C'est pas tout de foutre un beau mec à poil, de l'attacher, de le punir, de le marquer et de l'utiliser à sa guise : il faut aussi le rendre docile et faire son éducation. Ce beau gars au torse sanglé dans un harnais (très bandant et aussi très pratique pour s'accrocher quand on l'encue) le cul bien mis en valeur par un slip de pute découvrant ses fesses se tient immobile comme un clebs dans la chambre de son maître. Sa gueule est pile à la bonne hauteur : c'est à dire au niveau de la braguette de son propriétaire et le cul un peu hauteur dévoilant son anus et sa raie velue, il attend sans broncher au pied du lit... Mais pour en arriver là, y'à du boulot...
Ainsi ce jeune mec totalement nu agenouillé aux pieds d'un dominateur encore habillé et torse nu est docile par obligation : poignets et chevilles cadenassés à des barres de métal, il a les mains maintenues dans son dos et les cuisses écartées de force, l'obligeant à tendre son sexe en avant et à conserver cette posture humiliante. Le mâle chargé de son dressage ricane et le maintient par le large collier de chien fixé autour de son cou et assorti à ses autres liens. Et il est très bandant de découvrir la plante des pieds sale, les tétons dardés et pointus, le petit cul crispé du joli slave qui se tord et se trémousse en faisant bruire ses chaînes pendant que la grosse pompe de son bourreau frotte contre ses testicules et sa bite. Ainsi malmenné, gageons qu'il ne va pas trop faire de difficultés à avaler le sexe de son master, d'ailleurs situé pile à la bonne hauteur. Pour commencer, bien entendu...
Les sex shop offrent du reste tout un tas de gadgets pour faciliter l'éducation des lopes en rodage... Menottes de cuir aux mains et aux pieds, bandeau noir aidant au lachage face à l'inconnu et surtout ce baîllon pervers qui maintient de force la bouche ouverte... Ce joli petit rouquin à 4 pattes sur sa peau de tigre en peluche est totalement immobilisé dans l'obscurité de son bandeau et prêt à l'emploi. Chose qui déclanche une belle érection totalement obscène : un clebs en chaleur. Il a même une griffe ouvrant ses narines, à la fois pour l'humilier et le contraindre. Et le rendre plus sensible aux odeurs ?
Sucer la bite de son maître, de gréé ou de force : c'est un must du dressage. Mais il y a souvent une étape préalable, symbole de soumission. A genoux sur le sol en posture d'infériorité, en petite tenue et un collier d'esclave cadenassé autour du cou, yeux bandés et mains attachées dans le dos (pour obéir aveuglément et ne pas pouvoir se toucher) lécher les pompes de son propriétaire... Les pompes, puis les chaussettes et au final lécher les pieds. En insistant sur le gros orteil, sucé comme un prélude et un entraînement à la pipe qui va suivre...
Attaché, ligoté, enchaîné par le cou, yeux bandés : le dressage est total quand la lope n'a même plus besoin de ces contraintes physiques. Et nue à 4 pattes sur le sol se prosterne dévotement pour venir humer les chaussettes de son master et tend son cul en attendant de le servir... C'est concrêtement : le pied ?
(A SUIVRE...)