C'est très vicieux, les cages de chasteté... Car le sexe enfermé ainsi dans un étui de plastique, de cuir ou d'acier est à la fois nié et particulièrement mis en valeur. Pour le soumis qui le porte, l'excitation est constante et en même temps impossible à satisfaire... C'est donc l'accessoire, voire la tenue ultime du bâtard bien dressé. Ce superbe mâle musclé aux cuisses larges, avec une tronche de marine's ou de brute se tient debout, comme au garde à vous : un physique de militaire, c'est clair, même sans son uniforme. Car il est totalement nu : mieux que nu, même. Un harnais de cuir noir à bandes larges souligne la forme puissante de son torse, gaine la musculature de son ventre et se termine en pointe vers le bas. Vers le sexe au pubis tondu qui est torturé par une cage de chasteté particulièrement perverse : la hampe est enfermée dans un étui de cuir et les couilles rasées forment deux boules écarlates au creux de l'aine. Vous imaginez marcher comme ça ? Chaque pas tire sur les testicules, les rend présentes de manière continue... La balaise risque d'obéir à beaucoup de choses pour convaincre son master de le libérer...
C'est d'ailleurs le but : le bâtard ne peut plus bander, se toucher ou jouir à sa guise. Son sexe de mec, source de plaisir est totalement sous le contrôle de son maître... Il est pas mignon, ce jeune mec au crâne rasé façon marine's lui aussi, totalement à poil, agenouillé sur le plancher de bois brut d'un dongeon médiéval ? Il lève un regard suppliant vers son master dont le geste tendre sur son menton est particulièrement bandant, je trouve. Le petit slave est totalement à la botte de son propriétaire. Son seul vêtement est la ceinture de chasteté de métal luisant, bien lourde et bien brutale qui enferme sa verge tout en laissant, là encore ses belles couilles rasées apparentes. Son sexe n'est plus qu'un robinet chroméqui ne sert plus qu'à pisser... Si son dresseur donne l'autorisation, bien entendu, faut pas déconner.
Autre modèle ? De cage de chasteté et de soumission, car c'est à nouveau un jeunot au corps fin qui se tient docilement à genoux dans la salle de jeu de son maître. Le haut de son corps totalement rasé est prisonnier d'une gangue de ruban adhésif lui interdisant la moindre utilisation de ses mains ou de ses bras. La gueule elle-même est prisonnière d'un harnais formant un bâillon : pas de possibilité de parler non plus. Donc bien entendu une cage de chasteté en plastique transparent rend également son érection difficile, voire douloureuse. La question est de savoir ce qu'on fait du petit bâtard, maintenant... Si son second trou de mâle est laissé libre, j'ai bien une idée de la seule manière qu'il lui reste de satisfaire son maître... En clair ? Le joli petit bâtard est réduit à n'être plus qu'un trou du cul : une vulve.
Bien entendu, la cage de chasteté est aussi une forme de punition autant que d'humiliation. Ce petit mec aux yeux bandés ligoté sur une chaise a le sexe cadenassé de métal. Et il attend en gémissant, cuisses écartées devant un bel attirail d'instruments de torture et de plaisir : fouets, martinets, godes, pinces etc. Ses tétons, ses cuisses, son torse et même ses couilles encore apparentes vont morfler, à mon avis... D'où l'importance du bâillon ?
Le sexe étant nié et encagé, le principe est celui de la momification : une contrainte sur un long temps. On découvre sur la dernière photo un mec allongé sur le dos dans une chambre, installé devant le lit comme un simple meuble. Il est complètement saucissonné, jambes écartées. Ses mains sont prisonnière de moufles de cuir, son corps nu est totalement immobilisé et il a même les yeux bandés... Pour jouer avec son corps, il ne reste finalement... que sa bouche. Car ainsi ligoté, l'objet sexuel est dans la position parfaite pour que son master vienne s'asseoire sur sa gueule. Tout en tirant sur les pinces à sein déjà en place pour motiver le bâtard à bien jouer de la langue. Et ça : ça peut durer des heures... D'autant que si vous regardez bien ce modèle très sophistiqué de cage de chasteté, le conduit de métal enferme la verge et continue en un tuyau coudé jusque dans l'anus. Le prisonnier contraint à terme de se soulager la vessie, va donc... se pisser dans le cul ! J'avais bien annoncé la couleur au début : c'est très vicieux les cages de chasteté...