Très fantasmatique la cage. Toute petite comme une boîte ouverte par les barreaux dans lequel le corps nu est contraint et exhibé. Ou au contraire, comme dans une prison ou plus encore une ménagerie, plus grande avec un beau mâle enferméà l'intérieur, dans l'attente de ce qui va suivre... Et alors, il est beaucoup plus excitant le captif soit encore un peu habillé. Comme sur cette première photo : un débardeur, un jean et bien entendu pieds nus...
On s'approche un peu de la cage après avoir découvert une vue d'ensemble. Le prisonnier est prostré et on remarque alors ses poignets menottés... On peut voir sa belle gueule virile : belle bête non ? Le fait qu'il soit pieds nus et qu'on lui ai retiré pompes et chaussettes est l'élément déterminant, je trouve.
Après les deux premières photos, contempler maintenant le grand gars totalement nu et pris en main par un (petit) bourreau sanglé de cuir et cagoulé de latex est beaucoup plus excitant... Car on peut imaginer les étapes précédentes : le débardeur arraché, le jean baissé sur les chevilles, le slibard découpé. Et imaginer aussi la colère et la révolte du mâle... Les mains enchaînées en l'air, son sexe au repos tout petit et caressé comme un animal ou un esclave à la vente, on ne sait pas ce qui va suivre : on peut l'imaginer et c'est beaucoup plus fort, non ?
C'est aussi très chaud d'imaginer que pendant qu'un premier gars kidnappé est examiné devant sa cage éclairée de rouge, un second prisonnier lui aussi totalement foutu à poil et extrait de sa prison à la lumière verte, subit le même sort, encore rétif, ligoté avec art et attaché aux barreaux de sa cage, yeux bandés et se tortillant sous le contact de la main le tripotant. Dans un examen de plus en plus poussé qui va se terminer de façon très sexuelle si on en juge par l'érection visible du "dresseur". Ou de l'acheteur ou du bourreau, à votre guise. Vous visualisez la scène ?
Voilà : premier dressage terminé. Un troisième'objet sexuel est enfermé dans sa cage. Il dormira, se soulagera comme une bête à même le sol. Il ne porte plus aucun vêtement et assis par terre, il est également contraint par une grosse chaîne cadenassée autour de son cou : une bête. Et au moindre mouvement, la chaîne bruisse et cliquette... Sensuel, ça...