Attacher un mec, le dresser et l'utiliser pour son plaisir c'est une chose. Mais on peut aussi aller plus loin dans le délire et le fantasme. Le marquer par exemple, de manière à lui faire porter de façon constante la trace visible de son appartenance à son maître. Le rasage de ses zones les plus intimes, le fouet qui strie sa peau nue ou un collier ou une cage de chasteté cadenassés sont des pratiques assez courantes, mais on peut aller beaucoup plus loin ! Et ainsi ce bel esclave ligoté nu et contraint sur un lit a non seulement perdu sa toison pubienne tondue à blanc, mais il porte au dessus de son sexe érigé et sanglé dans des anneaux de métal, un tatouage explicite, pile à l'endroit de la touffe sacrifiée. Explicite et définitif...
On retrouve cet esclave sur cette seconde photo : et c'est pas torride ? Il est torse nu déjà, le cou enfermé dans un collier de chien et sanglé dans un harnais soulignant sa musculature et les anneaux sur ses tétons. Contraint par son propriétaire de baisser son caleçon, il exhibe en public son sexe rasé orné d'un lourd Prince Albert et surtout le tatouage de son bas ventre. Confirmant à tous son statut d'esclave à plaisir...
Le bâtard suivant est marqué de la même manière du reste : a l'emplacement des poils pubiens. Et debout nu devant le photographe, il suce un concombre d'une manière très provocante et en même temps hyper humiliante pour lui. Car après avoir taillé une pipe au concombre, il va passer à un autre type de légume plus masculin ? Voire enfoncer le gode sorti de son frigo dans un autre trou ?
Ben voilà : au cas où on aurait pas compris, ce jeune gars ligoté nu et pattes en l'air sur un canapé porte de part et d'autres de son trou du cul une inscription d'une grande limpidité, non ? Et si le tatouage au crayon est explicite, son anus dilaté bavant du foutre en abondance et recrachant du sperme montre assez que le petit slave installé dans le salon comme un objet à utiliser a largement déjà servi à pas mal de mâles...
Le tatouage n'est pas définitif ? Ben peu importe, car l'instrumentalisation d'un mâle est déja assez bandante comme ça. Comme pour ce bâtard à 4 pattes, crâne et cul rasés, le cou enfermé dans un collier de chien et mis à dispo cul nu et short baissé dans un terrain vague. Et les inscriptions sur son dos et ses fesses sont d'une grande limpidité ! "Pute, baise-là" Reste a savoir quel trou on a envie d'utiliser...