La cuisine est par définition et par fonction le lieu des gourmandises. Et donc de bonnes chères à bonne chair, il n'y a qu'un pas. Un pas que je vais m'empresser de franchir, forcément... Vous imaginez ? Il fait nuit et une petite fringale vous a poussé hors du lit en direction du frigo. Vous poussez la porte de la cuisine et vous trouvez là installé entre la cafetière et le grille pain un sublime mâle un peu endormi (pas endormi de partout, du reste) et totalement à poil, se tortillant pieds nus sur le carrelage froid. Froid qui du reste ne l'empêche pas d'exhiber une paire de couilles pendantes et surtout une grosse bite à demi érigée. Un truc àêtre d'emblée mis en appétit, non ?
D'autant que le joli brun montre une saucisse (Francfort, Toulouse ou Strasbourg, c'est vous qui voyez) de belle taille. Un hot dog en pleine nuit, avec vous faisant les deux tranches de pain avec vos joues... Ou aller humer les aisselles odorantes, ainsi offertes, avant d'aller dévorer et sucer la gâterie proposée sur des testicules rasés et rondes comme deux grosses prunes ? Bon appetit quoi...
Il faut bien entendu en profiter tant que ce plat épicé est chaud. Et il est chaud, non, le visiteur de la cuisine ? On le retrouve même le cul sur la cuisinère. Avant de l'offrir au cuisinier, son cul ? La bite tendue en avant, les pieds nus de part et d'autre de la bouilloire (à voile et à vapeur, donc) et des plaques chauffantes, il s'offre au regards à coté d'un joli tourniquet àépices... Il ne reste plus qu'à l'accomoder... à sa sauce.
Changement de décor et de style, mais pas de lieu : une cuisine moins rustique et plus moderne. Et autre possibilité pour vous faire oublier une fringale nocturne, la découverte de deux mecs en plein rut sur le plan de travail Ikéa. Ou pas Ikéa, là encore c'est vous qui voyez : c'est pas le plus important. Car le plus important, c'est de voir deux mecs nus collés l'un à l'autre puis installéà leur aise sur la banque de la cuisine... Voir le joli brun empalé sur un bite et se tordant sous les coups de reins d'un camarade à la gueule mal rasée, allongé de tout son long sur un plan de granit, comme sur l'étal d'un charcutier... Slurps, non ?
Mignons, les deux petits poulets à poils. Hum, une saillie dans ce lieu sensuel et fantasmatique, c'est chaud. Pas forcément très confortable, faut bien avouer, mais chaud. Et puis logique, finalement : car, la cuisine, c'est encore par défintion et par fonction, l'endroit... où l'on fourre ?
(A SUIVRE...)