Ha... Le pilori : un joli meuble souvent, témoignant d'un savoir faire traditionnel. Tenons, mortaises, chevilles à l'ancienne, bois brut, mais bien travaillé... J'admire sur cette photo la qualité de l'oeuvre de l'artisan : le pilori bas où se trouve enfermés le cou et les poignets de l'esclave ainsi exposé est superbe. En fait, je plaisante : c'est du travail d'amateur, mais assez réussi. Je suis un peu moins convaincu par la tronche de la petite chiotte prosterné et en attente. Mais ça, c'est vraiment personnel...
Car l'un des éléments excitant du pilori, c'est de contempler le visage du condamné. Sinon, c'est pas rigolo, n'est ce pas... Il faut le voir passer de la honte, à la colère et de la rage à la souffrance ou au plaisir. Le beau visage de ce jeune beau gosse encore coiffé de ses lunettes de soleil est à ce titre très sexe : il exprime... la surprise ? On imagine donc que la suite va être très intéressante...
Certes cette la série de photo suivante n'est pas de bonne qualité, mais peu importe. Le balaise barbu prisonnier du pilori et exposé aux insultes ou au rires des spectateur est d'abord en train de beugler de colère... Mieux : il gueule, injurie et provoque. Un peu le genre "même pas mal".
Mais il se débat ensuite et pique une colère froide en soufflant. Sa rage est telle qu'on le voit même baver. A moins, bien entendu que le long filet de salive qui coule de ses lèves soit les crachats des spectateurs... Les crachats ou quelque chose de plus strictement masculin : genre foutre ?
En tout cas, il a un visage expressif... Car sur la dernière photo, il manifeste un nouveau sentiment. Mais lequel : souffrance, colère, humiliation ou plaisir ? A vous maintenant d'imaginer pourquoi. Son corps totalement nu et dont les mains sont enfermées entre les deux planches de bois est exposé : dos, torse, cul et sexe. Alors on lui fait quoi ? C'est pas mal, hein quand on se lance à imaginer...