chibre circoncis au repos entre ses cuisses pourrait bien se réveiller très vite.

Ah ca fait rêver tout ça : lever la tête après la touffeur d'une après midi de canicule et découvrir une belle bête baraquée et bien mâle, totalement nue à genoux dans la paille, réveillée après sa sieste et offrant sans complexe le spectacle de la plante de ses pieds, de sa croupe bronzée et ses génitoires poilues... Dans quelques mois, il fera beau, vous savez...

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Beurk ? Ben oui, mais la crasse c'est une chose et l'huile ou le cambouis une autre... Avouez que ce mec musclé sec et tatoué, tout nu dans la pénombre avec la lumière tombant d'en haut pour éclairer son corps et même son chibre dressé avec un gland bien rouge, c'est déjà excitant... Mais les traces huileuses, noires et luisantes, comme on si on l'avait traîné dans un garage ou dans de l'huile de vidange, ben c'est encore plus excitant... Non seulement c'est sensuel en faisant ressortir ses muscles et même c'est trèèèèès fantasmatique...

Bon, c'est clair que l'obscurité et la pénombre de la photo précédente faisait beaucoup (je suis trop drôle)... Mais pourtant, dans un registre moins dramatique et plus banal, contempler ainsi ce mâle cul et pieds nus accroupi dans la lumière et réparant son vélo, c'est aussi intéressant...

Il y a déjà le contraste entre le haut de son corps vêtu et le reste totalement à poil. Et puis aussi, justement, le fait de le voir se pencher en avant en exhibant son cul nu marqué de poussière et son gros sexe sombre et pendouillant entre ses cuisses écartées...

Le cycliste (il a les jambes très musclées, avec des beaux mollets) a l'air tout à son affaire dans ce qu'on imagine être un local à vélo. Bon, c'est une mise en scène bien entendu : car il s'installe sur un petit escabeau et tout en tripotant sa machine et en se couvrant de cambouis avec allégresse, il exhibe surtout ses fesses et son sexe totalement raide... Dans une posture qui est clairement un pousse au viol... Et puis revenons sur terre : vous en connaissez beaucoup, vous, des mecs qui bricolent leurs bicyclettes pieds nus et fesses à l'air ? Et aussi que le graissage de leurs pignons et autres pédales mets dans un tel état d'érection ? Restons positif : s'il se fait sodomiser direct, son trou sera déjà graissé...

En tout cas, il faut admettre que c'est aussi franchement excitant comme spectacle... D'abord cette posture totalement obscène (légitime peut-être, mais bon...) mettant en valeur la belle croupe ronde, laissant deviner un anus rasé et serré et exhibant des grosses burnes noires (rasées elles aussi) et un chibre raide de belle dimension. Clair que ça fait envie. Et puis ensuite, les traces huileuses sur la peau, l'odeur qu'on imagine et la plante des pieds crade et marquée de goudron noir : c'est bandant...

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Et ben oui. D'abord le modèle est une sacrée belle bête, surtout photographié comme ça par en dessous, avec ses muscles, ses aisselles poilues et ses cuisses écartées. Mais aussi ce qui ajoute beaucoup, c'est le rendu sombre en noir et blanc du slip au coton un peu usé et pelucheux. La présence du sexe, invisible mais présent, moulé juste assez, nous laisse deviner la forme de la verge au repos et du gland. Ainsi on sait immédiatement où mettre son nez... Ou sa langue...

Moulé dans du tissu, c'est presque plus troublant qu'exhibé dans la lumière... J'ai dit "presque", on est d'accord... Et en pleine lumière, avec de la couleur, le sexe dans le slip attire d'autant plus le regard que le reste du corps est nu. Une tentation d'autant plus désirable qu'elle est cachée ?

On peut bien entendu être moins subtil... Ou plus érotique ? Comme avec ce beau rouquin doré et musclé, à la peau luisante et claire soulignée par la blancheur d'un slip blanc et humide.. Erection manifeste, d'abord : la tige grosse et large est collée sur le coté, comme un animal tiède et palpitant. Et non seulement son berceau de tissu moule la hampe, mais un peu humide, il laisse deviner les petits testicules ronds, le gland et les veines. Dernier détail bandant : le pouce dans l'échancrure du slip amorant le geste de baisser le sous vêtement (qui dévoile déjà la touffe rousse du pubis) pour laisser la tige gonflée se déployer dans sa gloire au nez du spectateur... Ou a sa bouche ?

Après une splendide érection et un énorme chibre, on découvre ensuite un latinos somptueux. Avec un slibard blanc encore, histoire de faire ressortir la couleur caramel de son bronzage... Ben oui, je sais : la belle bête est au repos et son sexe encore plus reposé... Tout petit dans le slip et moulé par les ombres et les lumières. Et justement, ca donne très envie de réveiller tout ça et d'aller croquer cette petite sucrerie...

Les slips blancs et pisseux ou au contraire immaculés ? Autre version, le slip de couleur, en coton bien banal. Et ce joli garçon assis dans son fauteuil n'a pas l'air de se douter qu'on a plus envie de le regarder dans le fond de sa culotte que simplement dans les yeux... Ah, ramper à genoux pour aller s'installer entre ces belles cuisses et y humer et caresser et goûter ce service trois pièces à peine moulé par le tissu...

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Tout nu avec un saladier sur la tête : forcément, présenté comme ça, on y croit pas. Mais pourtant une belle bête nue avec un simple casque et hop : on bascule dans l'univers de L'Illiade et de L'Oydyssé, aux heureux temps des amours masculines... Avouez que c'est pratique... D'autant que sur cette superbe photo en noir et blanc, l'artiste a repris la pose académique du célèbre Jeune homme assis de Flandrin (musée du Louvre).

Le casque a l'intérêt d'attirer la lumière pour une photo en noir et blanc. Et donc de faire ressortir le luisant plus doux de la peau. Il dissimule aussi le visage. Et puis bien entendu, il transforme un homme nu en guerrier grec, à l'époque bénie où les amants combattaient nus aussi bien pour montrer leur courage que dans l'espoir de se faire sucer par leurs adversaires ?

Un autre exemple ? Ben ce beau modèle a demi dans la pénombre avec son sexe en évidence aussi joli et modelé que celui des statues (aussi petit d'ailleurs). Ce n'est plus un modèle, mais un fier guerrier Spartiate ou Athénien grâce à son casque tenu sur son bras. Il devient Achille pleurant Patrocle, un esclave prisonnier ou un vaincu... Dernier point très esthétique : le cimier (en brosse) du casque s'harmonise parfaitement avec ses cheveux (en brosse aussi) et la toison de son pubis (toilettée de la même manière). Du subtil et du sensuel, quoi...

La nudité peut en effet être trop sobre et l'accessoire (comme la référence à la statuaire gréco-romaine idéalisant le corps masculin) anime le sujet... Sur cette photo d'art, le luisant du métal éclaire la zone sans bronzage du modèle et joue sur des contrastes sensuels. De la même manière, les plumes des casques antiques ajoutent également un élément décoratif et soulignent les zones plus sombres de la chevelure et de la touffe... Retirez à ce guerrier Grec son casque (il n'a d'ailleurs rien d'autre) et c'est un beau mec bien foutu posant tout nu devant un photographe. Et c'est tout. Même si c'est déjà pas mal...

J'aime bien les séries comme j'ai dit : avouez que celle-ci est intéressante... Ce petit mec à poil a un corps joli, il est bien foutu, mais assez banal. C'est tout de suite plus sexe de l'imaginer en soldat antique grâce à son casque, son glaive et son (ridicule) petit bouclier... Et son sexe n'en est que plus visible. Et attirant ?

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A deux dans un lit, pour faire des calins, dormir ou s'envoyez en l'air, c'est bien entendu à la fois classique et le confort absolu. Mais si on a un grand lit, là où il y en a pour deux, il y en a aussi...pour trois ?

D'abord le plaisir de l'exhibition, bien entendu : un couple viril endormi tendrement, offrant le sectacle d'un cul blanc et rond, de corps livrés et nus. Avec un spectateur debout au pied du lit comme dans une loge de théatre...

Et bien entendu les choses peuvent dégénérer. J'aime beaucoup cette troisième photo avec ce black et ce blond à la peau claire se caressant et se frottant l'un à l'autre pendant qu'un troisième mec encore vêtu de son caleçon flottant est plongé dans sa lecture. La photographie dégage quelque chose de sensuel, de tendre et de sensuel. Et en même temps de totalement naturel et gentil...

Vous préférez du plus torride ? Ben voilà :il suffit de demander. Car ces trois barbus en rut sont en train de faire souffrir les ressorts du sommier et on est un peu contraint d'imaginer ce qui se passe dans la partie basse de l'image. Mais c'est clairement sexuel...

Le lit, les coussins et le matelas sont là pour le confort. Et pour le reste, on a un trio du genre bandant, mais classique. Un petit mec cul nu se fait sodomiser d'un côté et suce une grosse bite de l'autre. Les deux trous investis quoi...

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La ferme, c'est aussi les animaux, les vaches, les chevaux ou les cochons.. Et donc les étables fleurant bon la bestialité ? Et le rut instinctif. Manifestement ces quatre beaux gars sont sensible à la montée de sève du printemps. Et une poussée de testostérone les fait s'accoupler dans la paille odorante d'une écurie ou d'une étable... Chaud, non ? Ils sont nus, mais ont gardé leurs pompes. C'est vrai que la paille c'est très bandant, mais ça pique la plante des pieds...

Le rut quoi : on découvre dans un autre coin deux autres mecs en plein ébats. Et le joli mec à la queue dressée se fait couvrir comme une bête, penché en avant et accroché aux murs de la vieille laiterie... Si j'osais un trait d'esprit (et j'ose) je dirais : la vache !

La sailie, c'est ça, naturelle et instinctive : tout le monde à poil et on s'encule. Mais on peut aussi goûter des fantasmes plus pervers et sophistiqués. Comme cet élégant cavalier botté, venant utiliser et dresser une jeune monture couchée nue dans le fumier... Le contraste entre la tenue chic et la nudité du mignon petit mec vautré sur son bleu de travail est particulièrement excitante : le maître et son valet...

Et ensuite le cavalier et sa monture ? Mais avant, c'est trop bandant de contempler le beau mec en costume sombre, sans pantalon et assis sur la bouche docile d'un jeune valet de ferme, dans l'odeur du fumier... Et se faisant broutter le trou du cul (ou pire) en arrosant de sa semence (ou de sa pisse) le corps du mâle couché sous lui.

Des rapports de domination ? Ben oui, c'est aussi la loi du genre : et ce mec au corps sale et au cul marqué de coups de fouet porte un collier de dressage et une cage de chasteté comme seul vêtement. En position sur des bottes de paille, il se fait couvrir en force par son dresseur. Ou couvrir par ses potes, bien sur... Une saillie à la chaine quoi, et à la campagne, c'est pas les étalons en manque qui... manquent... C'est un lieu commun ? Ok, mais pourquoi bouder son plaisir...

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Gniark gniark... Le mec est mignon, un peu trop mince, mais surtout plutôt banal en dépit de ses longues jambes très galbées... Il se tient debout sur un fond de mur crépi, pieds nus sur un carrelage. Et il est au téléphone avec le fil tendu vers l'appareil posé au sol, formant une tache noir... Mais bien entendu, le plus important, c'est le geste esquissé et dévoilant le pubis tondu jusqu' la racine de la verge encore invisible : les yeux fermés, le petit jeunot va baisser son slip... Et le spectateur salive, dans une attente qui sera définitive et éternelle. Bien plus sexe que simplement tout nu, le brunet ne nous montrera jamais si ce qu'il écoute le fait bander ou pas.. Chaud ça...

Vous préférez des choses plus nettes et franches ? Comme ce joli mâle musclé : le short sur les chevilles, le slip baissé jusqu'à mi- jambes, il tripote sa bite et ses couilles et les cache en même temps. L'abscence de bronzage de la zone dévoilée est ainsi parfaitement mise en valeur... Et c'est hyper bandant et marrant à la fois à cause du geste complice que fait le beau gars au spectateur, un doigt sur les lèvres...

Bien plus que nu ? Oui, car notre belle bête se retourne et se tortille en tirant sur les élastiques de son jock strap rouge, les pieds nus écartés au maximum, avec son pantalon blanc sur les chevilles qui fait comme une corde l'entravant... Les lanières rouges du sous vêtement isolent le somptueux cul blanc et guident notre regard en direction d'un zone plus sombre, odorante et velue située sous la raie... Saloooope !

La nudité est aussi fonction du geste de dévoiler : l'exhibition est là.. Comme pour ce beau mâle de dos perché sur une table basse de métal : mais de face pour le jeune gars assis dans un grand canapé de cuir vieilli, le regard fixé sur le sexe dévoilé... Et l'objet de son attention est nu, d'autant plus qu'on remarque son slip noir descendu sur le bas de ses cuisses... Cette belle bête à la peau luisante, perchée sur son podium poussiéreux n'est pas simplement nue d'ailleurs : elle vient de se mettre toute nue. Plus ou moins obligée... Grosse différence qui fait alors vagabonder l'imagination et entraîne une sorte de rapport de force entre les deux personnages...

Dernière photo pour aujourd'hui pour faire comprendre : ce jeune mec très mignon est tout simplement vautré sur les coussins d'un canapé, couché sur le ventre et les reins creusés par sa posture... Ses fesses sont mises en valeur par sa position, par le cadrage et surtout par la lumière tombant dessus. Mais surtout, elles sont d'autant plus attirantes que le slip blanc qui les cachait est baissé, sans doute par le spectateur invisible que fixe le modèle en se redressant et ça... c'est torride !

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Des petits cochons... Certains modèles de grands photographes sont des porcs. Et aussi ce sont tous des garagistes ? Car regardez ce beau mec : sublime, non ? Le corps musclé et dessiné, les yeux gris assortis à sa culotte et une gueule d'enfer. Mais avant de poser, il a du avoir des problèmes avec sa voiture et passer pas mal de temps dans son moteur, c'est manifeste... Et pour ne pas flinguer ses fringues, il a bossé en slip... Un slip mâculé, lui aussi, preuve qu'il se tripotait le paquet en tripotant ses boulons...

C'est vrai que c'est beau, un corps de mâle bien huilé... Et puis ce mec si beau ainsi couvert de crasse et de cambouis, c'est carrément torride : il porte un slip très sage, pose devant de simples planches brutes... Et grâce aux marques sombres sur sa jolie gueule et sur son corps, il titille très agréablement la libido : comme quoi, il ne faut pas grand chose...

Le modèle suivant est sans doute moins sublime : et pourtant, il est bandant aussi.. Il faut dire aussi qu'il bande et pas qu'un peu... Ce garagiste tout nu et marbré de saleté et d'huile de moteur tient en main un bel outil et appuyé sur un établi portant son bleu de travail, il regarde le spectateur avec des idées lubriques (sinon lubifiées) très manifestes... Il irait se taper de force un petit apprenti coincé dans un moteur, qu'on serait pas surpris...

Et d'ailleurs, pour ce serait pas lui, le petit apprenti ? Ligoté, voire même saucissoonné, prostré et gémissant, il ne porte plus qu'un bermuda en jean... Ses pieds nus sont sales, son corps porte des traces d'huile et de crasse... La photo est belle en plus, avec des harmonies de couleurs en bleu et or du plus bel effet...

Bon, c'est vrai que tant qu'à se rouler dans le cambouis, autant y aller franco. Et là pour le coup, c'est un bidon entier qui est allé se déverser sur le corps de ce beau petit mâle tout nu, agenouillé sur un fond blanc... Seuls le visage mignon et quelques zones de peau rose sont encore visibles : joli tout ça, comme si le petit mec était vêtu de cambouis. Et c'est finalement à la fois très gore et très sensuel... Même si le jeunot a aussi un petit côté mouette mazoutée, faut bien dire... Ou alors il attend la fin de la punition : après le goudron, les plumes ?

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Ah la prison... Un monde d'hommes par la force des choses... Avec toute une progression dans le matage disciplinaire et la perte de l'identité. La première étape après la fouille humiliante (et même avant), c'est la mise à poil... Sexy, non, ce beau latinos en sueur, tout nu et cachant son sexe derrière ses mains menottées ?

La perte de la pudeur... Avec les menottes, bien entendu, l'accessoire indispensable et aussi le méchant flic en tenue, bien viril et bien vicieux. Le contraste est déjà torride... Comme pour ce joli motard en cuir, forcé d'exhiber son torse glabre et son téton caressé par le métal des menottes..

La nudité progressive c'est sans doute ce qu'il y a de plus sexe. Un slip blanc, ses pompes et des menottes, bien entendu, l'accessoire qui transforme ce beau mec en petit voyou dans le bureau d'un commissariat, simplement et efficacement évoqué par le mur de plaquage en bois...

Evidemment, le cadre et l'uniforme du policier en face font tout : c'est ainsi hyper bandant de contempler le cul et le corps tout nu de ces deux mecs obligés de se dessaper dans une sorte de sous-sol inquiétant... Ils sont alors particulièrement nus...

Et j'aime aussi beaucoup cette dernière photo : à poil entre ses gardiens et conduit vers une cellule ou une salle de torture... Mummm...

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Fumer était autrefois liéà un certain confort, à une certaine détente... Le fumoir dans les maisons bourgeoises était d'ailleurs une des pièces les plus cossues : nostalgie, nostalgie. Il n'en demeure pas moins, que pour se faire tailler une pipe par une bonne lope, la situation assise est souvent la plus confortable... Oui : tout ça, pour en arriver là... Avec d'abord le trou à bites assis à la bonne hauteur : histoire de bien lui ramoner la gueule à fond de gorge... Ou comme sur la photo, lui faire lécher, humer, sucer, titiller, nettoyer même si le foutre est parti : en prenant son temps. Un bon cigare doit se déguster...

Bon, bien entendu, la position debout pour le donneur de queue est un peu lassante : et c'est donc aussi très bandant d'être confortablement installé, cuisses écartées pendant qu'une belle bête rampe et se tortille avec la bouche ventousée sur un dard en érection...

C'est même plus que bandant en fait et un élément de domination et de supériorité. Assis bien comme il faut et contempler le travail d'un bon suceur de bite à genoux sur le sol...

Etape suivante : la salope couchée de tout son long ? C'est souvent douloureux de rester des heures à genoux...

Et d'ailleurs c'est finalement le confort total, ça : être soi-même allongé sur un lit moelleux pendant qu'un joli fumeur de cigare à 4 pattes et bien cambré, la bite à l'hoizontale s'active sur votre chibre... Une fois les couilles vidées, on peut ainsi directement faire une sieste bien méritée. Elle est pas belle la vie? Et le vit aussi...

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Ah oui, selon les textes et aussi les céramiques grecques, les combattants antiques se battaient casqués, certes, mais aussi parfois le cul et la bite à l'air ! Entre les gaulois à poil pour montrer leur courage et les hoplites la zigounette en bataille (les salopes), y a de quoi rêver, non ? Comme avec ce beau guerrier à grosses cuisses, portant sandales, protège tibia de bronze. Et puis des muscles et une épée... Et c'est tout... Slurps, non ?

Plus artistique, dans la posture du célèbre gladiateur Borghèse du Louvre, ce joli frisé aux couilles bien lourdes et pendantes, est encore plus nu : car un bouclier, c'est certes protecteur, mais pas très utile contre les frimas et les courants d'air...

Encore plus fort ? Ce sublime athlète blond par exemple : seulement "vêtu' d'une hache de barbare...

Une épée luisante et des bracelets de métal sur les avants-bras comme seul costume antique, allongé tout nu dans la paille d'un cachot sur fond de grosse muraille brutale, ce soldat a peut-être un posture de vaincu. Mais si on fait trèèèèès attention, on remarquera qu'il tient dans sa main gauche un poignard bien agressif et bien mâle, une arme blanche de chair, pointue comme un glaive prêt à entrer dans un adversaire : ce qui explique sans doute son air hilare au fond de sa prison...

La dernière photo du jour montre peut-être son adversaire justement, couché dans l'herbe et nous regardant avec un air mauvais : et s'il est entouré de tout un attirail guerrier venu des fonds des âges (épées, cuirasses, boucliers ou casques médiévaux), c'est autre chose de moins militaire qui attire le regard... Tout blanc, sans bronzage et tout rond... Vous voyez de quoi je veux parler ?

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L

Obsédé, je serais ? Et je penserais donc qu'au cul ? Ben, c'est bien possible en fait... Et comme un blog est safe par essence, je dois même avouer qu'en plus l'idée d'un fion de mec sodomisé par un mec m'excite, mais encore plus s'il s'agit d'une vraie saillie... C'est à dire avec éjaculation sans protections. Dans le genre cette première photo n'est pas mal : en haut le ventre d'un petit mec littéralement dégoulinant de semence après avoir juté. Et en bas, des belles burnes rasées aspergées de sperme, des poils trempés et un sexe encore raide et souillé qui a tellement déchargé qu'on voit même une petite flaque de foutre sous les fesses offertes... Alors : envie de lécher ou de humer tout ça ?

Le fait de se vider les couilles dans un cul de mec est évidemment de l'ordre du fantasme. Attention, attention : hein ? Il vaut mieux baiser sous célophane que choper des saloperies : une minute de plaisir pour une vie d'emmerdes, le calcul est facile à faire. Et donc il est peut être utile de montrer des images, histoire de calmer les fantasmes ? Dans le genre, du reste, cette deuxième photo est aussi très bien : pas aussi impressionnante que la précédente qui montrait deux éjaculations façon lances d'arrosages , mais cette coulure blanchâtre et chaude s'échappant d'une rondelle dilatée, c'est du très hot...  Plus intime, plus subtile : comme si le rectum rempli de sperme débordait... Sans également parler du fait, bien entendu, que le chibre encore en partie engagé dans l'anus est du format grosse belle bête...

Allons-y dans le fantasme et le délire : un petit cul trop mignon, tout rasé, comme les belles couilles en dessous. Et si une des petites fesses est souillé de coulures, le trou au centre est littéralement rempli à bloc de sperme au point de recracher la semence... Saillie, abattage, ensemencéà la chaîne par des mâles se succédant dans le cul : c'est un pur délire, comme j' ai dit...

Même plus une éjaculation à ce stade, mais des geyzer de sperme... Le beau mec pattes en l'air est rempli à bloc et ses fesses sont même douchées de semence. Je ne veux surtout pas casser le fantasme et prétendre que ce liquide blanc est peut-être de l'après-rasage, de la pate à crèpes ou de la crème hydratante : ce serait vraiment pas sympa pour mes visiteurs. Et on va donc affirmer que tout est bien réél. Et vous pouvez donc sniffer, baver, tirer la langue, lécher et humer, petits cochons...

Après de la grosse orgie de sperme, un peu de calme et d'esthétisme fait du bien, je trouve... En noir et blanc, avec un beau corps viril et musclé, une croupe bien ronde. Et trois coulure blanches : juste ce qu'il faut...

Fantasme, fantasme... Et aussi rigolade ?

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J'ai parfois l'air gentil. Mais parfois seulement et si je n'ai pas un fond sadique, si je suis plutôt un bon gars qui n'aime pas faire mal, ça n'empêche pas qu'il faut AUSSI savoir corriger les bâtards récalcitrants. Au cuir ? Il y a d'ailleurs des variantes et des graduations dans le genre cuir contre cuir. La fessée, pour commencer... Si elle est sévère, comme sur cette première photo (ça c'est du cul rouge et gonflé) elle a un terrible inconvénient : elle fait mal aux mains...

On peut donc passer à un dressage tout aussi humiliant, tout aussi brutal et sonore, mais plus facile et confortable pour le master. La simple lanière de cuir d'une ceinture. C'est vrai que pour le bâtard, ça chauffe et ça déchire, mais faut savoir. Et puis une correction au ceinturon, c'est un fantasme, non ? Sur le dos, le cul, les couilles. Voire même sur la plante des pieds ?

La cravache est l'accessoire le plus classique : dressage d'un animal, lanière qui fouette l'air avant de s'abattre et puis c'est un joli objet. Ben quoi ? Et donc les amateurs de fessées adorent le paddle : une raquette de bois percée de trou. Et cet objet si gentil avec son air de planche à découper, ben c'est du vrai vrai brutal en fait. Comme quoi il ne faut pas se fier aux apparences... Et si le paddle est en cuir, ben ça donne... comme sur la photo ! Surtout si le paddle vient cingler une zone déjàà vif... Hardos !

Ce qui compte au final : c'est ça... SChlachhhhhhhhhh Une paire de fesses mâles (et sublimes) mises à nue et striées de marques rouges et brûlantes...

Et si en plus le bâtard très macho est arrivé avec un uniforme de cuir, c'est un vrai plaisir pervers après sa correction, de découvrir  son cul écarlate et tuméfié, mis en valeur par ses chaps. Avouez qu'il est excitant, ce beau mâle musclé vu de dos, tête basse et les fesses marquées de rouge... On ne sait pas s'il regrette de ne pas avoir de fond de culotte pour cacher sa honte ou si c'est pas mieux d'être ainsi cul nu tellement il a la peau en feu et à vif...

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Hier mercredi, Gotikus était hyper méchant : panpan, ahhhhhrg et schlaaaaash. Donc pour varier, on va donner dans le mignon, le sensuel et le câlin aujourd'hui. Après la tanière des féroces bears en rut, en fouêts et en griffes, embarquons ce jeudi pour le délicat pays des Bizounours... Ah, dormir à deux, collés l'un à l'autre et corps contre corps... Et se réveiller moite et tiède dans la chaleur et l'odeur de l'autre... Alors forcément, non seulement il y a l'érection matinale, mais l'envie d'avoir les mains baladeuses est totalement légitime... Histoire de réveiller l'autre d'une manière gentille et pas trop violente...

Comme est légitime le désir d'une mise en bouche un peu salée, avant même de se brosser les dents et de prendre son petit café ou thé matinal. Cela dit comme moyen de se brosser les dents de manière énergique, longue et écologique, c'est sans doute pas si mal...

Pas si mal, comme ce type de petit déjeuner... Bouffer un joli cul au réveil ? Un peu poivré, mais stimulant et aussi beaucoup moins néfaste pour la santé que les calories ou la caféïne et la thëine. Et puis quand on a passé une nuit caline avec un joli nounours, la moindre des choses est de lui faire un gros bisou baveux. Et pas forcément sur la bouche : ne soyons pas coincés que diable...

Après ce type de réveil, il est un peu compréhensible que le galop matinal passe d'abord par une saillie en règle... Tendre et douce pour prolonger un peu les plaisirs calins de la nuit, langue contre langue... Mum : ça fait envie trouvez pas ?

Et puis ensuite, il est temps de cesser de paresser... Car on voit bien que la tentation sera grande ensuite, après s'être douchés au sperme...de se rendormir ?

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Comme l'illustre très bien la couverture de ce roman montrant un beau mâle totalement nu dans son cachot, le prisonnier dans sa cellule est livré sans défense aux pires humiliations... Et d'abord ainsi à poil et enchaîné, comment se défendre ?

Les premiers tortionnaires sont bien entendu les gardiens... Avec matraques et aussi des gourdins cachés dans leurs pantalons d'uniforme que le pauvre mec à poil va devoir apprendre à satisfaire. De force, bien entendu... Et l'humiliation est bien entendu plus efficace si on l'oblige à vidanger les grosses pines de ses futurs co détenus. Histoire de mettre les choses au point sur ses futures fonctions...

Une matraque, une bite ou... un gode ? Comme le but du dressage est aussi bien de satisfaire les matons frustrés que briser le détenu et lui apprendre à servir de femelle aux autres prisonniers, il est très utile de lui ouvrir... l' esprit ? Et ses beuglements de colère, de douleur ou de plaisir vont aussi attirer, puis occuper les détenus qui contemplent son viol dans les cages qui l'entourent...

D'ailleurs pas besoin d'aller le rejoindre dans sa cage. Si les barreaux ne sont pas très pratiques pour la sodomie ou la pipe forcée, ils ont (outre l'avantage de ne rien cacher de ce qui se passe), l'autre intérêt de laisser passer... une main ? Ce joli jeunot tout nu derrière la grille couine comme un porc : il faut dire que la fouille à la main de son rectum pratiquée par le gardien est du genre très très consciencieuse...

Le fist ? Oui, mais il est alors dissimulé par l'alibi de la fouille des cavités intimes des prisonniers. Et ça rend le spectacle d'autant plus excitant. Enfin, c'est mon avis quoi... Et c'est aussi très excitant de voirque la cloison de métal qui sépare ces deux cellules sur la dernière photo du jour n'empêche pas un des détenus totalement nu et obligé de se cambrer comme une bonne pute de perdre toute intimité et toute pudeur devant le caïd en rut qui occupe la cage d'a côté... Ah, le fantasme des prisons...

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Ah les fesses mâles... Rondes et fermes. Et au centre, cette raie moite, totalement lisse ou au contraire poilue et humide où l'on vient chercher le trou serré où se cache bien des plaisirs, commandés par les sphincters de l'anus et cette tour de contrôle masculine qu'est la prostate... Hop, la main caresse, palpe, puis glisse peu à peu, avec l'index trempé de salive qui titille en forçant peu à peu le passage...  Beau contraste, sur cette photo entre le dos taillé en V et les fesses lisses et la main aux muscles noueux, bien virile...

Doigter un mâle pour le conduire à s'ouvrir et à s'offrir, c'est un plaisir rare... Et un plaisir sensuel aussi, comme sur cette photo d'une main ferme et large caressant une belle croupe large et blanche, avec un doigt s'insinuant peu à peu pendant que l'autre main soupèse et appuie sur les couilles, comme pour rassurer le mâle courbé en avant sur sa virilité...

Je trouve que je raconte bien, moi aujourd'hui... Ou alors ce sont ces photos qui m'inspirent ? En tout cas, après des caresses subtiles, on y va franco maintenant : deux doigts dans le trou du cul entouré de poils et le luisant des crachats... ou de la rondelle en train de mouiller ?

C'est bien d'ouvrir ainsi un fion de mec : mais c'est aussi hyper bandant de le voir se doigter lui même... En branlant d'une main son gros chibre prêt  éjaculer et en exhibant sans pudeur son trou à merde (désolé si je vous horrifie, mais c'est pourtant l'utilité première de cet orifice) et sa raie aux poils trempés. Et en poussant sur ses sphincters anaux, il dilate la rondelle en y faisant coulisser deux doigts entiers. Pour commencer, à mon avis. Croyez pas ?

La suite je pense surtout que c'est ça : car même le mec le plus mal pourvu par la nature a un sexe en érection plus gros qu'un doigt, non ? Ou alors ça fait du Groooos doigt.

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