Nous avons évoqué la dernière fois les lopes immobilisées à genoux, bouche et langue à dispo. Mais pour ajouter encore à leur statut définitif de bâtards, pourquoi ne pas être encore plus explicite. Et les tatouer, comme on fait pour les chiens... Jolie image, non que ce sexe ainsi exhibé sous un pubis rasé et totalement sacrifié, portant en gros et en couleur la mention "slave" accompagnée du nom de l'animal de compagnie. Ou le nom de son propriétaire ?
Le pubis est tondu, tatoué, mais maintenant, il faut aussi nier à l'esclave la possibilité de contrôler sa propre jouissance. Non seulement il porte de manière définitive et au quotidien l'inscription signalant à tous son statut inférieur, mais il va devoir vivre entre deux utilisations par son propriétaire avec une cage de chasteté en métal, cadenassée sur sa bite et l'empéchant de bander et de jouir. Avec en plus, détail extrême, un autre cadenas sur le méat. Pour qu'il ne puisse pas pisser non plus ? On est dans la domination la plus extrême, c'est clair...
Le dos maintenant ? Pas mal aussi, car alors le master a ainsi le plaisir de lire sur le haut du dos l'appartenance totale de sa chose si l'envie lui prend de sauter sa lope et d'utiliser son anus...
Bien entendu, on peut aussi préférer des solutions moins définitives et extrêmes. Comme pour ce joli petit mec totalement rasé, de la tête à la touffe et mis en vente par son propriétaire bardé de cuir avec un panneau accroché autour du cou. Hum, c'est humiliant, mais aussi drôlement excitant, trouvez pas ?
Dans le genre explicite, on peut aussi être excité par cette mention peinte sur le torse et le ventre d'un beau cow boy totalement nu et agenouillé tête basse... Au moins pas de confusion possible : "pissez-moi dessus". C'est clair et finalement hyper écolo...
(A SUIVRE...)