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Channel: GOTIKUS - HardGayWorld
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PHOTOS - MALES A UTILISER 22 - Bras en l'air...

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Dans le hard et la contrainte, le fait d'attacher et d'immobiliser un mâle est vecteur de beaucoup d'excitation de part et d'autre. Le principe, bien entendu est de ravaler le captif au rang d'objet sexuel et d'abuser de lui contre sa volonté. Un mec debout, mais enchaîné bras en l'air est très excitant : la posture est confortable et en même temps c'est un classique de l'incarcération... Ce beau jeune gars au corps musclé et glabre est debout tout nu contre un poteau fixéà un mur. Un rappel des jeux de cow boys et indiens? On découvre une épaisse moquette (franchement moche) sous ses pieds nus ce qui suggère que son kidnappeur oeuvre en appartement ou maison particulière (et aussi qu'il a un goût de chiottes). Les chevilles et ses poignets du prisonnier sont menottés de cuir et il attend avec un air effrayé particulièrement excitant, je trouve...

W1 - Bras en l'airBien entendu, le mec à utiliser peut lutter, se débattre, tenter de se libérer : c'est le jeu, sinon pourquoi l'attacher, soyons logique ? Pour cette deuxième photo, même master (car même moquette horrible). Même posture aussi qui fait du captif totalement nu un élément du décor dans la pièce, comme un atlante d'architecture en chair et en os. Le prisonnier par contre n'est pas le même : un superbe sportif musclé et délicieusement poilu dont les plaintes et les hurlements de rage sont étouffés par un bâillon-mors : encore plus sexe, non ? Dans ces deux premières photos, le paradoxe est que les deux mecs ne bandent pas du tout et que c'est particulièrement excitant : ils ne sont pas consentant...

W2Bon : le mec est prisonnier, ne peut pas se libérer et même pas hurler. Ok, mais ensuite? Car c'est pas tout d'attacher un gars au plafond : faut ensuite l'utiliser. Et commencer par le mater et le dresser. Sur cette photo, on découvre un décor déjà bien plus fantasmatique de cave ou de salle de torture. Et aussi un beau chauve au corps tatoué et totalement rasé, portant une cage de chasteté l'empéchant de bander et niant ainsi son excitation. Derrière lui, un master sanglé de cuir tient une cravache : ben voilà, une séance de fouet pour commencer...

W3Une fois le dressage terminé, la récompense peut venir. Et la première est bien entendu de branler l'esclave. Ce jeune mec est bâillonné avec un mors lui aussi. La grille sous ses pieds nus doit être douloureuse, mais surtout son dresseur l'oblige à bander de force, le masturbe et torture son sexe ce qui explique l'expression du visage de la victime : mi-plaisir, mi-colère...

W4Bien entendu, la bite n'est pas la seule partie du corps avec laquelle s'amuser quand un prisonnier est ainsi livré. Les tétons par exemple : ils sont particulièrement mis en valeur par la position debout bras en l'air et il est très excitant, comme sur cette dernière photo de voir le prisonnier bâillonné, tout nu entre les pattes d'un sportif viril particulièrement bandant, se tordre dans tous les sens... Plaisir ou douleur ? Là encore, c'est cette ambiguïté qui est vecteur d'excitation pour les spectateurs (pervers) que nous sommes... Ben oui...

W5(A SUIVRE...)


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