La ferme, c'est aussi les animaux, les vaches, les chevaux ou les cochons.. Et donc les étables fleurant bon la bestialité ? Et le rut instinctif. Manifestement ces quatre beaux gars sont sensible à la montée de sève du printemps. Et une poussée de testostérone les fait s'accoupler dans la paille odorante d'une écurie ou d'une étable... Chaud, non ? Ils sont nus, mais ont gardé leurs pompes. C'est vrai que la paille c'est très bandant, mais ça pique la plante des pieds...
Le rut quoi : on découvre dans un autre coin deux autres mecs en plein ébats. Et le joli mec à la queue dressée se fait couvrir comme une bête, penché en avant et accroché aux murs de la vieille laiterie... Si j'osais un trait d'esprit (et j'ose) je dirais : la vache !
La sailie, c'est ça, naturelle et instinctive : tout le monde à poil et on s'encule. Mais on peut aussi goûter des fantasmes plus pervers et sophistiqués. Comme cet élégant cavalier botté, venant utiliser et dresser une jeune monture couchée nue dans le fumier... Le contraste entre la tenue chic et la nudité du mignon petit mec vautré sur son bleu de travail est particulièrement excitante : le maître et son valet...
Et ensuite le cavalier et sa monture ? Mais avant, c'est trop bandant de contempler le beau mec en costume sombre, sans pantalon et assis sur la bouche docile d'un jeune valet de ferme, dans l'odeur du fumier... Et se faisant broutter le trou du cul (ou pire) en arrosant de sa semence (ou de sa pisse) le corps du mâle couché sous lui.
Des rapports de domination ? Ben oui, c'est aussi la loi du genre : et ce mec au corps sale et au cul marqué de coups de fouet porte un collier de dressage et une cage de chasteté comme seul vêtement. En position sur des bottes de paille, il se fait couvrir en force par son dresseur. Ou couvrir par ses potes, bien sur... Une saillie à la chaine quoi, et à la campagne, c'est pas les étalons en manque qui... manquent... C'est un lieu commun ? Ok, mais pourquoi bouder son plaisir...
(A SUIVRE...)